Bonjour, vous êtes venu ici pour chercher la signification du mot Wiktionnaire:Questions sur les mots/février 2009. Dans DICTIOUS, vous trouverez non seulement toutes les significations du dictionnaire pour le mot Wiktionnaire:Questions sur les mots/février 2009, mais vous apprendrez également son étymologie, ses caractéristiques et comment dire Wiktionnaire:Questions sur les mots/février 2009 au singulier et au pluriel. Tout ce que vous devez savoir sur le mot Wiktionnaire:Questions sur les mots/février 2009 est ici. La définition du mot Wiktionnaire:Questions sur les mots/février 2009 vous aidera à être plus précis et correct lorsque vous parlerez ou écrirez vos textes. Connaître la définition deWiktionnaire:Questions sur les mots/février 2009, ainsi que celles d'autres mots, enrichit votre vocabulaire et vous fournit des ressources linguistiques plus nombreuses et de meilleure qualité.
Page pour l’archivage des questions traitées en février 2009.
Je voulais dire par exemple dans : "la ... de l'autorité de l'État sur la liberté personnelle"
Dans ce cas-ci le mot prévalence ne s'emploie pas, non ?! Merci — message non signé de Olinoûs (d · c) du 12 février 2009 à 18:47
Et bien si, justement, c'est même un excellent exemple à mettre sur l'article. Néanmoins, le TLFi note (Littéraire), et je ne peux lui donner tort. --Szyx12 février 2009 à 18:53 (UTC)
Petite question de typograhie : dit-on duc-d’Albe ou duc-d’albe ? Sur la Wikipédia, on trouve w:duc-d'Albe pour le titre mais duc d’albe dans le corps de texte. La capitale me semble plus logique, mais sans conviction profonde. Par contre, le trait d’union me semble essentiel pour distinguer un duc d’Albe (ou marquis ou comte d’Albe) d’un duc-d’Albe (ou dolphin, ou bricole) (même cas que suivez-moi-jeune-homme). Cdlt, VIGNERON * discut.21 février 2009 à 18:49 (UTC)
Les 4 sont attestés dans les dictionnaires ! Avec une majorité pour le traît d'union. C'est moins clair pour la majuscule. Les 4 articles doivent donc exister. Le principal étant duc-d’Albe selon moi. Stephane8888discuter21 février 2009 à 22:05 (UTC)
Quelle est le traduction en Fançais ou Anglais du mot UBULULU qui est un serpent vivant dans la région du KZN.
Une réponse vous a été donnée sur southafrican-wildlife.blogspot.com : « UBULULU is know as the "Puff Adder" in English. It's latin name is Bitis arietans. The zulu names are quite tricky to pronounce. » À partir de là, il est facile de trouver son nom en français : vipère heurtante. puff adder, Bitis arietansStéphane8888discuter5 février 2009 à 10:10 (UTC)
Contenu --Réglé
comment appelle t-on le contenu d'une fourchette et d'une brouette
et une assiette?
pour un pelle c'est une pelleté ,une cuillère c'est une cuillèrée
on parle de Croix Gammée pour parler du symbole nazi.
Mais d'où vient "gammée" de quel verbe ?
Que veut dire une croix dite gammée, à part la forme.
Existe t il un verbe Gammer ?
Voir l'article croix gammée, ainsi que l'article de Wikipédia. gammée ne signale que la forme à ma connaissance, et il n'existe pas apparemment de verbe gammer. J'en profite pour signaler un plagiat évident dans l'article gammé de l'article « gammé » du TLFi. On en a fusillé pour moins que ça ! --Zorglub3 février 2009 à 17:58 (UTC)
Le merbau (Intsia bijuga) est un arbre tropical rare de couleur brun rouge qu'on ne trouve plus qu'en Nouvelle-Guinée. (Wikipédia) Apparemment prisé pour faire du parquet. --Szyx6 février 2009 à 14:17 (UTC)
Bonjour, nous sommes désolés mais votre demande n’a pas sa place ici. Le Wiktionnaire est un dictionnaire de langue, où l’on discute donc avant tout des mots ; pour les renseignements encyclopédiques, voyez plutôt sur l’Oracle de Wikipédia. Merci de votre compréhension.
J'ai trouvé dans l'article graviton la mention de antigraviton comme antonyme. J'ai précisé ce qu'il en est.
