Utilisateur:Pamputt/Logoscope

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grammaticale

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8540

digigazettes

Malgré la moyenne plutôt faible des notes récoltées sur les digigazettes spécialisées, il est facile de prendre la défense de l’édition 2.0 de Disney Infinity, thématisée autour des héros Marvel : c’est, qualitativement, une très bonne production. Débarqué après les triomphaux Skylanders sur le marché des jeux-jouets avec figurines interactives, Disney ne pouvait paraître en deçà de son impérial concurrent. Sa gamme de super-héros miniaturisés est donc d’une exécution excellente et le menu du jeu, immense quoiqu’un peu confus, cache des niveaux très réussis.

NOM MORSEM
4581

photoshopique

Sur le blog Slittens, Rachael Aslett fait se reproduire des chatons ( kittens ) et des paresseux ( sloths ) dans une éprouvette photoshopique.

ADJ MORSEM
7769

sloths

Sur le blog Slittens, Rachael Aslett fait se reproduire des chatons ( kittens ) et des paresseux ( sloths ) dans une éprouvette photoshopique.

4222

kittens

Sur le blog Slittens, Rachael Aslett fait se reproduire des chatons ( kittens ) et des paresseux ( sloths ) dans une éprouvette photoshopique.

8538

nocturnisation

Tant sur le terrain qu’en laboratoire, les chercheurs élaborent des outils d’analyse pour séparer le propre de la nuit, et mesurer ses intrusions dans le jour, ou au contraire la «nocturnisation» d’activités urbaines autrefois réservées au jour comme l’accès à l’alimentation 24h/24 et la désormais fameuse nuit blanche, cette manifestation artistique francilienne qui se déroule toute une nuit et qui attire des centaines de milliers de spectateurs.

NOM MORSEM
6451

asavalu

Plaquage dangeureux à l’épaule sur Matt Giteau et Maurie Fa’asavalu s’est vu sanctionné (63e) d’un carton jaune parfaitement mérité. Les trois points du but de pénalité réussi par James O’Connor permirent au RCT de revenir tout proche d’Oyonnax, 15-14, et de relancer le suspense. En infériorité numérique, l’USO a fini par craquer, inscrivant trois points (66e) mais encaissant un essai transformé (71e).

6410

corpo-femelle

Alors de quoi ça parle? D’abord elle se présente, « mon nom est Carla Bruni-Sarkozy », pour ceux qui habiteraient dans une grotte ou ne la reconnaîtraient pas à cause des euh, quelques injections de produit liftant les yeux, la face, la bouche, le tout, mais c’est pas très corpo-femelle de dire ça (en même temps avec une coueffure blonde, on verrait aussi bien Nicole Kidman, mais on s’égare sur le chemin du sexisme, car après tout, ça n’est pas facile d’être un personnage public et de tenir sur la durée).

ADJ MORSEM
3147

supermercado

«Trouver du champagne à Ibiza, hélas, c’est aussi rare que de rencontrer de l’humour sous la mise en plis d’une speakerine. Je veux dire du champagne français, et que celui qui me jugera chauvin continue de se fournir en chablis à Los Angeles. De supermercado en supermercado et de guerre lasse, je baissai les bras et fis l’emplette de six bouteilles de champagne local. Il faut savoir que les «comestibles» d’Ibiza vendent, entre autres douceurs, un brouillis de cartilages de cochon appelé «foie-gras», avec un trait d’union à la place des truffes, et que le plus grand traiteur de la ville s’appelle Faux-Chon. Ça limite les recherches pour qui veut de l’authentique. Notre orgie fut sinistre. Le champagne était vert javel. Avant de l’ouvrir, nous crûmes que c’était la couleur de la bouteille, mais non. La mousse qui montait dans les coupes nous rappela irrésistiblement la pub de Gama tous tissus pour nos petits lavages à la main. Au nez, c’était Amora. En bouche, la mâle et rude saveur des collutoires à gingivites nous râpa vigoureusement l’épiglotte, tandis qu’un fumet lourd de couenne fumée nous surprenait les sinus. Ma femme désolée suggéra qu’on y mît du Cointreau pour faire une pousse-rapière. Je dis non. Essayons plutôt du cassis. Rouge et vert, quel beau mélange. Je n’ai pas perdu mon temps à Ibiza. J’ai inventé le kir marron.»

