Singulier | Pluriel | |
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Masculin et féminin |
ægophonique | ægophoniques |
\e.ɡo.fɔ.nik\ |
ægophonique \e.ɡo.fɔ.nik\ masculin et féminin identiques
A l’auscultation, on entend en avant un léger ronchus plus marqué à droite qu’à gauche ; en arrière , matité à droite depuis la fosse sus‐épineuse jusqu’à la base , râle crépitant souffle et retentissement ægophonique dans quelques points ; ces symptômes existent jusqu’à la base ; à gauche , sons normal , respiration puérile.— (Mémoires de l’Académie Royale de Médecine, Jules Pelletan, 1840)
A ce niveau, cibrations thoraciques faibles, mais perceptibles ; voix un peu éloignée, mais sans aucun timbre ægophonique.— (Archives Générales de Médecine, M. Bouilly, 1876)
Les premiers auteurs qui ont étudié ce phénomène, Taupin, Piorry, Hourmann (Revue médicale française et étrangère, juillet 1839), qui lui a donné le nom d’autophonie, Hornemann, ont eu le tort, d’après l’auteur, de donner à ce signe une signification symptomatique trop étendue, et de créer des variétés purement artificielles, en admettant l’autophonie normale, ægophonique, bronchophonique, etc.— (Lyon Médical, auteur incertain, 1881)