Nom propre |
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Sévigny-la-Forêt \se.vi.ɲi la fɔ.ʁɛ\ |
Sévigny-la-Forêt \se.vi.ɲi la fɔ.ʁɛ\
Dans l'intérieur du bois des Potées, je n'ai pas trouvé de sable, mais le village de Sévigny-la-Forêt est construit sur une butte de sable ayant plus de 6 mètres d'épaisseur ; il repose sur une couche de galets de quartz blanc, semblables à ceux qui accompagnent aussi le sable dans les environs de Maubeuge— (Jules Gosselet, « Notes sur les sables tertiaires du plateau de l'Ardenne », dans les Mémoires pour servir à l'explication de la Carte géologique détaillée de la France : L'Ardenne, Ministère des Travaux publics, Paris : chez Baudry & Cie, 1888, p. 106)
A l'endroit dit « le fond d'Hamzy », vers la limite sud du territoire de Sévigny-la-Forêt, et à une trentaine de mètres environ du ruisseau de la Sautery, le sol, sur une certaine étendue, est parsemé de débris de toutes sortes, fragments de tuiles, de briques, etc., dénotant l'emplacement de constructions gallo-romaines.— (Louis Pierquin, « Étude archéologique de la Forêt des Pothées », dans la Revue historique ardennaise, publiée par Paul Laurent, tome 11 (1904), Paris : chez A. Picard et fils, 1904, p. 126)
Et puis ce fut Rocroi. Le 19 mai 1643, alors que le jour ne s'était pas encore levé, le duc d'Enghien lança ses troupes à l'assaut des positions espagnoles en dehors de la ville, dans une plaine située entre Rocroi et Sévigny-la-Forêt. La bataille ne fut qu'une série de mêlées et d'affrontements rapides, où la cavalerie, très mobile, fut utilisée selon une tactique inhabituelle.— (Xavier Le Person, Le Grand Condé: Un exil pour l'honneur, Librairie Arthème Fayard, 2023)