4496

scoreuses

Leader incontestable des Bleues en 2012, Céline Dumerc est plus en retrait en Turquie. Arrivée « fatiguée » suite à un été où elle ne s’est arrêtée qu’en raison d’une blessure à la cheville, qui l’a privé des deux dernières rencontres de WNBA avec l’Atlanta Dream, la capitaine peine à retrouver toute son influence sur le jeu, notamment à la marque (5, 8 points de moyenne par match, à 24% de réussite, contre 14, 3 points en 2012). « Je suis loin d’être une force aujourd’hui », concède-t-elle d’ailleurs. Tout le contraire de Sandrine Gruda. Déjà étincelante (26 points) lors de la victoire en préparation face aux Etats-Unis ( 76-72 ), fin septembre à Coubertin, la joueuse de 27 ans occupe le cinquième rang des scoreuses (15 points en moyenne contre 9, 8 en 2012).

NOM MORSEM
6665

nightbuses

«La ville qui ne dort jamais.» Année après année, Londres, la métropole zazou, la capitale de la «coolitude», rêve d’arracher à New York ce titre prometteur de délires insensés, de fêtes éhontées, de nuits éblouies. Seulement voilà, la nuit, Londres dort, ou presque. Les seuls à rester éveillés jusqu’à l’aube sont les nightbuses, les bus de nuit, qui transportent des créatures souvent imbibées et interdites de métro pour cause de fermeture vers minuit et demi. Pour la plupart des quelque 500 000 noctambules qui fondent sur les rues de Londres les samedis soirs, la nuit s’arrête en général à 3 heures du matin. En 2005, l’introduction par les travaillistes d’une loi sur les heures d’ouverture des bars et des pubs avait suscité l’espoir de longues nuits accoudé à un comptoir, à perdre le fil du nombre de pintes descendues. La loi précédente, datant de la Première Guerre mondiale, contraignait les pubs à servir les derniers verres alcoolisés à 23 heures. A cette heure, une cloche était sonnée et le barman hurlait : «Last orders !» La foule était ensuite expulsée des lieux à 23 h 30 et allait vomir en cœur sur le trottoir.

NOM EMP
4252

datavisualisation

«Ce nouveau bac s’inscrirait dans son époque au croisement des sciences, lettres, et sciences humaines et sociales, en décloisonnant ces champs du savoir», avance-t-il. «Il refléterait l’aventure de la jeunesse et revitaliserait les études secondaires avec la création numérique, le design, mais aussi la découverte des big data, de la datavisualisation, des métiers informatiques et créatifs», ajoute l’organe consultatif.

8190

matériovore

Depuis leurs débuts, cette démarche tenait à cœur aux deux jeunes architectes. Lors du démontage de leurs expositions éphémères, ils pestaient de voir moquette et bois tout neufs partir directement à la décharge. Pour éviter ce gâchis absurde, ils ont fait travailler leur matière grise en élargissant la notion de réemploi à une architecture qui serait moins «matériovore». Ils tracent là un chemin qui enrichit et détourne la HQE (haute qualité environnementale) et autre BBC (bâtiment basse consommation) dogmatiques, le métier de construire étant de plus en plus coincé par des normes économiques et écologiques qui ne relèvent pas toutes du bon sens. Une voie qui, en France, est déjà bien représentée par Patrick Bouchain et son atelier Construire, qui a bâti le Lieu unique de Nantes (reconversion des anciennes usines Lu en scène nationale) avec des «rebuts du monde», ou l’Académie Fratellini à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) avec des tôles récupérées sur un chantier.

ADJ MORSEM
5418

râpa

«Trouver du champagne à Ibiza, hélas, c’est aussi rare que de rencontrer de l’humour sous la mise en plis d’une speakerine. Je veux dire du champagne français, et que celui qui me jugera chauvin continue de se fournir en chablis à Los Angeles. De supermercado en supermercado et de guerre lasse, je baissai les bras et fis l’emplette de six bouteilles de champagne local. Il faut savoir que les «comestibles» d’Ibiza vendent, entre autres douceurs, un brouillis de cartilages de cochon appelé «foie-gras», avec un trait d’union à la place des truffes, et que le plus grand traiteur de la ville s’appelle Faux-Chon. Ça limite les recherches pour qui veut de l’authentique. Notre orgie fut sinistre. Le champagne était vert javel. Avant de l’ouvrir, nous crûmes que c’était la couleur de la bouteille, mais non. La mousse qui montait dans les coupes nous rappela irrésistiblement la pub de Gama tous tissus pour nos petits lavages à la main. Au nez, c’était Amora. En bouche, la mâle et rude saveur des collutoires à gingivites nous râpa vigoureusement l’épiglotte, tandis qu’un fumet lourd de couenne fumée nous surprenait les sinus. Ma femme désolée suggéra qu’on y mît du Cointreau pour faire une pousse-rapière. Je dis non. Essayons plutôt du cassis. Rouge et vert, quel beau mélange. Je n’ai pas perdu mon temps à Ibiza. J’ai inventé le kir marron.»

