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Singulier | Pluriel | |
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Masculin et féminin |
épipolaire | épipolaires |
\e.pi.pɔ.lɛʁ\ |
épipolaire \e.pi.pɔ.lɛʁ\ masculin et féminin identiques
La ligne joignant les centres perspectifs O’ O” est appelée axe épipolaire ou axe nucléal suivant les auteurs. Les plans contenant cet axe et un point objet (par exemple O’ O” R) sont dits plans épipolaires ou nucléaux ; les lignes d’intersection des plans épipolaires et des plans des clichés sont dits rayons épipolaires ou nucléaux. Si les axes optiques de la prise de vues sont parallèles, les centres K’ et K” sont reportés à l’infini et tous les rayons épipolaires sont parallèles entre eux et à l’axe épipolaire.— (Bernard Dubuisson, La Photogrammétrie des plans topographiques et parcellaires, Eyrolles, 1969)
Considérons les intersections x et x’ de la droite < CC’ > avec les plans image (voir fig. 2). Ces points sont appelés épipoles [sic] et jouent un rôle important dans la résolution de notre problème, dû au résultat suivant. Soit M un point tridimensionnel, le plan dit plan épipolaire défini par les trois points M, C, C’ coupe les plans images selon les droites < x, m > et < x’, m’ > qui sont dites droites épipolaires. Il est évident que les ensembles de droites épipolaires forment deux faisceaux de droites de sommets x et x’ et que ces faisceaux sont en correspondance homographique, que nous appellerons l’homographie épipolaire. Il est facile de voir que la connaissance des points x et x’ est équivalente à celle du déplacement rigide entre les deux caméras.— (Comptes rendus de l’Académie des sciences : Mécanique, physique, chimie, sciences de l’univers, sciences de la terre, volume 312, Gauthier-Villars, 1991)