Nom propre |
---|
Saint-Étienne-de-Lugdarès \Prononciation ?\ |
Saint-Étienne-de-Lugdarès \Prononciation ?\
Le gneiss, feldspathique et compacte sur le territoire des communes de Puylaurent (Lozère), La Veyrune, Saint-Étienne-de-Lugdarès, Borne, Le Plagnial, La Narce (Ardèche), passe même à un granite gneissique sur les hautes cîmes qui séparent Le Plagnial de La Chavade (1 435m).— (G. Fabre, « Sur l'âge et la constitution des régions schisteuses du Gévaudan et des Cévennes », dans le Bulletin de la Société géologique de France, tome 52 (3e série, tome 5), 1877, p. 400)
A l'heure même, un sien ami, M. l'abbé Bourret, curé de Saint-Étienne-de-Lugdarès, en était informé d'une façon extraordinaire.— (R.P. Georges Longhaye, La société de N.-D. du Cénacle : origines et fondateurs, Paris : chez Victor Retaux, 1898, p. 55)
C'est sur la fin du mois de juin 1764 que la bête tue sa première victime officiellement connue, une jeune fille du hameau des Hubacs, paroisse de Saint-Étienne-de-Lugdarès, un peu au Nord de la Trappe de Notre-Dame des Neiges : la jeune Jeanne Boulet avait 14 ans et elle fut enterrée le 1er juillet.— (Guy Crouzet, Quand sonnait le glas au pays de la Bête, part.1 : Rappel de l'histoire officielle, chap. 1 Premières attaques, CRDP de Clermont-Ferrand, 1987, p. 7)
, puisqu'ils revendiquèrent respectivement un Brioude - Le Puy - Aubenas - Alais et un itinéraire remontant les gorges de l'Allier, franchissant le faîte des deux-mers près de Saint-Étienne-de-Lugdarès et aboutissant à Aubenas : chacun dénonçait les insuffisances d'un tracé qui semblait s'être ingénié à éviter les rares agglomérations d'entre Auvergne et Cévennes ... mais chacun tentait de l'attirer à lui !— (Histoire du rail transcévenol, par Pascal Bejui, Michel Turpin, Marcel Aubert, & al., La Régordane, éditeur en Lozère, 1991, p. 10)