Mais en fait, c'est une habitude sur ce dico. positron est cité comme antonyme d'électron. Mais est-il vraiment correct de considérer l'antiparticule correspondante comme l'antonyme d'une particule ? Une antiparticule, c'est une particule de charge opposée à la particule, et qui a la propriété de s'annihiler mutuellement avec la particule. Alors antonyme ?
Bon, remarquez, personnellement je pensais que la notion d'antonyme ne s'appliquait que pour les adjectifs, et nuit est cité comme antonyme de jour. Barraki26 février 2009 à 19:24 (UTC)
Bonjour Barraki. Il me semble que c'est moi qui avais créé ces articles à mes débuts. Avec du recul, je suis d'accord que la notion d'antonyme n'est pas justifiée dans le cas des particules (et des antiparticules). Sauf si quelqu'un a un avis contraire, je propose de supprimer la section antonyme et de la remplacer par la section {{-apr-}}. Pamputt27 février 2009 à 14:42 (UTC)
J'ai retouché l'article. Par contre, j'ai supprimé la phrase « Par propriété, le graviton est aussi l'antigraviton. ». Je ne comprends pas ce que tu veux dire. Pamputt27 février 2009 à 14:49 (UTC)
C'est vrai qu'il ne faut pas abuser de cette notion, et la notion de sens opposé n'est pas toujours évidente. Mais elle ne s'applique pas qu'aux adjectifs. Par exemple, attacher et détacher peuvent être considérés comme antonymes, tout comme tristesse et joie, non ? Lmaltier27 février 2009 à 15:38 (UTC)
À votre avis comment doit-on écrire ce mot: cochl'oeil ou coquel'oeil ou cochloeil? Merci à l'avance. J'ai eu beau consulter tous les dictionnaires je ne trouve pas. Pour ceux qui ne connaissent pas ça veut dire quelqu'un qui ne voit pas bien. Merci encore. Denis
Ce mot est d'origine québécoise et s'écrit "COQUELŒIL". C'est un adjectif signifiant : qui ne voit pas ce qui saute aux yeux. Voir ici. Chrisaix27 février 2009 à 18:27 (UTC)
je voudrais savoir pourquoi le mot la Parole prend un "P" majuscule et connaitre plus sur l'origine du mot. référence la Bible (jean 1:1) MERCI
Dans les textes chrétiens «Dieu» prend une majuscule, au verset 14 (jean 1:14) il est dit que cette parole a été faite chair. On peut considérer que Jésus est cette parole. Puisqu'il est lui-même fils de Dieu et fait partie de la Trinité, il est Dieu, donc la Parole est Dieu, et peut aussi prendre une majuscule. Pour l'étymologie voir parole. Dans le texte original en grec le mot λογος (logos) est utilisé. -moyogo/ ⁽ᵈⁱˢᶜᵘᵗᵉʳ⁾28 février 2009 à 13:35 (UTC)
Indiquer comme exemple pomme de terre et patate comme synonyme n'est pas un bon choix.
En effet, patate fait référence à la patate douce espèce différente de la pomme de terre.
Nous mangeons donc des pommes de terre même si dans l'argot, le mot patate y est substitué.
C'est une bonne raison (je n'avais pas imaginé que l'article avait été créé suite à cette question). --Szyx20 février 2009 à 15:31 (UTC)
Merci beaucoup, mais vous ne faites que me donner les résultats que j'avais trouvé. Je suppose que c'est simplement dû à la mauvaise écriture de quelqu'un.
que veut dire le mot l'étimologie ---> étymologie --Réglé--
JE CHERCHE UN MOT GREC
UTILISE EN ANGLAIS ET EN FRANCAIS
DANS LE CADRE DU DROIT DU TRANSPORT MARITIME
ET QUI SIGNIFIE PENALITES JOURNALIERES DUES A AMARRAGE PROLONGE OU ILLEGAL
JE LAI ENTENDU UTILISE ENTRE PROFESSIONNELS DU DROIT DU TRANSPORT IL Y A 10 ANS ENVIRON
IL ME SEMBLE QUE CE MOT GREC ASSEZ LONG COMMENCE PAR A R R...........
QUI PEUT AIDER SIL VOUS PLAIT
VOS CONTRIBUTIONS SERONT APPRECIEES
Moi je pense que ça a un sens tout à fait spécial. C'est une locution figée, et ça ne signifie pas roman écrit par un policier, ni roman situé dans le milieu de la police, comme on pourrait le croire, mais plutôt roman à énigme concernant un crime ou un délit (et il n'y a pas toujours de policier dans un roman policier, d'ailleurs : le héros est parfois un journaliste, comme Rouletabille, ou n'importe qui...). Lmaltier16 février 2009 à 18:25 (UTC)
Pour combien de vies en un jour vécues? — autant que de malheureux consolés! Me trompé-je, Daniel, mon fils, me trompé-je ? - (Revue blanche, page 287, Alexandre Natanson, 1902)
Voiries et Réseaux Divers -- "Réglé"
Comment traduire cette expression en anglais dans le domaine de construction?
