Actualités du Wiktionnaire
Wiktionnaire:Actualités est un journal mensuel sur le Wiktionnaire, les dictionnaires et les mots. Il est publié en ligne depuis avril 2015. Son écriture est ouverte à toutes les bonnes volontés. Vous pouvez recevoir un avis lors de la publication des prochains numéros, consulter les anciens numéros et participer au brouillon de la prochaine édition. Vous pouvez lire aussi les Regards sur l’actualité de la Wikimedia. Pour les commentaires, critiques ou suggestions, voir la page de discussion.
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ont été traités comme du spam et donc versés dans un dossier très peu consulté. Ce problème, qui existerait depuis longtemps, est en cours de résolution (Wikipedia:Administrators’ noticeboard).
En anglais, la phrase « The old man the boat » est incompréhensible à la première lecture (si vous ne comprenez pas l’anglais, elle vous est évidemment incompréhensible, peu importe le nombre de relectures ;-). Si vous la copiez dans Google Traduction ou DeepL, vous obtiendrez cette phrase en français : « Le vieil homme le bateau » ou une variante. C’est pourtant une phrase composée d’un sujet, d’un verbe (man, manœuvrer) et d’un complément. Ce type de phrase est appelé « garden-path sentence » en anglais. Même si elles sont grammaticalement correctes, elles induisent des confusions sémantiques, ce qui n’est pas souhaitable (sauf si on veut piéger un interlocuteur :-).
Le français permet la fabrication de telles phrases. Voici quelques exemples :
Ces phrases sont incompréhensibles de mes proches, parce qu’ils sont incapables à la première (ou deuxième) lecture d’en faire sens. J’extrapole que vos proches réagiront de même.
En l’espace de deux ans, j’ai découvert ou imaginé moins d’une vingtaine de phrases de ce type. Rien d’étonnant, parce qu’elles sont hors de mon idiome. J’ai questionné des collègues qui enseignent le français ; elles n’avaient jamais « croisé » ce type de phrases. J’ai fait des recherches en ligne, mais les résultats m’ont découragé.
Si vous avez déjà vu de telles phrases et qu’elles sont différentes des exemples plus haut, pouvez-vous les révéler ? Par ailleurs, comment traduire « garden-path sentence » ? Inscrivez vos suggestions dans la section « Courrier du lectorat ».
Le Wikicamp est un évènement organisé par l’association Wikimédia France afin de permettre aux wikimédiens et wikimédiennes membres de l’association de se retrouver pour échanger autour des différents projets Wikimedia. Cette année, il s’est tenu le premier weekend de juillet à Narbonne et a regroupé une cinquantaine de personnes.
Au niveau des thématiques pouvant intéresser les wiktionnaristes, on peut noter les éléments suivants :
+ 22 676 entrées et 110 langues modifiées pour atteindre 4 904 509 entrées et 1 351 langues avec au moins cinq entrées.
+ 2 423 entrées en français pour atteindre 413 277 lemmes et 647 317 définitions.
Les cinq langues qui ont le plus avancé, outre le français, sont le portugais (+ 7 320 entrées), l’allemand (+ 4 393 entrées), le same du Nord (+ 1 579 entrées), l’italien (+ 1 441 entrées) et le breton (+ 904 entrées).
Les nouvelles langues sont : le yom (+28), le landuma (+4), le khitan (+2), le mnong de l’Est (+1), le moyen japonais (+1), le moyen môn (+1), le mankon (+1), le solon (+1) et l’austral (+1).
+ 4 004 citations ou exemples en français pour atteindre 590 217 pour les entrées en français, et 291 221 pour les entrées d’autres langues (+5 310).
+ 427 médias d’illustrations (images et vidéos) dans les pages principales du Wiktionnaire, pour atteindre 74 357.
+ 39 595 sections de langue contenant au moins une prononciation audio (dont 19 617 pour le français) pour atteindre 492 263 sections de langue contenant au moins une prononciation audio pour 161 langues (dont 164 624 pour le français).
+ 5 nouveaux thésaurus ce mois-ci, le total est de 1 172 thésaurus dans 74 langues dont 855 thésaurus en langue française. Les nouveaux thésaurus sont pour cent, distrait, la console de jeu, la propreté et la lexicographie par Noé.
