Nom propre |
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Soviétie \sɔ.vje.ti\ |
Soviétie \sɔ.vje.ti\ féminin
Ses visions lui ont sans doute présenté l'image d'une grande armée blanche continentale ; il a escompté l'effondrement politique de la Soviétie ; il a complètement sous-estimé sa puissance économique, industrielle, son potentiel démographique et moral.— (Edmond Delage , « La stratégie hitlérienne », Le Monde, 22 novembre 1945 → lire en ligne)
L'austérité reste la règle extérieure de la prude Soviétie, où tous les fauteuils, même sur les tableaux, sont maintenus sous des housses, et où les femmes, à peine fardées, s'habillent comme des suffragettes ou des dames d'œuvre.— (André Fontaine, « IV. - La vie est d'abord quotidienne », Le Monde, 7 juin 1956 → lire en ligne)
Si l'arrêt des combats est établi sur de telles conditions, ce ne pourrait être que l'échafaudage d'une pax europea qui seule pourrait éviter la propagation de la barbarie au Kosovo, à la Voïvodine, à la Macédoine et aux pays de l'ex-Soviétie.— (« Le débat autour de la levée de l'embargo sur les armes à destination de la Bosnie Quelle guerre, quelle paix ? », Le Monde, 2 juin 1994 → lire en ligne)
Il endosse encore une fois, malgré lui, le rôle de défenseur ultime de la Soviétie.— (Bertrand Guyard, « Boris Spassky Junior : « Mon père est séquestré à Moscou » », Le Figaro, 26 septembre 2012 → lire en ligne)
La dernière partie de l’Âme enchantée, intitulée L’Annonciatrice, que l’écrivain rédige de 1929 à 1933, présente un intérêt particulier puisque sa rédaction se situe au moment où Rolland s’engage dans la voie du « compagnonnage » et qu’il se rapproche de la cause choisie par ce que certains appellent la Soviétie.— (Roland Roudil, Romain Rolland et l’URSS : engagement politique et vision cosmique dans L’Annonciatrice, Itinéraires, page 153-172. → lire en ligne)
→ voir Union soviétique