Mon Repos \mɔ̃ ʁə.po\
N’est-il pas « toujours licite de renseigner le public sur les personnalités qui jouent un rôle en vue dans la vie publique» comme le disait autrefois le Tribunal fédéral ? Et les bons juges de Mon-Repos ajoutaient sans malice : « Ce droit va particulièrement loin s'agissant des membres de l’Assemblée fédérale, car l’assemblée n’a au-dessus d’elle aucun organe officiel de surveillance ».— (François Gross (avec la collaboration de Christophe Büchi, Éric Burnand et Michel Zendali), François Gross en liberté : 20 ans de journalisme sur les bords de la Sarine, page 72. Éditions Saint-Paul, 1997.)
Mais le proche avenir démontrera certainement que le pragmatisme des juges de Mon Repos était in casu la seule solution pour sortir de l’ornière.— (Alex Dépraz, « Cauchemar à Mon Repos : les juges peuvent-ils dormir tranquilles ? ». Domainepublic.ch, 28 février 2003.)
Les juges de Mon Repos ne voient aucune raison qui empêcherait la même instance de trancher les deux questions.— (, « Internement: Mon Repos clarifie la procédure ». Tribune de Genève, 29 mars 2019.)
Non seulement le recours est déclaré irrecevable, mais Mon-Repos a mis les 500 francs de frais de justice à la charge de l’avocat et non de ses clients.— (Gilles Berreau, « L’avocat valaisan Stéphane Riand sanctionné par le Tribunal fédéral ». Le Nouvelliste, 21 septembre 2019.)
→ Modifier la liste d’anagrammes