Nom propre |
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Vierzon \vjɛʁ.zɔ̃\ |
Vierzon \vjɛʁ.zɔ̃\ féminin
À trois heures du matin, Vierzon était le cimetière le plus satisfaisant que je connaisse pour un éléphant.— (Jean Vautrin, Pulsar à Vierzon, dans le recueil Baby Boom, 1985, page 171)
Vers 1958-1959, peu de temps avant que je devienne Errol Parker, je jouais tous les week-ends à Vierzon, une petite ville au sud de Paris.— (Errol Parker, De bohème en galère, Éditions Filipacchi, 1996, page 239)
T’es de Vierzon ou faut que je te pisse dessus pour que tu parles ?— (Fred Vargas, Un peu plus loin sur la droite, 1996, chapitre 26)
Je passai à Vierzon la ligne de démarcation, je m’appelais Claude Bassier, mes papiers étaient parfaits et je savais quoi répondre si on m’interrogeait : j’allais voir (c’était le temps des vacances) mes grands-parents paternels en Normandie. Je me souviens de la longue attente nocturne en gare de Vierzon, des projecteurs qui illuminaient les quais et les wagons du train, des chiens, des bruits de bottes, de la brutalité avec laquelle les portes de chaque compartiment étaient ouvertes, de l’examen très minutieux de mes papiers par des Allemands en uniforme et des policiers français, de l’interrogatoire conduit par les premiers.— (Claude Lanzmann, Le Lièvre de Patagonie, Gallimard, 2009, chapitre 5)
Heureuse alliance entre charme secret et chaleureuse discrétion, Vierzon est une ville harmonieuse, ouverte naturellement aux grands espaces et à un environnement de sites réputés.— (Petit Futé Châteaux de la Loire, 2010, page 140)
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