Nom propre |
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Formerie \fɔʁ.mə.ʁi\ |
Formerie \fɔʁ.mə.ʁi\
Les ravins dont la réunion forme la vallée de la Bresle qui s'ouvre dans la Manche, au-dessous de la ville d’Eu , commencent par des plis de terrain dans les bois de Formerie et à Secqueville , dépendance contiguë de Bouvresse : .— (Louis Graves, Essai sur la topographie géognostique du département de l'Oise, Beauvais : chez Achille Desjardins, 1847, p. 117)
Le soir de ce combat, raconte, dans une intéressante brochure, M. Bellou, le bourg de Formerie présentait le plus triste aspect : les boutiques, les cafés étaient fermés. Indépendamment des maisons brûlées, beaucoup étaient criblées de balles et d'obus, les vitres étaient cassées et les portes défoncées.— (Théodore Lemas, Un département pendant l'invasion, 1870-1871, Librairie Fischbaches, 1884, page 101)
Les seuls marchés qui aient conservé quelque importance sont ceux de Formerie, de Gournay et de Songeons. Le premier dépasse de beaucoup tous les autres, même celui de Gournay.— (Th Leroux & M. Lenglen, L'agriculture dans le département de l'Oise, J.B. Baillière, 1909, page 379)
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