Pas de nouveaux domaines sémantiques en français ce mois-ci.
Wikiscan et Wikistats donnent chaque mois accès à beaucoup de mesures, dont la liste des pages les plus consultées et des pages modifiées par le plus de personnes.
+ 18 mots créés sur les 31 proposés dans les Mots du jour ! Merci à Bercours, Bpierreb, Exilexi, Pamputt et une personne non inscrite !
Depuis 2011, je recherche la traduction du mot « eau » dans un maximum de langues du monde. Actuellement, le mot « eau » est traduit dans 4 645 langues. Pour chacune de ces traductions, j’essaie toujours de trouver une source (issue de travaux de recherche en linguistique si possible) afin de valider la traduction. Les traductions se trouvent donc sur une sous-page personnelle et pas dans la section « traduction » de l’entrée « eau » en attendant leur validation par une source.
Lorsque j’ai commencé cette collecte, l’idée était de faire entrer un maximum de langues dans le Wiktionnaire. Pour cela, j’avais besoin d’un mot suffisamment universel pour que le concept existe dans toutes les langues du monde. Par exemple, je ne pouvais pas choisir un animal, une plante ou un aliment car si celui-ci n’est pas présent dans une partie du monde, il est très probable que les langues parlées dans ces endroits n’aient pas de mot pour décrire un concept qu’ils ne connaissent pas.
Avant de choisir le mot « eau », j’avais pensé à utiliser une partie du corps humain comme la tête ou le bras mais j’ai pensé (à tort ou à raison) que certaines cultures pourraient découper le corps humain d’une manière différente de celle qu’on utilise dans nos sociétés, et donc qu’il pourrait ne pas y avoir un équivalent exact au concept de « tête » ou de « bras » dans toutes les langues. J’avais aussi envisagé d’utiliser une couleur. Mais les langues n’ont pas un mot pour toutes les couleurs définies en français. Par exemple, beaucoup de langues parlées en Arctique « mélangent » le concept de bleu et de vert (et parfois même de jaune). Un livre traite d’ailleurs de la perception des couleurs par les différentes ethnies. Pas non plus possible d’utiliser un adjectif comme mot de référence étant donné qu’un certain nombre de langues ne possèdent pas d’adjectifs ; ils sont remplacés par des verbes.
En résumé, j’ai essayé de trouver un mot qui ne souffre pas des défauts des listes Swadesh. Le mot « eau » semble pour le moment remplir son objectif. Les milliers de traductions encore manquantes ne sont pas dues à l’absence de ce concept dans une langue mais plutôt au manque de documentation pour ces langues. N’hésitez pas à prendre part à ce projet, en ajoutant des traductions manquantes ou en ajoutant des références absentes.En finnois, il existe deux mots pour dire « loup » : susi et hukka. « Susi » est le nom ordinaire, commun. « Hukka » est le nom que les villageois donnaient au loup le soir à la veillée quand ils voulaient en dire du mal sans que celui-ci comprît que l’on parlait de lui, si d’aventure il écoutait aux portes. Désormais, « hukka » est surtout utilisé dans des expressions comme « hukka perii » (« c’est foutu », « ça craint ») qui signifie : « le loup hérite » et dans l’expression courante « olla hukassa » (« être perdu »), en parlant d’un objet, qui signifie : « être au loup ».
Le loup, très présent en Finlande, faisait d’ailleurs l’objet de plusieurs dictons. En voici un, adaptable à bien des situations :
Quand le loup est signalé, la première nuit, tous les habitants du village veillent. La deuxième nuit, seuls les hommes veillent. La troisième nuit, seuls les chasseurs veillent. La quatrième nuit, seul le loup veille…Quelques émissions audio ou vidéo sur la lexicographie, la linguistique et la langue française sorties ou découvertes ce mois-ci.
Si vous utilisez des réseaux sociaux, il est possible que vous soyez tombé sur une personne écrivant « /j » « /pos » ou encore « /srs » à la fin de certains de ses messages. Mais que signifient donc ces suites de lettres ? Dans cet article, je vous emmène à la découverte des « indicateurs de ton ». Que sont-ils ? Pourquoi sont-ils utilisés ? Que veulent-ils dire ?
