14-18 \ka.tɔʁz di.z‿ɥit\
Il serait intéressant de poursuivre l’enquête à travers les traces de la mémoire des fusillés et de la justice militaire de 14-18 pendant la guerre d’Algérie, auprès des soldats, des appelés.— (Nicolas Offenstadt, Les fusillés de la Grande Guerre : Et la mémoire collective (1914-2009), Éditeur Odile Jacob, 2009)
Les soldats de 14-18 étaient certes patriotes et l’on sait l’influence qu’eut sur eux l’école primaire.— (Nicolas Offenstadt, 14-18 : mourir pour la patrie, Éditeur Seuil, 1992)
Si pour certains, l’évocation de 14-18 n’est qu’un passage fugace, avec d’autres se bâtit une communauté culturelle du souvenir de 14-18 qui entrecroise récits généalogiques, locaux et militants.— (Nicolas Offenstadt, 14-18 Aujourd’Hui, Éditeur Odile Jacob, 2010)
Bien sûr, celle de l’an quarante— (Georges Brassens, La Guerre de 14-18)
Ne m’as pas tout à fait déçu
Elle fut longue et massacrante
Et je ne crache pas dessus
Mais à mon sens, elle ne vaut guère
Guèr’ plus qu’un premier accessit
Moi, mon colon, celle que j’ préfère
C’est la guerr’ de quatorz’-dix-huit
Moi, mon colon, celle que j’ préfère
C’est la guerr’ de quatorz’-dix-huit.
→ voir Première Guerre mondiale