Bouaké

Bonjour, vous êtes venu ici pour chercher la signification du mot Bouaké. Dans DICTIOUS, vous trouverez non seulement toutes les significations du dictionnaire pour le mot Bouaké, mais vous apprendrez également son étymologie, ses caractéristiques et comment dire Bouaké au singulier et au pluriel. Tout ce que vous devez savoir sur le mot Bouaké est ici. La définition du mot Bouaké vous aidera à être plus précis et correct lorsque vous parlerez ou écrirez vos textes. Connaître la définition deBouaké, ainsi que celles d'autres mots, enrichit votre vocabulaire et vous fournit des ressources linguistiques plus nombreuses et de meilleure qualité.

Étymologie

(1894)[1] Selon le linguiste et ethnologue Maurice Delafosse, du nom de Gbwèke - chef du nord du territoire baoulé, mort en 1897 - prononcé « Bouaké » par les Européens[2].
Par ailleurs, une étymologie populaire attribue à ce nom le sens de « mouton sec » - du baoulé bua (« mouton ») et ke (« sec »)[3].

Nom propre

Nom propre
Bouaké
\bwa.ke\
Situation de Bouaké en Côte d’Ivoire

Bouaké \bwa.ke\ féminin

  1. Commune de Côte d’Ivoire, deuxième ville la plus peuplée du pays après Abidjan.
    • Située à l'interface forêt-savane, ce qui en fait un pôle naturel d'échanges, Bouaké est une ville à part dans le paysage du réseau des villes ivoiriennes. Elle tire avantage de sa situation pour devenir une ville importante du réseau urbain. — (Jérôme Aloko-N’Guessan, Le Marché sous-régional de Gros à Bouaké, à l’épreuve de la crise socio-politique invoirienne, in Echanges et réseaux marchands en Afrique, Khartala, 2010, page 120)

Gentilés et adjectifs correspondants

Traductions

Voir aussi

  • Bouaké sur l’encyclopédie Wikipédia

Références

  1. Journal des débats politiques et litteraires, Les progrès de Samory, 03/04/1894, page 2
  2. Maurice Delafosse, Essai de manuel de la langue agni parlée dans la moitié orientale de la Côte d’Ivoire, J. André, 1901, page 136
  3. Anne Filippi, Bouaké : cité chargée d’histoires, rencontre des peuples, et fleur de coton, Africa international n° 185, 1986