Nom propre |
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La Vieille-Ville \Prononciation ?\ |
La Vieille-Ville \Prononciation ?\
228 kil. Saulces-Monclin ou Saulces-aux-Bois, v. de 1,557 hab.; possède une filature de laine et plusieurs tuileries ; il fut fondé par les anciens moines de Novy, et sur son territoire se trouve le hameau de la Vieille-Ville, où les comtes de Rethel avaient un joli château seigneurial.— (« Route 44, de Paris à Mézières & Charleville, par Reims », dans Guide du voyageur en France par Richard, 25e éd., Paris : Librairie L. Hachette et Cie, 1861, p. 75)
Il y a dans la commune de Saulces (arr. de Rethel, con de Novion-Porcien) jadis nommée Saulces-la-Franche, un écart appelé la Vieille-Ville, et un autre qui a conservé le nom de Saulces-aux-Tournelles; ce dernier lieudit est à la source de la Saulces, les deux autres sont séparés par le même cours d'eau.— (« Terrier du comté du Rethelois », commentaire de L.-H. Moranvillé, dans la Revue historique ardennaise, publiée par Paul Laurent, tome 5 (année 1898), Paris : chez Alphonse Picard & fils, 1898, p. 267, note 1)
Il est nommé vicaire de Saulces-aux-Bois (aujourd'hui Saulces-Monclin), le 14 juillet 1764 ; il dessert la Vieille-Ville située à 500 mètres de Saulces pendant trois ans. Il quitte ce poste le 15 juillet 1767 pour être vicaire résident à Marcquigny alors succursale de la paroisse de Chagny.— (Pierre Bloume, Un curé de Nampcelles-la-Cour sous la Terreur : Jean-Baptiste Rifflart (1739-1799), part. 1, Lemé : Université picarde libre de Thiérache, 1994)