Pour les personnes les plus actives sur Discord et Twitter, il vous est peut-être déjà arrivé le scénario suivant : Vous discutez ou répondez à une personne et, quand vous voyez la réponse, vous vous rendez compte que la personne a mal compris ce que vous vouliez dire ! Qu’elle ait mal pris votre taquinerie ou qu’elle n’ait pas pris au sérieux ce que vous essayiez de dire, le problème est le même ; vous n’étiez pas assez clair dans votre message. Mais était-ce réellement votre faute ?
En effet, il est parfois difficile, en ligne, de communiquer clairement l’intention d’une phrase, sachant que l’on n’a pas accès à des outils comme l’intonation, la hauteur de voix ou encore le langage corporel… C’est donc à ça que les indicateurs de ton servent ! Mais, et ce de façon étonnante, cette idée d’ajouter une manière de clarifier le ton d’une personne par écrit n’est pas récente, et vous le faites déjà inconsciemment à l’écrit depuis tout petit ! Et je viens de le faire moi-même à l’instant !
En effet, la ponctuation nous sert non seulement à séparer nos phrases et à instaurer des pauses dans ces dernières dans le but de les rendre plus digestes, mais aussi à partager une émotion avec le lecteur ! Un « point d’exclamation », évidemment, indique une exclamation ! Je ne vais pas vous expliquer outre mesure ce qu’est la ponctuation, mais remarquez à quel point cette idée est ancrée dans notre langage, et, pourtant, est extrêmement ambiguë ! Typiquement, le point d’exclamation indique une exclamation, mais il reste cependant impossible, sauf si le contexte le permet, de deviner ce qu’une personne souhaite réellement dire ! Alors, internet inventa les émoticônes. Des petits visages qui démontrent des émotions :D. Et, plus tard, les émojis furent créés dans cette idée, car il est vrai que « ❤️ » est plus facile à lire que « <3 » (et surtout plus glamour).
Mais l’intonation et l’émotion sur notre visage ne sont pas les seules manières que l’on a de s’exprimer ! Il y a le langage corporel, l’endroit où on regarde (quand on parle à plusieurs personnes), notre vitesse de parole, etc. Bref, un vrai bordel pour pouvoir communiquer ce que l’on souhaite sans laisser l’ombre d’un doute à une personne. Dans beaucoup de cas, ce n’est pas un problème. Si la personne en face est un proche, ou que la personne s’exprimant a de la facilité à déceler l’intention des gens et est bonne socialement, le doute ne sera quasiment jamais présent.
Cependant, certaines communautés et personnes rencontrent des difficultés de communication. Ce genre de difficultés, qu’elles soient induites par une pathologie de type neurodivergence ou toute autre forme de cause, nécessite l’usage d’un moyen codifié, clair et concis afin d’indiquer à une telle personne les intentions contenues dans une phrase. Ainsi naquirent les « indicateurs de ton » (tone indicators en anglais), qui se présentent sous la forme d’une barre oblique et d’une ou plusieurs lettres indiquant le ton que l’on souhaite communiquer. Par exemple, /j (pour joking), indique que vous rigolez et que votre phrase ne doit pas être prise au sérieux. Ou alors /genq (pour genuine question), qui indique que votre question est sérieuse. À noter que cet indicateur est souvent utilisé lorsqu’une question ressemble à une insulte ; « T’es qui ? /genq » ou « C’est quoi ton problème ? /genq » etc.
Bien qu’au premier abord surprenants, les indicateurs de ton ne sont qu’une énième tentative de rendre ce que l’on écrit le plus clair possible, mais, qui, pour une fois, sont « finaux », dans le sens qu’ils ne laissent aucun doute sur le sens final de la phrase. J’ai mentionné que les indicateurs de ton sont le plus souvent utilisés par les personnes neurodivergentes, pour qui il est difficile de communiquer, mais qui sait, ils pourraient un jour vous être utiles ! Tout comme ils pourraient faciliter la vie d’une personne à qui vous vous adresserez un jour sur internet. Si le sujet vous intéresse et que vous souhaitez en apprendre davantage (et si vous parlez anglais), je vous redirige sur ce site qui contient une liste d’indicateurs de ton et quelques informations supplémentaires sur leurs subtilités, ou alors, pour une liste plus courte et en français, sur la page d’annexe sur les indicateurs de ton débutée par Sayoxime.Ces suggestions, affichées sur la page d’accueil, ont été proposées par Noé, Cantons-de-l'Est et Pamputt. Merci de leurs contributions aux personnes qui ont créé de nouvelles entrées : Bpierreb, CKali, Exilexi et Noé !
