éprises \e.pʁiz\
Jacquemin, que choyait la petite baronne ; Jacquemin, un des gardiens patentés de la gloire et de la gloriole, pour tous ceux qui, à Paris, vivent de tapage et pour le tapage, grandes dames éprises de réclames ou comédiennes affolées de rôles nouveaux ; Jacquemin, un des porte-plumes de la Renommée, reçu partout, choyé, adulé, caressé, pouleté, ce Jacquemin que le prince venait de revoir, très élégant, avec son stick et son monocle, et l’air pimpant, léger, dégagé, dédaigneux et qui disait, en homme habitué à toutes les élégances, fatigué de luxe, blasé de fêtes, n’estimant que ce qui est chic, comme on dit, coté et parfumé : Les belles petites sont rares !— (Jules Claretie, Le prince Zilah, E. Dentu éditeur, Paris, 14e édition)
Voir la conjugaison du verbe éprendre | ||
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Participe | ||
Passé | ||
(féminin pluriel) éprises |
éprises \e.pʁiz\