Singulier | Pluriel |
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Bretillien | Bretilliens |
\bʁe.ti.ljɛ̃\ |
Bretillien \bʁe.ti.ljɛ̃\ masculin (pour une femme, on dit : Bretillienne)
Côté breton, le Sud-Finistérien Nicolas Gestin se classe 6e et le Bretillien Mewe Debliquy 11e.— (journal Le Télégramme, édition Morlaix, 30 juillet 2022, pages sportives, page 6)
Jusqu’en 2013, il n’y a pas de terme admis : Illéens, Ille-et-Vilainois… Un habitant du département d’Ille-et-Vilaine qui couvre une partie de la Haute-Bretagne, le plus souvent par exemple Rennais dans le pays de Rennes ou Malouin dans le pays de Saint Malo, peut avant tout se considérer pour les uns comme un Haut-Breton ou pour les autres comme un Breton.
Le Petit Larousse 2004, à l’article « Ille-et-Vilaine », ne donne aucune appellation pour ses habitants.
En 2012, le Conseil général d'Ille-et-Vilaine a décidé d'officialiser un gentilé pour le département[1]
Le 20 juin 2013, après consultation d’un "comité d’experts" présidé par un publicitaire, le gentilé "Bretillien" est choisi par l'Assemblée départementale[2] (Recueil des actes administratifs du département d'Ille et Vilaine - no 442 du 12 juillet 2013- page 249)
Le Conseil général fait le choix de renoncer à consulter les habitants (Un nom sans l'aval des habitants - édition papier du magazine Le Mensuel de Rennes - no 50 - septembre 2013 - pleine page 16)
Si certains habitants contestent ce nouveau gentilé, il est régulièrement utilisé par le journal Ouest-France.
Le 19 décembre 2013, la Commission d’accès aux documents administratifs (CADA) a autorisé la communication des « livrables » du marché public pour « la création et le lancement du gentilé des habitants d’Ille-et-Vilaine que le Conseil général a jusqu’à présent refusée.