Albarine

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Étymologie

Deux hypothèses principales :

  • « rivière blanche » ou « rivière divine, sacrée ». Il s'agit d'un composé du gaulois albos /albios signifiant « blanc » originellement (comme le latin albus), il semble avoir pris exclusivement le sens religieux de « monde lumineux, monde d´en haut » [1] et du gaulois onno « cours d´eau, fleuve », attesté dans le glossaire gaulois - latin d'Endlicher avec ce sens ou du suffixe des noms de rivières -o(n)na à valeur obscure. En fin de compte l'existence de onno en tant que nom commun en gaulois est douteuse[2] ;
  • « rivière des saule », de l'occitan albar « saule, peuplier blanc » (arbres des bords de rivière) et de la terminaison -ona par analogie avec d'autres noms de rivières.

Nom propre

L'Albarine à Saint-Rambert-en-Bugey.

Albarine \al.ba.ʁin\ féminin singulier

  1. (Géographie) Rivière française.
    • À Chaley, Mario Strapazzon n’oubliera pas non plus les colères de l’Albarine. « En 1990, dix-sept caravanes se sont retrouvées sous 1,40 m d’eau. » — (« Il y a 25 ans, le Bugey se retrouvait une deuxième fois sous les eaux », Le Progrès, 22 décembre 2016, )

Prononciation

  • France (Saint-Maurice-de-Beynost) : écouter « Albarine  »
  • Somain (France) : écouter « Albarine  »

Anagrammes

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Voir aussi

Références

  1. Xavier Delamarre , Dictionnaire de la langue gauloise : une approche linguistique du vieux-celtique continental, Paris, éditions Errance, Collection des Hespérides, 2001, p. 37- 38
  2. Ibid., p. 241