Philippot \fi.li.po\ masculin et féminin identiques invariable
En 1816, Sénart vendit différentes pièces de terres aux époux Philippot. Depuis, il céda au sieur Ladague une somme de 600 fr. à prendre sur le prix de cette vente.— (Ladague contre Philippot, Cour de Cassation, 25 novembre 1834, dans le Journal du Palais, volume 26, 1834-1835, p. 1052)
Les époux Philippot avaient revendu ces mêmes biens au sieur Marlier, lorsqu'en 1822 Ladague forma contre eux une demande en résolution de la vente, faute de paiement du prix.
Née en 1904 à Chenecey-Buillon dans le Doubs, Alice Marie-Yvonne Philippot passa son enfance et sa jeunesse à Paris. Elle commença à fréquenter le groupe surréaliste au début des années trente avec le peintre autrichien Wolfgang Paalen qu'elle épousa en 1934.— (Georgina M.M. Colvile, Alice Rahon au pays des Merveilles, dans Mélusine, no 19 : Mexique, miroir magnétique, études réunies par Henri Béhar, L’Age d’Homme, 1999, page 174)
En effet, écrire de la musique ancienne n'était pas le mode d'expression favori de Michel Philippot (1925-1996), son style personnel s'inscrivant, pour beaucoup, dans la tradition de l'École de Vienne qui lui avait été révélée par René Leibowitz au milieu des années quarante.— (Patrice Choquet, Le Cantus Fiemus dans Les Variations sur Anda a Roda de Michel Philippot, chap. 11 de Itinéraires du cantus firmus, vol. 7 :Le cantus firmus hymnologique, lexicologique et pédagogique, études coordonnées par Edith Weber, Presses de Paris-Sorbonne, 2004, p. 189)
De là on a conjecturé, non sans fondement , que le verre de vin qu'il avoit bu chez Philippot étoit empoisonné , & que ce scelérat, en faisant périr le Commissionnaire, avoit espéré couper tous les rapports qu'il pouvoit y avoir entre lui & la boîte , & rompre le seul fil qui pouvoit conduire jusqu'à lui.— (Nicolas Toussaint Lemoyne Desessarts, Choix de nouvelles causes célèbres avec les jugemens qui les ont décidées, extraites du "Journal des causes célèbres", depuis son origine jusques et compris l'année 1782, Paris : chez Moutard, 1785, vol. 7, p. 467)
En 1797, Philippot était de cette armée de Rhin-et-Moselle que Hoche mena d’Andernach à Wetzlar et il nous raconte qu'elle suivit l'ennemi sans relâche durant vingt lieues.— (Arthur Chuquet, Le sergent Philippot, dans Épisodes et portraits, éd. H. Champion, 1909, p. 137)