D'une manière générale, en français les mots se terminant par s, z, x sont inchangés au pluriel, et l'Académie recommande de franciser les pluriels. --Szyx9 février 2009 à 09:56 (UTC)
L'ECONOMIE POLITIQUE --Réglé
Quelle est la diférence entre la politique économique et l'économie politique
Selon Orwell ça serait plutôt Océanian (de son Océania) mais bon je pense qu'il était le seul à voir les choses comme ça, haha Olinoûs12 février 2009 à 18:50 (UTC)
En pratique, donc, presque toujours pluriel (on ne dirait pas la première phrase), sauf cas particulier genre de la nourriture autre que des pommes et des oranges. Lmaltier9 février 2009 à 06:46 (UTC)
Il y a transfert en nature lorsque la propriété d'un actif autre que des stocks ou des espèces est transférée d'une unité à une autre. - (Monetary and financial Statistics Manual, page 94, Statistics Department Staff, 2000))
0,0454 $ par gramme de tout tabac autre que des cigarettes, du tabac en vrac, du tabac en feuilles et des cigares. - (Taxes à la consommation: législation annotée, page 2687, Québec)
Quel est le mot anglais pour le recadrage d'une image ? Et en passant, je m'aperçois qu'il faudrait aussi faire l'article du mot français. --Szyx2 février 2009 à 19:57 (UTC)
Cela signifie : membres du personnel, utilisables pour réaliser certaines tâches. Cette locution me choque profondément, mais j'ai une hypothèse (personnelle) sur son origine : l'utilisation des outils de planification, qui utilisent le terme de ressource (de façon justifiée, dans leur emploi technique du mot : quelque chose ou quelqu'un dont on a besoin pour réaliser une tâche donnée). Et puis, le terme s'est répandu même en dehors de ce cadre. Il n'empêche, je pense qu'il doit toujours être évité. Remplacer Direction des ressources humaines par Direction du personnel est toujours souhaitable. Lmaltier8 février 2009 à 22:21 (UTC)
Discussion intéressante. Il me semble que si l'on avait prononcé, hors contexte, cette expression devant mes grands-parents, tous nés avant 1914, ils auraient compris ressources personnelles dont dispose un être humain, comme dans Les ressources humaines sont étonnantes si l'on en juge par la résistance de certains aux privations et certainement pas nombre d'êtres humains dont dispose quelqu'un. Pierre16 février 2009 à 10:40 (UTC)
Quelle est la définition de formative et y a-t-il de différence entre le sens de ce mot en anglais et en français?
Regardons formatif et formative. Hmm ils n'existent pas encore. Alors pour l'anglais je dirais (et je suis anglais) quelque chose comme « qui contribue à la formation, la construction de quelque chose », surtout quelque chose d'abstrait (un parti politique, peut-être). Formative years, par exemple, c'est les années quand nous sommes jeunes et beaucoup de facteurs différents contribuent à nos personnalités, nos opinions, etc. Si ça n'aide pas, lis en:formative. Mglovesfun10 février 2009 à 21:46 (UTC)
L’article anglophone en:formative indique : of, or relating to the formation and subsequent growth of something. Le TLfi indique : Qui sert à former. Surtout, il atteste le mot en français depuis 1413, ce n’est donc pas vraiment un anglicisme (pas toujours en tout cas). Le GDT (grand destructeur de traduction) possède quatre entrées pour formative en anglais :
formative and pre-cognitive learning services : services de formation et d'éveil
formative evaluation : évaluation formative
formative night-side region : région-source du côté nuit
Un peu de controverse sur la conjugaison du verbefoutre. Dans le dico de Scrabble et sur le conjugueur, le passé simple et l'imparfait du subjonctif de ce verbes n'existent pas. Mais le Wiktionnaire donne (en gris) je foutis / que je foutisse. Est-ce que ces mots existent réellement, et sinon, pourquoi on ne peut pas employer foutre au passé simple en français moderne ??? Ca me semble tout à fait possible. Mglovesfun10 février 2009 à 13:21 (UTC)
une recherche internet me dit (site anglais!) que je foutis se dit à égalité avec je foutus et en poursuivant on découvre qu'en français moderne, le passé simple utilisé est je foutus (le pied dans une merde) alors que je foutis n'est référencé que sur les pages de déclinaison (donc, à mes yeux, compte pour du beurre acadénico-ranci) --Diligent10 février 2009 à 19:43 (UTC)
Nous nous contrefoutîmes de cela... Personnellement, un passé simple en « u » me fait mal aux oreilles (et zéro réponse google pour contrefoutûmes, tous les sites de conjugaison semblent d'accord). --Szyx11 février 2009 à 14:28 (UTC)
Et une unique citation livresque avec foutûmes :
Gilles l'engrosse, puis continue à la fréquenter en compagnie de Simonet (nous foutûmes Hélène) (Gilles de Gouberville ?)