3347

nocturnité

On pourrait en dire encore bien davantage sur ces «leçons de la nocturnité». La nuit, et surtout le fait de «vivre la nuit» et de proposer de plus en plus d’activités, posent à l’humanité des défis considérables.

NOM MORSEM
6627

croque-bébé

«Après une demi-heure de cuisson à feu modéré, votre Marie ne doit plus se débattre, et la chair doit être d’un beau rouge vif. Il ne vous reste plus qu’à servir en robe des champs, avec une sauce poulette façon bonne femme, ou en croque-bébé avec sauce biquette.

NOM MORSEM
1015

emotainment

Subite déflagration de lave étoilée en fusion et jury en extase, debout, comme en transe. Ils sont quatre, chargés de faire monter la mayonnaise émotionnelle de Rising Star : Cali (Zaz en slip ségoléniste), Morgan Serrano (vendeur de jambon chez NRJ), David Hallyday (on vous ouvre une parenthèse pour que vous fassiez votre propre commentaire désagréable) et Cathy Guetta. Cathy. Guetta. La dame nous est présentée comme «coproductrice et directrice artistique» alors qu’on la croyait exhibitionniste dentaire de la night au côté de son ex David. Dans Rising Star, elle a enfin trouvé sa vocation : porn emotainment star ou, en français, flaque. Avant le direct, dans la phase de présélection qui, étrangement, se déroule dans une maison façon la Parenthèse inattendue - table basse, fauteuils club, plancher blond et kilim élimé -, Cathy Guetta commence par se dandiner à la moindre note et, immanquablement, finit en eaux. Parce que «moi aussi, je suis une maman» (à une femme venue présenter la candidature de son fils, retenu par des examens), parce que «j’ai eu un flot d’émotions comme ça qui a monté» (à un type chantant pour ses enfants), parce que «j’aurais tellement aimé avoir ta voix et chanter ça pour mon père qu’est parti là-haut», perdant ses yeux mouillés dans sa frange.

NOM EMP
4631

asmin

Tiens, ça faisait bien cinq minutes qu’on n’avait pas parlé des Sarkozy, si ça se trouve, ils dorment? Carla Bruni, qu’on avait laissée hier soir, jeudi 2 octobre, à Troyes en groupie de son Raymond en meeting, régale le petit monde internautique d’une formidable, quoique trop courte vidéo où elle dénonce avec force et courage le harcèlement à l’école, l’intimidation, les enfants malheureux qui doivent, je cite, « retrouver le sourire sur le chemin de l’école », le tout susurré d’une voix rauque façon Obao douche. Son engagement, c’est pour l’association québécoise J asmin Roy qui a pour mission de lutter contre la discrimination, l’intimidation et la violence faites aux jeunes en milieu scolaire (primaire et secondaire). Et qui vient de lancer sa nouvelle campagne au Québec, « Gai, lesbienne, trans et heureux à l’école », mais c’est pas trop le truc de Carla, ça, elle fait porte-voix pour l’assoc canadienne que pour le harcèlement, et c’est déjà généreux, hein.

6442

préfontaines

Un quart de siècle après sa disparition, Desproges nous revient par le menu de ses chroniques culinaires, Encore des nouilles, publiées entre 1984 et 1985 dans Cuisine et Vins de France (autant dire la Bible de nos années «poulet aux morilles et au vin jaune») et rassemblées aujourd’hui par les éditions Les Echappés (2) avec une belle fournée de dessinateurs de Charlie Hebdo. Autant l’avouer sans hors-d’oeuvre : ça fait longtemps que l’on ne s’était pas ainsi pourléché devant un tel fricot d’ironie et de fantaisie autour du «boire et du manger». Il y avait un ton Desproges qui se révèle également une sacrée saveur quand il est question d’assiette et de verre. Capable d’écrire à propos d’un figeac 71, son saint-émilion préféré, qu’il est «profond comme un la mineur de contrebasse», «plus long en bouche qu’un finale de Verdi» et que «le rouge de la tomate a la flamboyance des couchers de soleil d’Istanbul». Desproges n’avait pas seulement le vin musical et la tomate levantine. Il avait le plat long comme son éclectisme et relevé comme sa causticité. «Je suis assez raffiné à table, je peux pendant trois heures faire cuire un petit homard aux légumes et puis le lendemain, j’ai envie d’un vieux Caprice des dieux avec un préfontaines, et il n’y a que ça qui me fera du bien, qui me fera rire le ventre.» Bon appétit avec ces extraits mijotés.

