Discussion modèle:Mot d'actualité/10 2007

Bonjour, vous êtes venu ici pour chercher la signification du mot Discussion modèle:Mot d'actualité/10 2007. Dans DICTIOUS, vous trouverez non seulement toutes les significations du dictionnaire pour le mot Discussion modèle:Mot d'actualité/10 2007, mais vous apprendrez également son étymologie, ses caractéristiques et comment dire Discussion modèle:Mot d'actualité/10 2007 au singulier et au pluriel. Tout ce que vous devez savoir sur le mot Discussion modèle:Mot d'actualité/10 2007 est ici. La définition du mot Discussion modèle:Mot d'actualité/10 2007 vous aidera à être plus précis et correct lorsque vous parlerez ou écrirez vos textes. Connaître la définition deDiscussion modèle:Mot d'actualité/10 2007, ainsi que celles d'autres mots, enrichit votre vocabulaire et vous fournit des ressources linguistiques plus nombreuses et de meilleure qualité.

Mauvaise définition

« Enjeu majeur de la campagne électorale en cours au Québec. À partir de quand une adaptation effectuée pour les immigrés devient-elle déraisonnable? Et en France, où le problème est aussi d'actualité, en quel(s) terme(s) en parle-t-on? »

D'abord, ce n'est pas la définition des accommodements raisonnables. Deuxièmement, ce n'est pas un enjeu majeur de la campagne électorale, sauf dans la tête de journalistes ignorants en mal de sensations. La question ne date pas d'hier et ce ne sont pas les commérages de tout un chacun sur des sujets qu'ils ne maîtrisent pas qui nous aidera à trouver les bons points d'équilibre.

Les accommodements raisonnables réfèrent à des arrangements permettant à des citoyens de pratiquer leur culte librement à l'intérieur du cadre publique qui est laïque. Ces personnes ne sont pas nécessairement des immigrés. Ce sont principalement des personnes croyantes qui se trouvent confrontées à une situation difficile : choisir entre enfreindre la loi ou les règlements de la société ou violer leur code de conduite religieuse. Il est bien évident que les lois adoptées par l'Assemblée nationale du Québec et la Chambre des communes du Canada, particulièrement les chartes des droits et libertés, doivent, en cas de conflit, l'emporter sur un quelconque règlement de secte. Mais c'est justement parce que les chartes protègent la liberté de religion qu'il est parfois nécessaire de faire des aménagements afin que dans l'espace public, la pratique réelle du culte soit possible.

Voici ce que dit l'article 3 de la Charte québécoise des droits et libertés de la personne: « Toute personne est titulaire des libertés fondamentales telles la liberté de conscience, la liberté de religion, la liberté d'opinion, la liberté d'expression, la liberté de réunion pacifique et la liberté d'association. »

Au niveau fédéral, l'article 2 de la Charte canadienne des droits et libertés affirme :

« Chacun a les libertés fondamentales suivantes : a) liberté de conscience et de religion; b) liberté de pensée, de croyance, d'opinion et d'expression, y compris la liberté de la presse et des autres moyens de communication; c) liberté de réunion pacifique; d) liberté d'association. »

-- Mathieugp 5 mars 2007 à 17:07 (UTC)Répondre

Ce que vous avez lu était une invitation à créer un article de dictionnaire, et non une définition. Toutefois, vous avez raison, elle a été mal formulée et donnait l'impression d'inviter une discussion politique. Nous l'avons donc changée. Nepas ledire 5 mars 2007 à 19:52 (UTC)Répondre

-- JMBeaudoin 7 mars 2007 à 20:10 (UTC)Répondre

L'article 12 ce la Charte canadienne des droits et liberté stipule aussi que ;

La loi ne fait acception de personne et s'applique également à tous, et tous ont droit à la même protection et au même bénéfice de la loi, indépendamment de toute discrimination, notamment des discriminations fondées sur la race, l'origine nationale ou ethnique, la couleur, la religion, le sexe, l'âge ou les déficiences mentales ou physiques.

Cette charte garantit les droits et libertés pour tous et de toutes origines sans exception.

Dans les faits certains accomodements accordés vont à l'encontre de cet article en brimant les libertés d'autres citoyens.

Exemple: Accomodement par les policiers de Montréal pour que seul un officier masculin puisse s'adresser à un membre de la communauté juive hassidique alors que la Charte parle d'égalité entre les sexes.

Ces considérations sont fort intéressantes mais ont peu à voir avec la confection d'une définition pour un dictionnaire de langue. Je vous invite à vous abonner à des forums de discussion politique. Nepas ledire 8 mars 2007 à 02:37 (UTC)Répondre

En France les lobbys religieux n'ont pas encore réussi à imposer ces "accommodements raisonnables " (terme absolument inconnu en France : c'est bon signe ici il n'y a aucun mot pour ce concept )on en est seulement à de vagues projets de discrimination positive et je ne pense pas que des lois aussi tordues puissent être votées en France mais qu'on est loin de l'objet de ce site !! Sneaky13 8 mars 2007 à 11:55 (UTC)Répondre

Il n'est pas question ici de discuter de l'intérêt de cet ensemble de mesures. Dans l'article accommodement raisonnable, on se contente de donner une définition et le contexte d'utilisation particulier de ce terme pour aider les lecteurs à comprendre ce que cette locution signifie (utile pour un européen comme moi par exemple). Pour approfondir sur les détails et les controverses autres que sur la locution-même, c'est sur Wikipédia qu'il faut aller. - Dakdada (discuter) 8 mars 2007 à 12:25 (UTC)Répondre

"accommodements raisonnables" n'ayant aucun sens en français le sens le plus voisin me semble être "compromis acceptables ". Sneaky13 29 mars 2007 à 22:10 (UTC): Comment ça, aucun sens en français ? On ne l'entend pas en France mais, même en France, je pense que ça se comprend bien. Lmaltier 30 mars 2007 à 05:56 (UTC)Répondre

En France on dirait "modus vivendi "

Sneaky13 30 mars 2007 à 12:34 (UTC)Répondre