Æolie

Bonjour, vous êtes venu ici pour chercher la signification du mot Æolie. Dans DICTIOUS, vous trouverez non seulement toutes les significations du dictionnaire pour le mot Æolie, mais vous apprendrez également son étymologie, ses caractéristiques et comment dire Æolie au singulier et au pluriel. Tout ce que vous devez savoir sur le mot Æolie est ici. La définition du mot Æolie vous aidera à être plus précis et correct lorsque vous parlerez ou écrirez vos textes. Connaître la définition deÆolie, ainsi que celles d'autres mots, enrichit votre vocabulaire et vous fournit des ressources linguistiques plus nombreuses et de meilleure qualité.

Étymologie

→ voir Éolie.

Nom propre

Æolie \e.ɔ.li\ féminin singulier

  1. (Archaïsme) Ancienne orthographe d’Éolie.
    • Montant encor plus au Nort on voit la mer Icarienne, ainſi dite, ſelon les Poëtes à cauſe d’Icare , fils de Dedale , qui tomba dans cette mer , quand ſes aiſles de cire fondirent, mai veritablement à cauſe de l’Iſle Icarie , à preſent Nicarie, aſſiſe en cette mer , qui comprend auſſi contre la Carie , l’Ionie, & l’Æolie , les Iſles de Palmoſa , ou Pathmos , Phyra , & Chio , Scio. — (Pierre d’Avity, Le Monde, 1660)
    • & tandis que touts ceux‐cy faiſoient leurs preparatifs , Mocenique auec ſa flotte , fiſt pluſieurs courſes , & pluuſieurs rauages aux Prouinces d’Æolie & de Carie , auec vn fort heureux ſuccez : & comme il remenoit ſon armée en la Morée, il rencontra prés le Cap de Melée , l’armée de Ferdinand , compoſée de dix‐ſept galeres, & comandée par Rachaienſis , qui aprés les acclamations & reſioüiſſances à la façon des gens de marine , s’en allerent de compagine à Rhodes , où ils firent vne explanade de tous les forts , bourgades & villages que les Turcs auoient fortifiez aux enuirons de la ville, — (François Eudes de Mézeray & Vigenère, Histoire Generale des Tvrcs, Contenant l’Histoire de Chalcondyle, 1663)
    • Comme il alloit à Maniſſa , prés du mont Sipile , Cheder fils de Sarcan Prince de Lidie & d’Æolie vint ſe rendre à lui. — (Procope de Césarée & Cousin, Histoire de Constantinople, de Puis le Regne de l’Ancien Justin, juſqu’à la fin de l’Empire, 1685)

Traductions