NOM SYNSEM
5633

figeac

Un quart de siècle après sa disparition, Desproges nous revient par le menu de ses chroniques culinaires, Encore des nouilles, publiées entre 1984 et 1985 dans Cuisine et Vins de France (autant dire la Bible de nos années «poulet aux morilles et au vin jaune») et rassemblées aujourd’hui par les éditions Les Echappés (2) avec une belle fournée de dessinateurs de Charlie Hebdo. Autant l’avouer sans hors-d’oeuvre : ça fait longtemps que l’on ne s’était pas ainsi pourléché devant un tel fricot d’ironie et de fantaisie autour du «boire et du manger». Il y avait un ton Desproges qui se révèle également une sacrée saveur quand il est question d’assiette et de verre. Capable d’écrire à propos d’un figeac 71, son saint-émilion préféré, qu’il est «profond comme un la mineur de contrebasse», «plus long en bouche qu’un finale de Verdi» et que «le rouge de la tomate a la flamboyance des couchers de soleil d’Istanbul». Desproges n’avait pas seulement le vin musical et la tomate levantine. Il avait le plat long comme son éclectisme et relevé comme sa causticité. «Je suis assez raffiné à table, je peux pendant trois heures faire cuire un petit homard aux légumes et puis le lendemain, j’ai envie d’un vieux Caprice des dieux avec un préfontaines, et il n’y a que ça qui me fera du bien, qui me fera rire le ventre.» Bon appétit avec ces extraits mijotés.

8396

contrepet

E ncore des nouilles : le contrepet, c’est un peu comme le bœuf bourguignon. Encore meilleur réchauffé, quand il exhale tout son fumet d’autodérision. Surtout quand il émane de celui qui fut l’une de nos plus fines gueules d’humour des années 70-80 : Pierre Desproges (1939-1988). De son vivant, on s’est souvent mis à table en l’écoutant, quand il officiait dans le Tribunal des flagrants délires sur France Inter et lors de sa Minute nécessaire de Monsieur Cyclopède sur France 3, nous délectant de ses détournements de dictons, de ses antithèses, de sa débauche d’épithètes et de son goût pour les expressions désuètes, comme le souligne le trimestriel Schnock dans sa savoureuse dernière livraison (1).

8707

casserolette

«Sachant qu’une plaque de cuisson actuelle mesure au mieux cinquante centimètres sur cinquante, et qu’un plat à paella digne de Valence (c’est-à-dire dans lequel chaque grain de riz a la place de se bronzer sans chevaucher le voisin) a au moins soixante centimètres de diamètre, comment le maître queux des années 80 pourrait-il diable s’y prendre pour faire simultanément cohabiter en ce réduit la susdite poêle, la casserolette pour les petits pois, l’autre poêle à dorer les encornets, le fait-tout pour entrebâiller les coques et les moules, et je ne vous parle même pas de ma poule ? Et le lapin au champagne ? Et le homard aux trois légumes ? Et - pour faire plus humble, bien que ce ne soit pas mon jour - même le couscous prolétaire aux mornes merguez d’Ile-de-France ?

8623

vigiles-maquignons

Chez Givenchy, les standings (les invités non assis, soit la plèbe pour les gens de la mode) sont parqués en plein milieu de la salle, dans une zone fermée de rubans de velours par des vigiles-maquignons. L’inverse de chez Saint Laurent, où Hedi Slimane redéfinit l’organisation traditionnelle du défilé en inventant le rang Zéro : soit une brochette de jeunes gens, des rockeurs cools, installés devant le premier rang, les fesses sur le catwalk et une mini-bouteille de champagne à portée de main.

NOM MORSEM
4443

selfies

Dans un genre plus poétique, Dries Van Noten s’illustre à chaque fois pour son sens de la mise en scène. Dans des tenues très Woodstock, les filles défilaient lentement, au son de pépiements d’oiseaux. Pour le finale, elles se sont installées par terre sur la fausse pelouse, devenant les proies faciles de selfies pris dans tous les sens. Chez Anrealage, attention concept, on frôle la performance artistique, avec des robes dont le tissu change de couleur sous la chaleur des projecteurs.

