Nom propre |
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Sèvres \sɛvʁ\ |
Sèvres \sɛvʁ\
Chacun rebâtit sa maison, vend ses vieux meubles, refond son argenterie, ou la troque pour la porcelaine de Sèvres qui ne vaut ni le vieux Saxe ni les chinoiseries.— (Honoré de Balzac, La Recherche de l’Absolu, 1834)
Il y avait deux mois qu’elle n’avait rendu visite à sa mère. Jean-Marc, Daniel et Dany, de leur côté, inventaient mille prétexte pour ne pas prendre le chemin de Sèvres.— (Henri Troyat, Les Eygletière. III. La Malandre, Flammarion, 1967, page 71)
Je viens de Sèvres.
Je me rends à Sèvres.
Sur les cinq lycées de filles ouverts à Paris, c’était le seul qui fût très fréquenté ; et encore n’y avait-il guère là, affrontant les préjugés et les préventions, que des filles de fonctionnaires, surtout des filles de professeurs, se destinant elles-mêmes au professorat. Celles-ci, en quittant le lycée, devaient ensuite aller conquérir leur diplôme définitif à l’École normale de Sèvres.— (Émile Zola, Les Trois Villes : Paris, 1897)
Mais ma mère se méfiait de Sèvres, et, réflexion faite, je ne tenais pas à m’enfermer, hors de Paris, avec des femmes.— (Simone de Beauvoir, Mémoires d’une jeune fille rangée, 1958, réédition Le Livre de Poche, page 224)
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