énervable

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Étymologie

(1845)[1]Dérivé de énerver, avec le suffixe -able.

Adjectif

Singulier Pluriel
Masculin
et féminin
énervable énervables
\e.nɛʁ.vabl\

énervable \e.nɛʁ.vabl\ masculin et féminin identiques

  1. Qui peut s’énerver.
    • Mr Allan, non plus, ne devait pas être moins énervable : deux jumeaux ou jumelles illégitimes allaient lui naître le 1er juillet. — (Émile Lauvrière, L’étrange vie et les étranges amours d’Edgar Poe, Desclée De Brouwer, Paris, 1934, page 90)
    • Marc, moins chanceux ou peut-être plus énervable, se contenta d’une outarde. Je mis cela sur le compte de la fatigue ; on était en effet debout depuis cinq heures du matin. — (Jean Delou, Le safari sanglant, Éditions du Scorpion, Paris, 1961)
    • Elle dit qu’elle n'a aucun goût au travail et qu’elle se trouve très nerveuse, très énervable et qu’elle répond très facilement à son mari. — (Léon Chertok, Féminité et maternité : étude clinique et expérimentale sur l’accouchement sans douleur, Desclée De Brouwer, Paris, 1966)

Antonymes

  • inénervable (Extrêmement rare)
  • non énervable (Plus courant)
  • pas énervable (Plus courant)

Traductions

Prononciation

  • Somain (France) : écouter « énervable  »

Anagrammes

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Références

  1. Figure dans la seconde édition de Enrichissement de la langue française : dictionnaire de mots nouveaux de Jean-Baptiste Richard de Radonvilliers, Paris, 1845, page 169.