Singulier | Pluriel |
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Abénaki | Abénakis |
\a.be.na.ki\ |
Abénaki \a.be.na.ki\ masculin (pour une femme, on dit : Abénakie)
Il y a très longtemps, une délégation d’Abénakis vint à Québec chercher un prêtre pour lequel ils avaient beaucoup d’attachement. Cependant quelqu’un vint leur annoncer qu’un Abénaki venait de tuer un orignal.— (« Un voyage éprouvant », museevirtuelle.ca, 2010)
De son vrai nom, Jean-Paul Wawanoloat, le disparu était un Abénaki, né en 1924, dans la réserve d'Odanak, non loin de Sorel, où son père a été chef pendant 35 ans.— (« Une grande voix de Radio-Canada se tait », Radio-Canada.ca, 3 janvier 2000)
L’Anglais protesta qu’il aimerait mieux perdre mille fois la vie que de verser le sang d’un Abénaki.— (abbé Blanchard, Petite école des mœurs, 1827)
Avant la fin de l’année, une première violence eut lieu, qui en présageait d’autres ; le baron de Saint-Catein, fils d’une mère Abenakie (2), et que ces sauvages reconnaissaient comme leur chef, était, en décembre, enlevé par les Anglais, qui devaient le garder prisonnier cinq mois durant, avant de le laisser gagner la France.— (Revue d’histoire des missions: études missionnaires, 1924, page 190)