Singulier | Pluriel |
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évène | évènes |
\Prononciation ?\ |
évène \Prononciation ?\ masculin et féminin identiques
On me présenta un autochtone prénommé Ivan qui ne se souvenait plus trop s’il était évène ou yakoute mais qui jurait fort bien en russe. Il était garde forestier d’Oust-Maïa jusqu’à la frontière du kraï de Khabarovsk.— (Cédric Gras, L’Hiver aux trousses, Stock, 2015, réédition Folio, 2016, page 43)
Je pense à mon histoire. À mon nom évène, matukha. Au baiser de l’ours sur mon visage, à ses dents qui se ferment sur ma face, à ma mâchoire qui craque, à mon crâne qui craque, au noir qu’il fait dans sa bouche, à sa chaleur moite et à son haleine chargée, à l’emprise de ses dents qui se relâchent, à mon ours qui brusquement inexplicablement change d’avis, ses dents ne seront pas les instruments de ma mort, il ne m’avalera pas.— (Nastassja Martin, Croire aux fauves, Verticales, 2019, page 25)
évène \Prononciation ?\ masculin au singulier uniquement
Comme l’évenk, l’évène est une langue du groupe toungouse écrite en caractères cyrilliques depuis 1936, après avoir utilisé l’alphabet latin durant cinq ans.— (Henri Dorion, Arkadi Tcherkassov, Le russionnaire: petite encyclopédie de toutes les Russies, page 84, 2001)
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