6813

commensalité

Les universaux comme «manger», «procréer» ou «mourir» ont fait la chair de l’ethnologie (rites de commensalité, division sexuelle du travail et systèmes de parenté, rituels funéraires, etc). Mais de fait, jusqu’à une période très récente, la fonction vitale qu’est le sommeil n’avait jamais été introduite dans les protocoles de recherche ni même envisagée, probablement parce que l’homme apparaît durant cette période de temps comme inactif. L’anthropologie se serait désintéressée de cet objet, comme si le besoin de sommeil d’un chercheur de terrain épuisé coïncidait avec l’idée que la nuit était vide d’activités, et réduite à une sorte de négation du jour.

5064

pro-riverains

«Ces associations de riverains sont des coquilles vides mais, à force d’acharnement, la police et la mairie ont fini par croire qu’ils étaient majoritaires», explique Cathy Mounier. La préfecture, de son côté, rappelle que les sanctions font systématiquement l’objet d’une «étude détaillée des faits», dans le respect des «principes de proportionnalité et de progressivité». Traduction : si fermeture il y a, c’est qu’elle est justifiée. Quant à la mairie, elle dément officiellement toute volonté de répression : «Notre objectif, c’est la médiation et la régulation, défend Frédéric Hocquard, conseiller PS de Paris délégué à la nuit. Ce n’est d’ailleurs pas la municipalité mais la préfecture qui ordonne les fermetures administratives.» «Anne Hidalgo n’est pas plus pro-riverains que Delanoë !», dit un autre membre de l’entourage de la maire socialiste. Un fonctionnaire confie cependant que la tendance est davantage à la répression. Preuve s’il en est : la brigade antibruit, qui figurait dans le «projet pour Paris» de l’édile et qui devrait voir le jour en 2015 ou 2016.

5273

calimotxo

Bars remplis à craquer, terrasses noires de monde, discothèques blindées, places ou squares envahis par des groupes d’amis assis à même le sol avec des cannettes de bière ou des minis de calimotxo, ces verres en plastique d’un demi-litre de whisky mélangé à du Coca. Dans le centre de Madrid, de Conde Duque à Lavapiés en passant par Anton Martín, il y a de quoi s’étonner de telles affluences malgré la crise économique qui, d’après la fédération régionale des hôteliers régionaux, a vu la fermeture de 4 500 discothèques, bars à cocktail ou salles de concert depuis 2007. La noche madrileña a certes perdu de son volume festif depuis les folles années de la Movida, mais elle résiste. Face à la hausse de la TVA pour les hôteliers (fixée à 21%) et à la baisse du pouvoir d’achat (les Espagnols tentent au maximum d’épargner leur budget loisir), mais aussi face à la tentative de la municipalité et des associations de quartier de réduire les «nuisances nocturnes».

6679

ultramoderniste

Les secondes se sont égrenées, cruelles, implacables ; à gauche, le curseur semblait englué à 64%. On a senti le rythme de nos cœurs accélérer à la mesure du tempo finissant et puis le curseur, à une seconde de la mort, a franchi les fatidiques 70% et le mur s’est levé enfin, libérant un geyser pyrotechnique. Des éjaculations de lumière nous ont maculé la rétine, le râle du public s’est uni au nôtre, nos reins en feu se sont creusés. Et pis après, on était là, sur le flanc, le souffle court, des larmes ruisselant sur nos joues écarlates de plaisir, lourds comme des chevals morts (1). C’était, le jeudi 25 septembre devant 3, 7 millions de téléspectateurs, la première de Rising Star, la nouvelle télé-réalité musicale hebdomadaire de M6. L’inédit et ultramoderniste principe du vote via tablettes et smartphones, on était prêt, depuis le temps que M6 nous en rebat les portugaises. Mais ce degré-là d’ emotainment, en revanche, on ne s’y attendait pas. Mais oui, l’emotainment, ce mélange télévisuel d’émotion et de divertissement qu’on croyait indépassable depuis qu’en 2002, dans Star Academy sur TF1, Houcine avait été interrompu en pleine chanson par l’arrivée sur le plateau de son père et de son fils, déclenchant une inondation lacrymale de type Montpellier. M6 est allée au-delà de l’emotainment, bien au-delà : Rising Star, c’est du porn emotainment. On sèche nos larmes et on vous explique.

