C.G.T. \se.ʒe.te\ féminin
À sa propagande de quartier, il alliait une action incessante dans les ateliers du boulevard Masséna. Il avait puissamment resserré les liens moraux qui unissaient à la C. G. T. les typographes, les minervistes et les relieurs de Delaborde.— (J.-H. Rosny aîné, La Vague rouge, roman de mœurs révolutionnaires, 1re part., chap. 8, Paris : chez Plon-Nourrit et Cie, 1910, p. 141)
À Orléans, le secrétaire-adjoint de la C.G.T., le citoyen Dumoulin, disait: Nous préférons une C.G.T. de 2 millions de syndiqués à la C.G.T. d'avant-guerre. Il savait alors que la C.G.T. ne comptait guère plus d'adhérents que la C.G.T. d'avant-guerre. Mais ce qu'il oubliait de dire, c'est que la C.G.T. majoritaire d'aujourd'hui, même avec 2 millions d'adhérents, effraie moins la bourgeoisie capitaliste que la C.G.T. batailleuse d'avant-guerre.— (Ludovic-Oscar Frossard; Pour la IIIe Internationale , discours prononcé au XVIIIe Congrès de la S.F.I.O. à Tours en décembre 1920)
Le schisme a entraîné aussi la division du syndicalisme. a côté de la C.G.T. est apparue une petite C.G.T.U. (…) d'obédience communiste, .— (Jacques Delpierrié de Bayac, Histoire du Front populaire, Fayard, 1972, page 22)
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