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Seul témoin de cette époque révolue où la forge de Vendresse sortait 3 tonnes de fonte par jour, rugissant jour et nuit, où la sidérurgie ardennaise battait son plein, son haut-fourneau est d'ailleurs un lieu incontournable.— (Le Petit FutéChampagne-Ardenne 2018)
Point besoin de souligner que cette brigade de spahis, , serait incapable de s’opposer aux chars de la 1re Panzer, quand ceux-ci déboucheraient de la vallée de la Bar et se répandraient dans la dépression de Vendresse au cours de l’après-midi du 14 mai.— (Pierre Rocolle, La guerre de 1940, tome 2 : La défaite - 10 mai-25 juin, Editions Armand Colin, 1990, chap. 2)
Vendresse, Troyon, Verneuil sont en proie à la même misère. Corbeny n'est plus qu'un monceau de ruines où il ne reste aucune ressource pour la subsistance même des habitants.— (Édouard Fleury, Le département de l'Aisne en 1814, 2e éd., Laon : Imprimerie d'Édouard Fleury, 1858, p. 556)
Au 10e siècle, Vendresse appartenait aux archevêques de Reims. Artaud, l'un d'eux, le donna en 941 à Herbert, comte de Vermandois, et plus tard il passa dans les mains des religieux de St-Jean-de-Laon qui l'ont gardé jusqu'à la révolution.— (Maximilien Melleville, Dictionnaire historique du département de l'Aisne, tome 2, Laon : chez l'auteur & Paris : chez Dumoulin, 1865, p. 415)
Vendresse, südlich von Sedan, 3. September 1870. Nun lebe wohl mit bewegtem Herzen am Schlusse eines solchen Briefes. Wilhelm.— (« Brief den König Wilhelm an die Königin Augusta », über Geschichte des Krieges zwischen Deutschland und Frankreich im Jahre 1870 und 1871, von Carl von Winterfeld, Potsdam : Verlag von Eduard Döring, 1871, seite 112)