3712

réemployeurs

Tous ces architectes «réemployeurs» ne forment pas un mouvement doctrinaire ; leur attitude est individuelle, même si elle commence à se penser. Ils ont d’ailleurs des ancêtres, venus des Etats-Unis dans les années 60. Comme les artistes utopistes de Drop City, qui ont installé leur petite ville communautaire dans le Colorado en 1965. Elle était composée de dômes géodésiques construits à partir de carrosseries d’automobiles, de vieux bois, de grillages de poulailler. Une icône mondiale de la contre-culture.

ADJ MORSEM
6189

madrileña

Bars remplis à craquer, terrasses noires de monde, discothèques blindées, places ou squares envahis par des groupes d’amis assis à même le sol avec des cannettes de bière ou des minis de calimotxo, ces verres en plastique d’un demi-litre de whisky mélangé à du Coca. Dans le centre de Madrid, de Conde Duque à Lavapiés en passant par Anton Martín, il y a de quoi s’étonner de telles affluences malgré la crise économique qui, d’après la fédération régionale des hôteliers régionaux, a vu la fermeture de 4 500 discothèques, bars à cocktail ou salles de concert depuis 2007. La noche madrileña a certes perdu de son volume festif depuis les folles années de la Movida, mais elle résiste. Face à la hausse de la TVA pour les hôteliers (fixée à 21%) et à la baisse du pouvoir d’achat (les Espagnols tentent au maximum d’épargner leur budget loisir), mais aussi face à la tentative de la municipalité et des associations de quartier de réduire les «nuisances nocturnes».

5221

ctrs

Pays hôte des championnats du monde, la Turquie s’est qualifiée vendredi pour les demi-finales face à la Serbie au terme d’un match très accroché à Istanbul. Nevriye Yilmaz peu adroite (6 pts à 3/17), les Turques ont pu compter sur Lara Sanders (14 pts, 19 rbds, 5 ctrs) pour leur offrir la qualification. En tête à la pause (24-30), les Serbes ont subi le retour de leur adversaire au retour des vestiaires (17-10) et n’ont jamais réussi à revenir à hauteur dans les cinq dernières minutes. La Turquie affrontera samedi l’Espagne pour une place en finale.

5537

refrénons

Je suis sincèrement persuadée que, nous les femmes comprenons les traumatismes corporels, que nous avons une connaissance approfondie d’un ensemble de valeurs, que nous refrénons en permanence, parce que le système totalitaire qu’est le patriarcat nous l’impose. à mon sens, le mot « hystérie » est une étiquette insultante donnée à tous les types de comportements créatifs, enthousiastes, pourquoi pas visionnaires.

3957

prêt-à-filmer

• Saint Laurent, de Bertrand Bonello. Ce prêt-à-filmer du biopic n’est qu’une toile prétexte pour bâtir un vêtement nettement plus inédit et s’obséder de questions secouantes. Retrouvez la critique de Gérard Lefort.

3762

divots

Vous sentez que vous jouez mieux que durant cette année ? I.B. : Je n’ai pas l’impression de mieux jouer cette semaine que durant l’année. Je pense que le parcours me convient bien : j’aime bien quand c’est un peu mouillé et qu’on peut faire de bons divots sur le fairway et que la balle pitche beaucoup sur les greens. Je préfère le « target golf » au jeu qui consiste à faire rouler au drapeau. Ça me convient mieux.

8152

nycthémère

Pourtant, la nuit reste une terra incognita, peu explorée par les différents champs de la recherche. Ainsi, de façon étrange, en dehors de certains rituels ou événements festifs notés comme devant «se passer la nuit», les anthropologues n’ont à leur disposition aucun concept propre à ce segment du nycthémère.

7564

six-pièces

L’appartement de la semaine, un six-pièces au cœur des Halles à Paris

3887

apoyo

Gracias a todos por el apoyo en Beijing. Lamentablemente no ha podido ser. La semana que viene otra oportunidad.— Rafa Nadal (@RafaelNadal) 3 Octobre 2014

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oportunidad

Gracias a todos por el apoyo en Beijing. Lamentablemente no ha podido ser. La semana que viene otra oportunidad. — Rafa Nadal (@RafaelNadal) 3 Octobre 2014

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viene

Gracias a todos por el apoyo en Beijing. Lamentablemente no ha podido ser. La semana que viene otra oportunidad. — Rafa Nadal (@RafaelNadal) 3 Octobre 2014

4333

podido

Gracias a todos por el apoyo en Beijing. Lamentablemente no ha podido ser. La semana que viene otra oportunidad. — Rafa Nadal (@RafaelNadal) 3 Octobre 2014