Kamerun-Stadt

Bonjour, vous êtes venu ici pour chercher la signification du mot Kamerun-Stadt. Dans DICTIOUS, vous trouverez non seulement toutes les significations du dictionnaire pour le mot Kamerun-Stadt, mais vous apprendrez également son étymologie, ses caractéristiques et comment dire Kamerun-Stadt au singulier et au pluriel. Tout ce que vous devez savoir sur le mot Kamerun-Stadt est ici. La définition du mot Kamerun-Stadt vous aidera à être plus précis et correct lorsque vous parlerez ou écrirez vos textes. Connaître la définition deKamerun-Stadt, ainsi que celles d'autres mots, enrichit votre vocabulaire et vous fournit des ressources linguistiques plus nombreuses et de meilleure qualité.

Cette entrée est considérée comme une ébauche à compléter en français. Si vous possédez quelques connaissances sur le sujet, vous pouvez les partager en modifiant dès à présent cette page (en cliquant sur le lien « modifier le wikicode »).

Étymologie

(1884-1918) De son nom allemand — qui est composé de Kamerun et de Stadt.

Nom propre

Nom propre
Kamerun-Stadt
\Prononciation ?\

Kamerun-Stadt \Prononciation ?\

  1. (Désuet) Nom que le colonisateur allemand avait donné à la ville camerounaise de Douala.
    • Le Père Nekes, dans l'article sur la mort de M. Mbangué que nous avons cité, raconte ainsi ces débuts : « Le 25 octobre 1890 débarquèrent à Douala alors appelé Kamerun-Stadt, les huit premiers missionnaires pallotins dont deux prêtres : Le Père Henri Vieter, préfet apostolique et le Père Georg Walter. — (Engelbert Mveng, Histoire du Cameroun, Editions Présence africaine, 1963, 5e partie-chap. 8)
    • Dès lors, la ville de Douala fut baptisée « Kamerun-Stadt ». L'on devra attendre dix-sept ans pour que le décret allemand du 1er janvier 1901 transformât formellement le « Kamerun-Stadt » en ville de Douala. — (Jean Tabi-Manga, Les politiques linguistiques du Cameroun : essai d'aménagement linguistique, Karthala Éditions, 2000, p. 15)
    • L'Allemagne établit ainsi, quelques jours plus tard, le 12 juillet 1884, un nouveau protectorat sur la région de Douala qui prit le nom de Kamerun, Douala devenant Kamerun-Stadt. — (Christian Roche, L’Afrique noire et la France au XIXe siècle - Conquêtes et résistances, chap. 7 : Le Cameroun, Karthala Éditions, 2011, p. 105)

Variantes

Voir aussi

  • Douala sur l’encyclopédie Wikipédia