PSU \Prononciation ?\ masculin
Jean Le Faucheur s’engage très jeune en politique : militant du MLP (Mouvement de libération du peuple, issu des JOC), puis de l’UGS (Union de la gauche socialiste, qui regroupe dès 1957 des militants de gauche français), il rejoint le PSU (Parti socialiste unifié) à sa fondation en 1960, avant d’adhérer au Parti socialiste en 1977.— (journal Le Télégramme, édition Morlaix, 31 juillet 2022, page 25)
Voilà un demi-siècle, le 3 avril 1960, naissait le Parti socialiste unifié (PSU), dont les derniers militants prononcèrent la dissolution trente ans plus tard, le 7 avril 1990.— (Le PSU vu d’en bas, ouvrage collectif sous la direction de Tudi Kernalegenn, Francois Prigent, Gilles Richard et Jacqueline Sainclivier, 2019)
Jean-Claude Gillet poursuit ici son travail de description et d’analyse sur les apports du Parti socialiste unifié (PSU) dans la vie politique française (1960-1990).— (Jean-Claude Gillet, Éducation populaire, culture et animation, 2015)
Les cédétistes sont invités à ne pas afficher leurs appartenances politiques dans leurs activités syndicales, la double appartenance syndicat-parti est néanmoins présentée comme allant de soi au PSU.— (Annie Collovald, Julie Pagis & Vincent Porhel, « Au carrefour des gauches alternatives : le PSU », chap. 13 de Changer le monde, changer sa vie : Enquête sur les militantes et les militants des années 1968 en France, sous la direction de Olivier Fillieule, Sophie Beroud, Thomas Hirsch, Camille Masclet & Isabelle Sommier, Actes Sud, 2018)
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PSU \ˌpi.ˌɛs.se.ˈu\