Elpénor \ɛl.pe.nɔʁ\
C’est alors que mourut le matelot Elpénor. Seule occasion que j’aurai de prononcer son nom, car il ne se distingua jamais, ni par sa valeur, ni par sa prudence.— (Homère, Odyssée, Chant X. Référence nécessaire)
Mais je ne les emmenai point tous, car Elpénor, le plus jeune d’entre eux, Elpénor, qui n’était point vaillant à la guerre ni sain d’esprit, s'était éloigné de ses amis pour respirer la fraîcheur dans les demeures sacrées de la déesse. Il s’endormit la tête appesantie par les vapeurs du vin ; dès qu’il entendit le bruit que faisaient mes compagnons, il se réveilla en sursaut, et, dans le trouble de son esprit, au lieu de descendre par l’escalier, il se précipita du haut du toit : par cette chute, les vertèbres du cou furent rompues, et son âme s’envola vers les sombres demeures.— (Homère, Odyssée, chant X, traduction en prose d’Eugène Bareste, édition de 1842, page 195. Lire dans Wikisource : s:L’Odyssée/Traduction Bareste/10 pour le chant et s:Page:L’Odyssée (traduction Bareste).djvu/226 pour la page 195.)
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