racontars de gens qui jamais y foutirent les pieds! (Céline, D’un château à l’autre, 1966)
Les artisans du bâtiment, les comités des Briques publiques, les ceusses qui construisent les forts, Tes ceusses qui foutirent partout le feu ! (Céline à nouveau)
Les chèvres firent comme les autres, elles foutirent le camp en menant la musique et puis en grillant les écuelles qu'elles avaient gagnées (cité par Paul Delarue, Marie Louise Tenèze, Le Conte populaire français, 1985)
qui, munis de vits monstrueux, nous foutirent encore deux coups chacun. (Sade)
Ils regardèrent le trou dans le pont, puis jurèrent tour à tour en levant la main au ciel. Comme ces imbéciles me tenaient tous dans leurs bras, en jurant ils me foutirent par-terre. (Gilles Ermia, The Secret of Monkey Island, 2000)
Un contributeur sous IP vient de modifier la traduction anglaise de bimensuel (cf Discuter:bimensuel). La consultation de quelques dictionnaires me laisse dubitatif : bimonthly veut-il vraiment dire les deux ?
En compilant ceci, je me rends compte que je donne la réponse, mais je le mets quand même pour vous en faire profiter. --Szyx10 février 2009 à 18:00 (UTC)
Quel est le mot anglais pour le recadrage d'une image ? Et en passant, je m'aperçois qu'il faudrait aussi faire l'article du mot français. --Szyx2 février 2009 à 19:57 (UTC)
Quelle est la définition de formative et y a-t-il de différence entre le sens de ce mot en anglais et en français?
Regardons formatif et formative. Hmm ils n'existent pas encore. Alors pour l'anglais je dirais (et je suis anglais) quelque chose comme « qui contribue à la formation, la construction de quelque chose », surtout quelque chose d'abstrait (un parti politique, peut-être). Formative years, par exemple, c'est les années quand nous sommes jeunes et beaucoup de facteurs différents contribuent à nos personnalités, nos opinions, etc. Si ça n'aide pas, lis en:formative. Mglovesfun10 février 2009 à 21:46 (UTC)
L’article anglophone en:formative indique : of, or relating to the formation and subsequent growth of something. Le TLfi indique : Qui sert à former. Surtout, il atteste le mot en français depuis 1413, ce n’est donc pas vraiment un anglicisme (pas toujours en tout cas). Le GDT (grand destructeur de traduction) possède quatre entrées pour formative en anglais :
formative and pre-cognitive learning services : services de formation et d'éveil
formative evaluation : évaluation formative
formative night-side region : région-source du côté nuit
Cela signifie : membres du personnel, utilisables pour réaliser certaines tâches. Cette locution me choque profondément, mais j'ai une hypothèse (personnelle) sur son origine : l'utilisation des outils de planification, qui utilisent le terme de ressource (de façon justifiée, dans leur emploi technique du mot : quelque chose ou quelqu'un dont on a besoin pour réaliser une tâche donnée). Et puis, le terme s'est répandu même en dehors de ce cadre. Il n'empêche, je pense qu'il doit toujours être évité. Remplacer Direction des ressources humaines par Direction du personnel est toujours souhaitable. Lmaltier8 février 2009 à 22:21 (UTC)
Discussion intéressante. Il me semble que si l'on avait prononcé, hors contexte, cette expression devant mes grands-parents, tous nés avant 1914, ils auraient compris ressources personnelles dont dispose un être humain, comme dans Les ressources humaines sont étonnantes si l'on en juge par la résistance de certains aux privations et certainement pas nombre d'êtres humains dont dispose quelqu'un. Pierre16 février 2009 à 10:40 (UTC)
Ces articles n'auraient à mon avis aucun intérêt, pas plus que apple juice qui devrait être supprimé (sauf s'il a un autre sens en anglais que jus de pomme, bien sûr). Au contraire, jus de chaussette est nécessaire car un non-francophone ne pourrait pas comprendre cette locution. Dans une perspective suppressionniste, cela va sans dire ! --Zorglub8 février 2009 à 13:49 (UTC)
