Nom propre |
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Tournai \tuʁ.nɛ\ |
Tournai \tuʁ.nɛ\
— Docteur Peperkouk, le duc d'Aumont, que je ne connais ni des lèvres ni des dents (il voulait dire ni d'Ève, ni d'Adam), vous demande au camp du roi de France, dressé entre Tournai et Courtrai. Il est malade.— (Jacques Collin de Plancy, « Le Docteur Peperkouk », dans Légendes des origines, Liège : chez H. Dessain, 1850, page 310)
Jacques Monceau de Tournai avait étudié à Genève en 1566 et y avait exercé le ministère ; appelé au pastorat d’Anvers, il vint visiter Lille.— (Charles-Louis Frossard, L’Église sous la croix pendant la domination espagnole, 1857)
Était-il trop jeune, Maurice de Saxe, lorsqu'il devint adjudant général à douze ans et qu'il eut son cheval tué sous lui ? Alors ? C'était devenu une plaisanterie entre le Baron de D. et son fils, cette histoire de cheval au siège de Tournai.— (Edmonde Charles-Roux, Oublier Palerme, Grasset, 1966)
Au Printemps 1726, deux couples de paysans s'éloignaient de leur province, l'Orléanais, pour se rendre à Tournai, au-delà des frontières du Nord, afin de s'y marier selon leur religion.— (Gérard Boutet, Les mariés de Tournai, 2009)
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Tournai \Prononciation ?\