Invariable |
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Franconie \fʁɑ̃.kɔ.ni\ |
Franconie \fʁɑ̃.kɔ.ni\ féminin
Pour la première fois, peut-être, depuis le commencement de l’invasion, les Allemands n’avaient maltraité personne. Ils avaient même décoré l’église, les trois ou quatre cents bougies dont s’étonnaient les humbles murailles, ayant été tirées de leurs sacs, et les cloches étaient sonnées par l’un d’eux, qu’on disait fils d’un maître de chapelle de la Franconie.— (Léon Bloy, Noël prussien, dans Sueur de sang, 1893)
À la fin de l’après-midi d’un beau jour d’été de l’année 19…, si l’on me permet d’emprunter le style cher au feuilletonniste, un aéronaute solitaire –pour remplacer le cavalier du roman de cape et d’épée– poursuivait sa route à travers la Franconie, dans la direction du Nord-Est.— (H. G. Wells, La Guerre dans les airs, 1908, traduction d’Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, Mercure de France, Paris, 1910, page 110 de l’édition de 1921)
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