Arsène \aʁ.sɛn\ masculin, parfois féminin
— Alors comment vous appelez-vous ?— (Maurice Leblanc, La Comtesse de Cagliostro, 1924)
— Oh ! d’un nom bien vulgaire, ma pauvre Clarisse.
— Quel nom ?
— Arsène Lupin.
— Arsène Lupin ?
— Oui, ce n’est guère reluisant, et mieux valait changer, n’est-ce pas ?
En sortant du cimetière, j’ai rencontré Arsène Miron, que je ne distinguais pas très bien, et qui m’a dit bonjour d’un ton goguenard.— (Georges Bernanos, Journal d’un curé de campagne, 1936, réédition Le livre de poche, 1968, page 84)
L'Arsène, i trouvera ben sa route tout seul.— (Claire Bretécher. Les naufragés, éditions Jacques Glénat, 1976, page 6)
C’est un euphémisme de dire que l’ancien sélectionneur des Bleus n’était pas le premier choix pour remplacer l’Italien, élu meilleur coach de l’histoire du club : José Mourinho, Arsène Wenger, Rafael Benitez, Roberto Mancini, Guus Hiddink, André Villas-Boas, Fabio Capello ou encore Frank Rijkaard avaient été sondés.— (journal Le Journal du dimanche, 2 avril 2023, page 26)
Eh ! mais il est depuis quinze jours dans le lit d’Arsène, dit la petite Niseron en éclatant de rire ; si cette grande paresseuse faisait son lit, elle l’aurait trouvé…— (Honoré de Balzac, Les Paysans, 1845, première partie, chapitre treizième)
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