Nom propre |
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Courtrai \kuʁ.tʁɛ\ |
Courtrai \kuʁ.tʁɛ\
— Docteur Peperkouk, le duc d'Aumont, que je ne connais ni des lèvres ni des dents (il voulait dire ni d'Ève, ni d'Adam), vous demande au camp du roi de France, dressé entre Tournai et Courtrai. Il est malade.— (Jacques Collin de Plancy, « Le Docteur Peperkouk », dans Légendes des origines, Liège : chez H. Dessain, 1850, p. 310)
Le second siège a lieu cinq ans plus tard, en 1302, quand la ville est reprise par les Flamands au lendemain de la célèbre bataille des Eperons d'or à Courtrai et de la déroute de l'ost royal (18 mai 1302).— (Philippe Marchand, Histoire de Lille: Volume 5, 2003)
En 1820, un Traité dit des « Limites » est signé à Courtrai (dans l’actuelle Belgique néerlandophone) pour inscrire noir sur blanc ce tracé de frontière... Qui n’avait semble-t-il pas bougé jusqu’au geste malheureux d’Erquelinnes.— (AFP, En Belgique, il agrandit son terrain... et repousse la frontière avec la France, Le Journal de Montréal, 4 mai 2021)
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