Connaissez-vous le latte art et toutes ces nouvelles boissons aux noms étranges ? Chaï latte, dirty chaï latte, golden latte, goth latte, matcha latte.
Espérons que personne ne va vous couper l’herbe sous le pied pour documenter les outils du tourbier servant à gérer le gazon : aérateur à gazon, faux à gazons, hache à dégazonner, molette à gazons, rouleau à gazon.
Le Wiktionnaire documente déjà le lève-gazon, qu’on appelle aussi un louchet à gazon et le coupe-gazon que l’on appelle aussi tranche-gazons.
Connaissez-vous les différentes stratégies d’imitation et de camouflage suivantes ? Mimétisme batésien, mimétisme vavilovien, mimétisme pouyannien (ou pseudocopulation), mimétisme juridique, mimétisme moléculaire et mimétisme apoptotique viral.
La notion d’« école » est protéiforme. Serez-vous capable de bonifier cette liste avec école ionienne, école supérieure polytechnique, école secondaire, école de droit, école professionnelle, école du soir, école d’art,… ?
Vous prendrez bien une petite mousse ? Dicrane en balai , frullane dilatée , hylocomie brillante , pellie épiphylle , pleurozie dorée (ou hypne dorée) , thuidie à feuilles de tamaris
Heureux habitants de Saint-Côme-d’Olt et autres localités où le français est parlé, vous n’êtes pas sans vous rappeler que, le 23 décembre 1989 sur France Inter, la chronique matutinale de Philippe Meyer traitait d’un dictionnaire. Et quel dictionnaire ! Celui des mots perdus : le bien nommé Obsolète — autant dire la parfaite paraguante pour wiktionnariste, en ce sens que sa lecture l’emparadisera d’évidence.
Liste forcément désultoire de mots recensés ric-à-ric par des glossographes talentueux, ce livre raccoutre notre langue en retrouvant ces mots injustement placés à rémotis. On y chambole avec un grand plaisir ! Publié chez Larousse en 1988, il est l’œuvre d’Alain Duchesne et Thierry Leguay, deux logophiles qui ont dédié leur ouvrage à la mémoire de Roland Barthes : de quoi assurer le lecteur qu’il est entre de bonnes mains.
Les auteurs ont essentiellement collecté les entrées de ce dictionnaire dans le Littré et le Nouveau Larousse illustré de 1897-1904, et ils ont eu le bon goût d’en reproduire des illustrations. Nous recommandons notamment celle illustrant la chasse à l’autruche ! Le dessin étant un langage universel, la représentation d’une bigotelle nous a suffi pour en comprendre l’intérêt, et j’ai compris que j’utilisais quotidiennement un objet dont j’ignorais le nom : un happeur. En revanche, la définition du garde-nappe m’a manqué : malgré l’illustration, son usage m’échappe.
La structure de l’ouvrage est curieuse, et impose à ce dictionnaire un… index : les mots y sont regroupés par sections. Un incipit de Ferdinand Brunetière en donne la clé : « La langue est un théâtre dont les mots sont les acteurs ». En découlent les différentes parties de l’ouvrage : décors, acteurs, affections, manières, discours et coulisses. Cela surprend, mais ces divisions sont pleinement justifiées par les brefs textes à l’érudition joyeuse qui les introduisent.
Il se murmure que MM. Duchesne et Leguay auraient eu accès aux archives d’un employé des éditions Larousse, M. Cinoc, qui était chargé d’ôter des nouveaux dictionnaires les mots tombés en désuétude. Prenant sa retraite en 1965, M. Cinoc conçut, à contre-fin de son activité antérieure, le projet d’un grand dictionnaire des mots oubliés, pour lequel il recensa plus de huit mille entrées, mais celui-ci ne fut jamais publié.
