Priape \pʁi.jap\ masculin
Le dernier enfant de Vénus fut Priape, qui portait les noms : d’Avistupor, l'épouvantail des oiseaux; Lampsacène ou de Lampsaque; l’Hellespontique, ou des bords de l’Hellespont; Mutine et Muto et Muttune ou le Muet; Orneate et Orneus, ou d’Ornée en Argolide; Orthane à Athènes, Phalès chez les Cylléniens; Petops en Elide , et Tychon, dans l'Attique.— (J. Odolant-Desnos, Mythologie pittoresque ou histoire méthodique universelle des faux dieux de tous les peuples anciens et modernes, 5e éd., Paris : chez Edme Picard, 1855, page 186)
, le roide Priape, dieu secret des épousées, légitimement dressé dans l’exercice de ses fonctions,— (Marguerite Yourcenar, Souvenirs pieux, 1974, collection Folio, page 129)
F° 67r° : un dessin formant scène – satyre fustigeant une satyresse, devant une statue-terme de Priape. Copie d’un détail d’une gravure de M. Raimondi () d’après un bas-relief antique à Rome.— (Pierre Paul Rubens, Théorie de la figure humaine, édition scientifique par Nadeije Laneyrie-Dagen, Éditions ENS Rue d'ULM, 2003, annexes p. 195)
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