C'est pour ça que j'ai hesité. Cependant, les phrases jus de pomme, jus d’orange etc. sont parmi les premiers mots qu'apprend les étudiants de français (au moins, c'était dans mon livre de français à l'écôle (que s'appele « À Table ! » - module 2 ou 3). J'imagine que apple juice est parmi les premiers mots anglais qu'ont appris les francophones aussi. --Agricoleur8 février 2009 à 13:56 (UTC)
Je dois dire que je raisonnais exactement comme Zorglub. Mais le Wiktionary les accepte, bien que ses critères soient draconiens. En allant regarder là-bas, je me suis rendu compte que le sens était spécial : c'est du jus, mais utilisé en tant que boisson. Effectivement, on ne parle pas vraiment de jus d'orange quand quelques gouttes tombent en mangeant une orange. C'est du jus provenant d'une orange, mais pas du jus d'orange. Alors ? Lmaltier8 février 2009 à 22:12 (UTC)
Est-ce qu'il y a une espèce de guerre entre le Wiktionary et le Wiktionnaire, parce que je me suis rendue compte qu'ils ont presque le même nombre de pages. Il va me falloir opérer mon bot pour éviter être dépassé alors... ou je le modifierai pour le Wiktionary. --Agricoleur9 février 2009 à 10:17 (UTC)
Il n'y a pas de guerre, mais ils tenaient absolument à atteindre le million avant nous (et ils ont réussi). Certains sont très vexés de ne pas être largement en tête (et ils paraissent même très légèrement déprimés, j'ai l'impression, tout en étant très actifs). Mais ça va aller mieux quand ils repasseront en tête. Lmaltier9 février 2009 à 13:01 (UTC)
Le TLFi compile la prononciation donnée par plusieurs autres dictionnaires. À notre tour de compiler les 2 prononciations. Le /w/ me semble davantage utilisé. Contrairement à wagon pour lequel c'est le /v/ qui l'a emporté. Stéphane8888discuter9 février 2009 à 18:36 (UTC)
Si vous prenez la prononciation belge : les Wallons, la Wallonie etc. de toute évidence le "w" se prononce "w" et non pas "v" soit wallon (oua-lon) de même que pour "wagon" (oua-gon), soit suivant l'influance anglaise comme pour "week-end" qui se prononce avec un "w" soit (ouikend). Si l'on parle de Wallons, de Belgique, ou de noms propres ayant un rapport avec la Belgique,le son (oua...) est obligatoire.
Bien sûr, il y a une différence de prononciation du mot "wallon" entre le français de France (valɔ̃) et donc, dans le reste de la Francophonie et en français de Belgique (walɔ̃). En Belgique, cette prononciation est systématique et consensuelle entre tous les locuteurs. Vous pouvez gérer cela comme on gère les différences de prononciation du wallon (voir tchestea).
Psycholinguistiquement, la prononciation "à la française" (valɔ̃) irrite beaucoup de Wallons, au point que le chanteur Julos Beaucarne a suggéré de réorthographier "Ouallon". Mais l'orthographe avec "W" est aussi ressentie comme très identitaire. De nombreus es villes et villages wallons s'orthographient avec W (toujours prononcé w), ainsi que de nombreux noms de famille, et aussi des prénoms très courants (Willy, Walter), etc.
Un peu de controverse sur la conjugaison du verbefoutre. Dans le dico de Scrabble et sur le conjugueur, le passé simple et l'imparfait du subjonctif de ce verbes n'existent pas. Mais le Wiktionnaire donne (en gris) je foutis / que je foutisse. Est-ce que ces mots existent réellement, et sinon, pourquoi on ne peut pas employer foutre au passé simple en français moderne ??? Ca me semble tout à fait possible. Mglovesfun10 février 2009 à 13:21 (UTC)
une recherche internet me dit (site anglais!) que je foutis se dit à égalité avec je foutus et en poursuivant on découvre qu'en français moderne, le passé simple utilisé est je foutus (le pied dans une merde) alors que je foutis n'est référencé que sur les pages de déclinaison (donc, à mes yeux, compte pour du beurre acadénico-ranci) --Diligent10 février 2009 à 19:43 (UTC)
Nous nous contrefoutîmes de cela... Personnellement, un passé simple en « u » me fait mal aux oreilles (et zéro réponse google pour contrefoutûmes, tous les sites de conjugaison semblent d'accord). --Szyx11 février 2009 à 14:28 (UTC)
Et une unique citation livresque avec foutûmes :
Gilles l'engrosse, puis continue à la fréquenter en compagnie de Simonet (nous foutûmes Hélène) (Gilles de Gouberville ?)