Faute de pouvoir orienter sur le vaste ensemble inachevé de M. Cinoc quelque lecteur allouvi désirant safrement y trouver des mots tellement oubliés qu’ils ne figurent même pas dans L’Obsolète, orientons-le vers les autres ouvrages de la collection Le Souffle des mots : on y trouve d’alléchants titres, tels le dictionnaire commenté des expressions d’origine littéraire, par Jean Claude Bologne, ou celui consacré aux mots du corps dans les expressions de la langue française, par Jacques Jouet, qui n’est pas le seul oulipien lexicographe publiant dans cette collection.
Mais cessons de patrociner : on aura, je l’espère, compris l’utilité de L’Obsolète et de sa recension des mots perdus. Cette modeste chronique a été rédigée pour qu’il ne devienne à son tour obsolète. Ce risque est écarté pour l’instant : ce dictionnaire a été réédité de nombreuses fois. Je le crois même postéromane : sa dernière édition en date, intitulée Dictionnaire insolite des mots oubliés, date de 2018. Mais nul ne sait de quoi demain sera fait : peut-être les rééditions cesseront, peut-être qu’un jour fera-t-il partie de ces livres que désherbent les bibliothécaires municipaux. Quand ce funeste jour viendra, il faudra l’ajouter au nombre des dictionnaires obsolètes… qui seront évidemment recensés dans le fort désirable Dictionnaire des dictionnaires disparus, qui reste à écrire. Nous vous souhaitons le bonjour !Cette publication mensuelle a débuté en 2015 avec l’intention de documenter la vie du Wiktionnaire, de son contenu et de sa communauté, ainsi que des sujets qui intéressent son lectorat : les langues, les mots et les dictionnaires. De nombreuses personnes se sont impliquées au fil du temps, pour transmettre des informations, des connaissances ou proposer des liens vers d’autres contenus en ligne ou imprimés. Pour orchestrer et tenir le calendrier de la publication régulière, je consacre une quinzaine d’heures chaque mois aux Actualités du Wiktionnaire : veille sur les publications, recherche d’illustrations, quelques statistiques et diverses rédactions. Ce qui fait de moi une sorte de responsable d’édition, même si c’est un rôle informel et complètement bénévole. Unsui tient la barre des statistiques principales et Cantons-de-l’Est relit avec assiduité chaque numéro. Merci à eux et à toutes les personnes qui s’impliquent à ce que la publication demeure collective et passionnante à chaque numéro !
Allons-nous poursuivre pour cent numéros supplémentaires et plus encore ? Pour ma part, je continue à trouver agréable de m’impliquer dans le Wiktionnaire de cette manière-là, mais apprécie moins certaines fins de mois qui m’imposent une charge importante de rédaction pour finaliser les numéros. Je le fais plus volontiers lorsque les brouillons contiennent des mots venant de diverses personnes dont j’apprécie la mise en circulation. L’avenir des Actualités du Wiktionnaire dépend donc aussi de vous, qui participeront à rédiger de nouvelles lignes de cette publication collective, et feront des retours positifs comme négatifs sur cette publication !Outre le Scrabble — apparu en 1948, suivi de multiples rééditions —, de nombreux jeux de lettres existent. Ils utilisent d’autres mécaniques. Présentation de quelques-uns :
Règles rapides par LudoChrono sur YouTube :
Vous trouverez d’autres propositions sur Les 10 meilleurs jeux de société de mots et lettres (2023) et Maudit Mot Dit.
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Bonjour Pamputt, J'ai bien aimé votre chronique, qui m'a fait réfléchir sur les mot universels. J'ai pensé à quatre mots universels : Soleil, Lune, vent et nuage. Peut-être qu'un jour il y aura une liste Pamputt ? Cantons-de-l'Est (discussion) 1 août 2023 à 02:05 (UTC)
Bonjour, Je ne contribue plus beaucoup mais je lis toujours assidument les Actualités. Un grand bravo et un grand merci pour ces 100 numéros ! /srs Stephane8888 ✍ 2 août 2023 à 09:29 (UTC)