élidable

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Voir aussi : elidable

Étymologie

(1845)[1] Dérivé de élider avec le suffixe -able.

Adjectif

Singulier Pluriel
Masculin
et féminin
élidable élidables
\e.li.dabl\

élidable \e.li.dabl\ masculin et féminin identiques

  1. Qui peut être élidé : dont la voyelle finale peut être supprimée de la graphie ou de la prononciation, devant un mot commençant par une voyelle ou un H muet.
    • Le tamoul se sert de gir’uou gin’d’u (u final euphonique élidable). — (Julien Vinson, Le verbe dans les langues dravidiennes, Maisonneuve et Cie, Paris, 1878, page 12)
    • Ou bien l’e muet graphique non élidable n’est pas la dernière voyelle du vers ; et alors il est compté dans la mesure ; ainsi là-dedans, empereur, une fois, ne peuvent pas compter pour seulement deux syllabes dans la mesure — (Benoît de Cornulier, Prosodie : éléments de versification française, in Théorie de la littérature, Éditions A. et J. Picard, Paris, 1981)
    • L’apocope, ou annulation prosodique d’un e final non élidable, ne se produit, en poésie régulière, qu’en fin de vers. — (Michèle Aquien, La versification, Que sais-je ?, Presses Universitaires de France, Paris, 2018)

Vocabulaire apparenté par le sens

Traductions

Anagrammes

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Références

  1. Figure dans la seconde édition de Enrichissement de la langue française : dictionnaire de mots nouveaux de Jean-Baptiste Richard de Radonvilliers, Paris, 1845, page 162.