Invariable |
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Olympe \ɔ.lɛ̃p\ |
Olympe \ɔ.lɛ̃p\ masculin
L’Olympe est située entre la Macédoine et la Thessalie.
Il s'avançait, précédé d'un escadron de mousquetaires Louis XIII, montés sur des chevaux de troupe, et suivi par un char monumental qui portait tous les dieux de l’Olympe, y compris le Temps, armé de la faux classique.— (Fortuné du Boisgobey, Double-Blanc, Paris : chez Plon & Nourrit, 1889, p. 57)
Les travaux imposés à Hercule tendent soit à le faire échouer, auxquels cas il meurt, et il n’est plus un dieu (puisque n’étant pas immortel et invincible) soit à le faire triompher, auxquels cas il est un véritable dieu et rejoint l’Olympe.— (Florent Montaclair, Vers une critique post-formaliste du fantastique, dans Aspects de la critique, colloque des Universités de Birmingham et de Besançon, Presses Universitaires de Franche-Comté, 1998, page 46)
En revanche, le déroulement des carrières est substantiellement revu. Il faudra avoir fait ses preuves plusieurs années sur le terrain avant de pouvoir prétendre rejoindre l’Olympe.— (Le Monde, La fin de l’ENA, une étape vers le renouveau de l’Etat, Le Monde. Mis en ligne le 9 avril 2021)
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Olympe \ɔ.lɛ̃p\ |
Olympe \ɔ.lɛ̃p\ masculin et féminin identiques
Olympe, entrant chez la boulangère-pâtissière, suscita un certain remous parmi les clientes.— (Charles Exbrayat, La Désirade, Albin Michel, 1985, deuxième partie, chapitre 4)
L’une d’entre elles émit cette remarque qu’Olympe était faible et avait besoin de prendre des fortifications. Une fille à tout faire lui monta donc un potage.— (Auguste de Villiers de L’Isle-Adam, « Les Demoiselles de Bienfilâtre », dans les Contes cruels, 1883, éditions J. Corti, 1954, volume 1, page 10)
Olympe \Prononciation ?\