Singulier | Pluriel |
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éducation populaire | éducations populaires |
\e.dy.ka.sjɔ̃ po.py.lɛʁ\ |
éducation populaire \e.dy.ka.sjɔ̃ po.py.lɛʁ\ féminin
L’essor de l’éducation populaire est perceptible à partir de la création des congés payés en 1936 et de la politique progressiste du Front populaire mise en œuvre par le ministre de l’Éducation nationale Jean Zay et par le secrétaire d’État à la jeunesse et aux sports Léo Lagrange.— (Sylvain Wagnon et Mathieu Depoil, « L’éducation populaire est-elle toujours d’actualité ? », The Conversation France, 20 juin 2021.)
Il ne s’agit pas de retirer à l’école ses immenses mérites, mais l’espace éducatif dont a besoin un individu est structuré par trois dimensions complémentaires : la famille, qui est avant tout espace de transmission d’un héritage culturel et de valeurs ; l’école, où sont plutôt transmis des savoirs, des connaissances ; et l’éducation populaire. Cette dernière dimension n’est pas régie par la logique scolaire. Les savoirs y importent moins que le savoir-vivre, le savoir-faire, le savoir-être.— (Propos de Léonore Moncond’huy rapportés par Arnaud Gonzague, « On ne reconstruira pas la cohésion sociale sans l’éducation populaire », Le Nouvel Obs, 27 mai 2024.)
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