pædéraste

Borrowed from Ancient Greek παιδεραστής (paiderastḗs).

• IPA^(key): /pe.de.ʁast/

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pædéraste m (plural pædérastes)

1. Obsolete form of pédéraste.^[1]
   • 1789, Lucianus Samosatensis, Œuvres de Lucien‎, volume Quatrième, Paris: Jean-François Bastien, page 421:

     Dromon m’a dit qu’Aristenet étoit un pædéraste, qui, sous prétexte de la philosophie, vit avec les plus beaux jeunes gens; il a déja eu des entretiens particuliers avec Clinias; il lui fait les plus belles promesses, en lui disant qu’il le rendra égal aux Dieux; et même il lui fait lire les dialogues érotiques des anciens philosophes avec leurs disciples.

     Dromon said to me that Aristenet was a pederast who, under the pretext of philosophy, lives with the most beautiful young men; he has already had some private dialogues with Clinias; he makes him the most beautiful promises, while telling him that he will make him equal to the Gods; and he even makes him read the erotic dialogues of the ancient philosophers with their disciples.

   • 1839, Pieter van Limburg Brouwer, chapter XVII, in Histoire de la civilisation morale et religieuse des Grecs‎, volume Troisième, Groningue: W. Van Boekeren, page 158:

     Tandis que Justin fait ainsi l’éloge du fils de Sophronisque, Théodorète (eur. græc. effect. T. IV. p. 672, 673) le représente comme un pædéraste, comme un ivrogne, comme prompt à la colère, et un mot, comme le plus mauvais sujet dont l’histoire fasse mention.

     While Justin thus praises the son of Sophroniscus, Theodoret (eur. græc. effect. T. IV. p. 672, 673) portrays him as a pederast, as an alcoholic, as quick to anger, and in summation, as the very worst specimen of whom history mentions.