Nom propre |
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Villers-devant-Mézières \Prononciation ?\ |
Villers-devant-Mézières \Prononciation ?\
L’abbé Jacquemart portait dans la société un esprit caustique et frondeur dont les saillies relevaient l’originalité. . Ses vers étaient souvent fort graveleux. Il mourut en 1803, à Villers-Cernay dont il avait repris la cure, après avoir quitté celle de Villers-devant-Mézières.— (Biographie universelle ancienne et moderne, Paris : L.-G. Michaud, 1841, vol.68, p.35)
Ces honneurs ne mirent pas ce digne abbé à l’abri d’une rude captivité; il fut fait prisonnier dans la guerre civile entre les ducs d’Orléans et de Bourgogne, et enfermé par ce dernier dans la forteresse de Villers-devant-Mézières ; d’où il n’aura sans doute été élargi qu’au moyen d’une forte rançon.— (Charles Joseph Delahaut, Annales civiles et religieuses d’Yvois-Carignan et de Mouzon, complété et publié par Jean-Baptiste L’Écuy, Paris : Th. Desoer et Delaunay, 1822, vol.25, p.329)
La paroisse de Villers-devant-Mézières, qui englobait le hameau de Semeuse, eut jusqu'en 1703 Saint-Marceau comme secours (). En 1793, Villers et Semeuse furent érigés en deux commune distinctes, lesquelles fusionnèrent en 1828 sous le nom de Villers-Semeuse.— (Répertoire numérique détaillé des registres paroissiaux et d'état civil: (XVIe siècle - 1900 env.) ; sous-séries 2 E, 2 Mi-EC, 5 Mi, E dépôt E, volume 2, sous la direction de Jean-Claude Robert, Conseil Général des Ardennes, 1992, p. 650)