racontars de gens qui jamais y foutirent les pieds! (Céline, D’un château à l’autre, 1966)
Les artisans du bâtiment, les comités des Briques publiques, les ceusses qui construisent les forts, Tes ceusses qui foutirent partout le feu ! (Céline à nouveau)
Les chèvres firent comme les autres, elles foutirent le camp en menant la musique et puis en grillant les écuelles qu'elles avaient gagnées (cité par Paul Delarue, Marie Louise Tenèze, Le Conte populaire français, 1985)
qui, munis de vits monstrueux, nous foutirent encore deux coups chacun. (Sade)
Ils regardèrent le trou dans le pont, puis jurèrent tour à tour en levant la main au ciel. Comme ces imbéciles me tenaient tous dans leurs bras, en jurant ils me foutirent par-terre. (Gilles Ermia, The Secret of Monkey Island, 2000)
Un contributeur sous IP vient de modifier la traduction anglaise de bimensuel (cf Discuter:bimensuel). La consultation de quelques dictionnaires me laisse dubitatif : bimonthly veut-il vraiment dire les deux ?
En compilant ceci, je me rends compte que je donne la réponse, mais je le mets quand même pour vous en faire profiter. --Szyx10 février 2009 à 18:00 (UTC)
J'ai trouve ses abreviations (N.A.N. et C.I.N.) sur une "Formulaire de Demande de Passeport Ordinaire" pour le pays du Mali. Qu'est que ca veux dire, N.A.N., C.I.N.?
C'est quoi un suscepteur ? (en électromagnétisme / induction)
Épitaxie en phase gazeuse. C'est un procédé surtout utilisé en technologie silicium. Les wafers sont placés sur un suscepteur en graphite recouvert d'une couche de SiC (carbure de silicium, non réactif), chauffés à 1000 - 1200 degrés C et balayés par des gaz de réaction. Le tout s'effectue dans une enceinte préalablement nettoyée par le vide.. w:en:Susceptor, w:fr:Susceptance. Donc, c'est un support en graphite qui sert à convertir l'énergie électromagnétique en chaleur. --Grenadine21 février 2009 à 00:50 (UTC)
J'ai rajouté le mot to en tant que mot français. Mais est-ce que ça existe au pluriel ? Peut-être bien, mais je n'ai trouvé aucun exemple. Il faudrait chercher plus, mais c'est pas simple. Lmaltier21 février 2009 à 17:59 (UTC)
Bon, déjà, il faudrais créer cet article indispensable dans un dictionnaire. Le TLFi ne le connait pas. C'est une définition qui se mord la queue mais qui me semble justifier les usages que je note, à la place de étymologie dont il pourrait presque partout etre le synonyme :
recours à l’étymologie pour expliquer le sens d'un mot.
recours à l'étymologie pour suggérer / imposer la forme correcte d'un mot (en survolant et déchiffrant la définition de ce dictionnaire roumain qui prend le français pour origine de leur etymologism).
ma question porte sur le vilain néologisme que j'ai pondu dans l'article puits (mea culpa), que je ne réécris pas ici pour éviter sa multiplication via les moteurs de recherche, qui, par effet de miroir se retrouve déjà sur quelques sites. Comment qualifier ou nommer une étymologie, en fait la formation d'un mot, qui est savamment correcte, mais ignore l'usage établi. rétroformation ?
Si c'est pour le Wiktionnaire, j'expliquerais simplement en clair sans chercher un mot. En plus ici, on chercherait pour rien, à mon avis, ce n'est pas une caractéristique de l'étymologie du mot, c'est juste une explication de l'orthographe : on étudie l'influence de l'étymologie sur l'orthographe, c'est donc plutôt un adjectif s'appliquant à orthographe qu'il faudrait chercher. Lmaltier23 février 2009 à 18:53 (UTC)
En parlant de "Curiosités linguistiques", je ne vois pas en quoi les "Mots suédois empruntés au français" ou les "Mots tchèques empruntés au français" sont des curiosités linguistiques. J'ignorais que les Suédois ou les Tchèques étaient des bêtes curieuses à ce point ! Chrisaix23 février 2009 à 19:41 (UTC)
relations entre les mots... Un linguiste, please !
