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Étymologie
- (Fin XIXe siècle – Début XXe siècle) Probablement du français conduction, ou directement du latin conductio ; comparer au suédois konduktion, même sens.
Nom commun
Konduktion \kɔndʊkˈt͡si̯oːn\ féminin
- (Physique) Conduction thermique.
Es erübrigt uns noch jene Wärmemenge zu bestimmen, welche während des Zeitintervalles der Erdoberfläche durch Konduktion aus der Erdkruste zugeführt wird.
— (Milutin Milanković, « Über ein Problem der Wärmeleitung und dessen Anwendung auf die Theorie des solaren Klimas. », dans Zeitschrift für Mathematik und Physik, no 1, 1913, vol. 62, page 63-77 )
- Il nous reste encore à déterminer la quantité de chaleur qui est fournie, à partir de la croûte terrestre, à la surface de la Terre par conduction thermique pendant l’intervalle de temps .
Die in den Ausdrücken (5) vorkommende Größe ist aus der Gleichung (10) bestimmbar und stellt demnach jene Temperatur dar, welche sich auf der Oberfläche bei Abwesenheit der Konduktion während des mittleren Bestrahlungszustandes einstellen würde.
— (Milutin Milanković, « O primjeni matematičke teorije sprovođenja toplote na probleme kosmičke fizike – Über die Anwendung der mathematischen Theorie der Wärmeleitung auf Probleme der kosmischen Physik. », dans Rad / Jugoslavenska akademija znanosti i umjetnosti, 1913, page 82-86 )
- La grandeur qui apparaît dans les expressions (5) peut être déterminée à partir de l’équation (10), et représente donc la température qui s’établirait à la surface en l’absence de conduction thermique pour l'état d'irradiation moyen .
Ähnlich ZEHNER, BAUER und SCHLUNDER und WAKAO und KATO teilen SLAVIN ET AL. die Einheitselle in einen inneren Partikelbereich (P) und einen äußeren Hohlraumbereich (HR) auf. Diese betrachten sie durch Parallelschaltung speziell definierter Konduktionen G des inneren und äußeren Bereichs voneinander getrennt.
— (Stephan Parzinger, Analytische Modellierung der temperatur- und gasdruckabhängigen effektiven Wärmeleitfähigkeit von Pulvern, Université technique de Munich – TUM, Munich, 28 mai 2014, page 68)
- Comme ZEHNER, BAUER et SCHLUNDER et WAKAO et KATO , SLAVIN ET AL. divisent la cellule unitaire en une zone interne à la particule (P) et une zone de porosité externe (HR). Celles-ci sont considérées séparément les unes des autres par la mise en parallèle de conductions thermiques G des zones interne et externe, définies spécifiquement.
Note : Le pluriel (cf. dernier exemple) est rare, et peut désigner plusieurs chemins de conduction thermique.
Synonymes
Voir aussi
- Konduktion sur l’encyclopédie Wikipédia (en allemand)
Références