Bonjour, vous êtes venu ici pour chercher la signification du mot
Mnemosyne. Dans DICTIOUS, vous trouverez non seulement toutes les significations du dictionnaire pour le mot
Mnemosyne, mais vous apprendrez également son étymologie, ses caractéristiques et comment dire
Mnemosyne au singulier et au pluriel. Tout ce que vous devez savoir sur le mot
Mnemosyne est ici. La définition du mot
Mnemosyne vous aidera à être plus précis et correct lorsque vous parlerez ou écrirez vos textes. Connaître la définition de
Mnemosyne, ainsi que celles d'autres mots, enrichit votre vocabulaire et vous fournit des ressources linguistiques plus nombreuses et de meilleure qualité.
Étymologie
- Du grec ancien Μνημοσύνη, Mnēmosúnē.
Nom propre
Mnemosyne \Prononciation ?\ féminin
- (Mythologie) Mnémosyne.
secundae Iove tertio et Mnemosyne procreatae novem; tertiae Piero natae et Antiopa, quas Pieridas et Pierias solent poetae appellare, isdem nominibus et eodem numero, quo proxumae superiores. Cumque tu solem, quia solus esset, appellatum esse dicas, Soles ipsi quam multi a theologis proferuntur. Unus eorum Iove natus nepos Aetheris; alter Hyperione; tertius Volcano Nili filio, cuius urbem Aegyptii volunt esse eam, quae Heliopolis appellatur; quartus is, quem heroicis temporibus Acantho Rhodi peperisse dicitur, pater Ialysi, Camiri, Lindi, unde Rhodii; quintus, qui Colchis fertur Aeetam et Circam procreavisse.
— (Cicéron, De natura deorum, III)
- neuf muses, qui ont eu pour père le troisième Jupiter, et pour mère Mnémosyne. Autres neuf encore, qui n’ont pas d’autres noms que les précédentes, et qui sont nées de Piérus et d’Antiope. Les poètes ont coutume d’appeler celles-ci Piérides et Piériennes. Quoique le Soleil ait été ainsi nommé, dites-vous, parce qu’il est seul : de combien de soleils cependant nos théologiens font-ils mention? Il y en a un fils de Jupiter, et petit-fils de l’Éther. Un autre, fils d’Hypérion. Un troisième, de Vulcain fils du Nil; et c’est à celui-ci que les Égyptiens donnent la ville d’Héliopolis. Un quatrième, né à Rhodes d’Acantho, dit-on, au siècle des Héros, et qui est l’aïeul d’Ialysus, de Garniras, et de Lindus. Un cinquième, dont on prétend qu’Ætés et Circé sont nés à Colchos. — (traduction)
Références