Grâce au Wiktionnaire, j’ai appris que le français avait, au delà de synonyme et antonyme, d’autres mots du même genre, très pratiques pour décrire les relations entre les mots. Par exemple, hyperonyme (je connaissais déhà Oberbegriff), méronyme, holonyme...
Mais pour les verbes, comme tuer et mourir, qui ne sont pas antonymes (pour moi, tuer ≠ ramener à la vie / faire ressuciter et mourir ≠ vivre), comment dit-on qu’ils sont ? Est-ce qu’on dit quand même antonyme ? (surtout que dans certains cas, le véritable antonyme n’existe pas en un mot : vendre ≠ ne pas vendre et acheter ≠ s’abstenir d’acheter ; donc c’est bien pratique de les qualifier d’antonymes, même si ça me pose problème).
J’ai un livre qu’on a étudié à l’université qui dit (en anglais) qu’apprendre et enseigner sont converse (conversifs ?). Mais ce n’est pas la même chose, si ? J’ai du mal à avoir la tête claire là-dessus.
Exemples pour vous inspirer :
apprendre / enseigner
garder (ne pas donner)≠donner / prendre≠ne pas prendre / recevoir
garder (ne pas prêter)≠prêter / emprunter≠ne pas emprunter
manger / nourrir
etc.
Et que dire des relations entre écouter et entendre, regarder et voir ? Y a-t-il un mot pour ça ?
Je m’aperçois que le fait de ne pas connaître les mots pour ce genre de choses rend difficile la réflexion autour du sens des mots. --Eiku26 février 2009 à 02:10 (UTC)
Il me semble me souvenir que des couples de verbes comme apprendre/enseigner, aller/venir, prêter/emprunter sont dits réciproques, c'est-à-dire que chacun exprime l'idée inverse (et pas contraire) de l'autre. Ils ont souvent une construction différente (enseigner qqc à qqn, apprendre qqc de qqn) dans le sens concerné. Quant à des couples comme tuer/mourir ou manger/nourrir, là aussi, il me semble me souvenir que l'un est actif, alors que l'autre est passif. Ils sont opposés dans le type d'action, mais pas opposés lexicalement. Mais je ne me souviens plus du nom qu'on utilise pour les définir. Si ça peut faire avancer un peu... Chrisaix 26/02/2009 13:19
Peut-etre je me trompe pour le terme francais, mais c'est sur qu'en anglais c'est converse: Such a regularity as between give and get, sell and buv. and teach and learn is known in semantics as a converse relation. --Grenadine26 février 2009 à 13:25 (UTC)
Merci pour ces éléments de réponse. Chrisaix et Grenadine ont raison pour :en:réciproque et :en:converse (je fais pointer les liens vers les articles de en:). Pour conversif, ça semble être un faux ami (je n’ai rien trouvé sur google). Le vocabulaire semble être emprunté aux maths (auxquels je comprends peu de choses malheureusement) : voir Relation binaire sur Wikipédia. Quant à corrélatif, je ne sais pas si c’est exactement la même chose. D’après Corrélation sur Wikipédia, ce serait un terme plus générique pour indiquer que les sens sont liés. Par exemple, fraise et entrer en éruption ne sont pas corrélatifs selon moi.
Je pense que ça peut servir, par exemple, pour traduire manquer à quelqu’un en anglais ou en allemand, langues qui utilisent justement un verbe dont le sens est réciproque (vermissen et miss). Ça pourrait également être utile de mettre les réciproques et les inverses dans les articles, si on les connaît, car ça sert souvent. --Eiku26 février 2009 à 15:59 (UTC)
Je ne suis pas tout a fait d'accord pour « conversif »... Peut-etre ce n'est pas un mot tres repandu, meme parmi les linquistes francais mais ca existe: — c'est un pdf a la base, donc, « conversif » c'est dans la section d'autres relations paradigmatiques page #3. . — section « antonymie duale » --Grenadine26 février 2009 à 20:57 (UTC)
J'ai trouvé au sujet de manger/nourrir ! Les verbes à sens actif (comme manger) sont dits factitifs (parce que celui qui mange est celui qui fait l'action), alors que les verbes à sens passif (comme nourrir) sont dits causatifs (parce que le sujet n'est pas celui sur lequel porte l'action, bien qu'il en soit la cause). Une forme typiquement causative de nourrir est "faire manger", qui indique bien que l'action ne porte pas sur le sujet du verbe mais sur son complément. Dans ce sens, on peut dire que manger est le corrélatif factitif de nourrir. Ou, à l'inverse, nourrir est le corrélatif causatif de manger. On retrouve la même différence entre tuer et mourir. Le verbe mourir est factitif, alors que le verbe tuer est causatif (parce qu'il est synonyme de fairemourir). Voir causatif sur l’encyclopédie Wikipédia . Chrisaix26 février 2009 à 21:34 (UTC)
Idem pour apprendre (intransitif, factitif) et enseigner (transitif, causatif = faire apprendre).
