Invariable |
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Dzeus \dzøs\ |
Dzeus \dzøs\ masculin
Hélas sur moi ! j’ai perdu sa lettre. Si c’est une femme qui l’a lue, ô Dzeus Gardien, protège-moi ! car elle le dira à tout le monde, ou elle me prendra mon amant.— (Pierre Louÿs (1870-1925), Les Chansons de Bilitis, 1894, « La lettre perdue » ; Œuvres complètes de Pierre Louÿs, 1929 - 1931, tome 2, page 57, Slatkine reprints, 1973. Texte procuré par Wikisource : s:fr:Les Chansons de Bilitis, suivies de Chansons modernes/Les Chansons de Bilitis/39 et s:fr:Page:Louÿs - Œuvres complètes, éd. Slatkine Reprints, 1929 - 1931, tome 2.djvu/59 (avec fac simile))
À ces belles rimes sonores, Mlle Berthe Bady prête le secours de sa voix souple et vibrante, elle dit ses hésitations entre l’ordre donné par Dzeus et qu’elle doit accomplir, messagère divine, et la tendresse qui fermente dans son cœur de femme.— (Robert Duval, « Chronique dramatique » in l’Univers du dimanche 8 décembre 1907, page 2, colonne 5[1])