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La première partie de son nom lui vient des nombreuses sources qui ruissellent sur son territoire, à flanc de coteau du plateau de Châtillon. Jusqu'à la Renaissance, elle était alors appelée Fontanetum.
La seconde partie de son nom s'explique par la faveur que connut la culture de cette fleur à partir du XVIIe siècle jusqu'au milieu du XIXe siècle. Le village eut en particulier le privilège exclusif de fournir en roses le Roi-Soleil. Cela explique en partie l'attrait que le bourg a exercé sur les nouveaux Rosati, qui s'y réunirent chaque année de 1892 à 1992.
Sorrente est une forêt d’orangers ; Fontenay est un bouquet de roses. Chaque maison a son rosier qui monte le long de la muraille, protégé au pied par un étui de planches; arrivé à une certaine hauteur, le rosier s’épanouit en gigantesque éventail ; l’air qui passe est embaumé, ….— (Alexandre Dumas, « La Rue de Diane à Fontenay-aux-Roses », dans Les Mille et Un Fantômes, 1849)
Dans la région de Paris notamment la rose est cultivée avec succès, en particulier du côté de Fontenay-aux-Roses et de l’Haÿ.— (Marcel Hégelbacher; La Parfumerie et la Savonnerie. -1924, p.42)
Les fêtes de roses qui se multipliaient, surtout autour de Paris, à Brie-Comte-Robert ou Grisy-Suisnes, en Brie, à Fontenay-aux-Roses, et ailleurs, étaient plus proches de la kermesse que de la mondanité.— (François Joyaux, La rose, une passion française (1778-1914), Éditions Complexe, 2001, page 177)