Idem pour boire (intransitif, factitif) et abreuver (transitif, causatif = faire boire).
Bravo ! Mais comment tu fais pour trouver/savoir tout ça ? (peut-être que c’est l’apanage des gens qui se couchent tôt... Alors au dodo Eiku !)--Eiku27 février 2009 à 00:38 (UTC)
Merci pour le compliment, mais je n'ai aucun mérite. J'ai rentré "nourrir manger" sur Google. Je suis tombé sur l'article "causatif" sur Wikipedia et ce que j'avais vu il y a quelques années m'est revenu en mémoire. Chrisaix27 février 2009 à 07:27 (UTC)
En ce qui concerne la troisième sorte de verbes dont tu parles (écrouter/entendre), la différence vient dans la conscience que l'on met dans l'action. Schématiquement, "voir" est une fonction biologique, alors que "regarder" est un acte volontaire. De la même façon, "entendre" est la fonction, "écouter" est l'acte. On a d'autres couples de verbes semblables en français : marcher/se promener ; parler/discuter ; faire/agir ; manger/se nourrir ; se reproduire/faire l'amour... Ils ne sont pas synonymes. D'ailleurs, on dit qu'on peut "voir sans regarder" ou "regarder sans voir" ! Chrisaix27 février 2009 à 07:46 (UTC)
Du mot Scarabée
bonjour, je fais des recherches depuis quelques temps sur la symbolique du scarabée en Egypte et l'étymologie du mot.
j'ai remarqué un truc amusant...
le scarabée correspond au dieu khépri (kheper : venir à l'existence); il apparaît le matin dans sa barque divine et prends le nom de Khépri, au zénith il devient Rê puis se couche et devient Atoum. Khépri réunit aussi le soleil du soir et le soleil du matin (soit Atoum et lui-même) en tant qu'il représente la renaissance du Soleil, le renouvellement. Ce cycle du Soleil dans le ciel est incarnée par Amon. Ce dernier et aussi appelé quand il est au sommet de sa gloire Amon-Rê. Il y a d'autre part le dieu Seth qui représente le chaos, probablement préexistant; en outre Seth combat le serpent Apep chaque nuit au côté de Rê, protégeant le disque solaire, permettant sa renaissance et le lever du jour.
Regardons maintenant le mot scarabée :
ou SKARABEE : Seth - Khépri - Atoum - Rê - Amon - Bée ...
la Nuit, le Soleil du Matin et le Soleil du Soir dans une même adresse, le Soleil à son Zénith, le Cycle du Soleil...
questions :
- le Bée peut-il être une déformation de Rê ? auquel cas on retrouve à la fin du cycle Amon-Rê...
- si ce n'est pas le cas quel est sons sens?
Merci.
Scarabéedor.
L'étymologie de scarabée a été rédigée en s'appuyant sur la référence de celle donnée par le TLFi. Pour vérifier, ou non, votre théorie, il conviendrait d'étudier les étymons de scarabée en latin, grec ancien, etc. Tâche laborieuse. Bon courage. Stéphane8888discuter15 février 2009 à 12:53 (UTC)
Il est facile d'imaginer ce genre de chose pour n'importe quel mot. L'étymologie est une science qui s'appuie surtout sur l'historique des évolutions successives des mots, et sur les lois phonétiques propres à chaque langue, pas sur l'imagination. L'imagination peut parfoirs permettre d'énoncer des hypothèses, mais tant qu'on n'a pas un début de confirmation autrement, on ne peut pas en faire grand chose. Par ailleurs, on ne met ici que les étymologies pour lesquelles il est possible de fournir des références, ou les étymologies évidentes. Lmaltier15 février 2009 à 13:12 (UTC)