Indo-Chine \ɛ̃.dɔ.ʃin\ féminin
L’ortie de Chine ou Bœhmérie, nommée mai et tchou-ma par les Chinois et cay-gai par les Annamites, est, après le coton, la plante textile la plus cultivée dans toute l’Indo-Chine.— (Dr Thorel, « Agriculture et horticulture de l'Indo-Chine », dans Voyage d'exploration en Indo-Chine : effectué pendant les années 1866, 1867 et 1868 par une commission française présidée par M. le Capitaine de frégate, Doudart de Lagrée , tome 2, France : Commission d'exploration du Mékong & Paris : Librairie Hachette, 1873, p. 409)
À l’heure actuelle, en Indo-Chine, tout le monde peut se compromettre sans danger. Il suffit de savoir avec qui.— (R.-A. Lortat-Jacob, Sauvons l’Indo-Chine ! Politique & Vérité, Paris : Éditions de La Griffe, sans date (fin 1926-début 1927), chap. 2, p. 26)