écorçable

(1845)^[1] Dérivé de écorcer, avec le suffixe -able.

écorçable \e.kɔʁ.sabl\ masculin et féminin identiques

1. (Sylviculture) Que l’on peut écorcer.
   • Aussi est-il rare que tout le bois écorçable d’une coupe en exploitation puisse être décortiqué, et arrive-t-il souvent que la production générale en écorce soit inférieure aux besoins de la tannerie. — (Charles de Kirwan, L’Art forestier français à l’Exposition universelle de 1878, dans la Revue des questions scientifiques, tome V, A. Vromant, Bruxelles, 1879, page 201)
   • L’espèce est écorçable à partir de la sixième ou huitième année, et jusqu’à la vingtième, après laquelle le tronc commence à se détériorer et est attaqué par les insectes. — (Henri Jumelle, Les cultures coloniales, tome II : Plantes industrielles & médicinales, J.B. Baillière et fils, Paris, 1900, page 219)
   • Ces faits conjugués font qu’un taillis écorçable - dans les seules contrées, d’ailleurs, qui prévoiraient cet écorçage - ne serait guère majoré de valeur ; . — (Pierre Chaudé, Traité pratique et théorique des estimations et expertises forestières, A. Demoulin, Paris, 1936, page 159)

• Togo (Lomé) : écouter « écorçable  »

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