Nom propre |
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Pétrarque \pe.tʁaʁk\ |
Pétrarque \pe.tʁaʁk\
– Quand je pense que j’ai aimé les fleurs, les prairies et les sonnets de Pétrarque, le spectre de ma jeunesse se lève devant moi en frissonnant.— (Alfred de Musset, Lorenzaccio, 1834, acte I, scène 4)
Pétrarque avait aussi une servante d’une laideur rare et singulière.— (Anatole France, Le Mannequin d’osier, Calmann Lévy, 1897, réédition Bibliothèque de la Pléiade, 1987, page 1008)
Écoutez Virgile hausser l’églogue à la hauteur du printemps ; Catulle mêler l’avril aux tentations plus fortes que les ambitions ; Longus adorer Chloé nue ; Dante épancher son inquiétude philosophique et lyrique sur le mystère de la femme ; Pétrarque soupirer ses aveux dans un exil que sa détresse enchante ; et, se rapprochant toujours plus de nous, Ronsard s’enivrer de la femme, parce qu’elle est une rose ; Shakespeare diviniser sa peine tumultueuse et insondable ; Racan bergeriser ; Segrais paganiser ; Voltaire proclamer le bon sens supérieur de l’amour.— (Martin-Saint-René, Victor Hugo et La légende des siècles, 1930, page 75)
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