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Il manque la 1ère lettre du mot grec donné en étymologie, mais comme je ne sais pas quel accent mettre dessus (et que le copier-coller depuis le TLFi fait des choses bizarres), si un spécialiste du grec ancien pouvait regarder, merci. --GaAs1 janvier 2011 à 11:23 (UTC)
Donc c'était le ὑ avec esprit rude que l'on trouve dans notre liste de caractères spéciaux. Merci. --GaAs1 janvier 2011 à 23:58 (UTC)
en grec ancien, une voyelle initiale porte toujours un esprit, soit doux, soit rude, ce dernier étant transcrit par un h aspiré. Un rho initial porte toujours un esprit rude. --Pjacquot7 janvier 2011 à 09:52 (UTC)
salut
Bonjour à toutes et à tous, je voudrais qu'on m'explique qu'est ce qu'un modalisateur.Merci
Quel le est l'origine de l'intitulé ( Chemin des estimeurs) Ville de VALREAS 84600 VAUCLUSE (ENCLAVE DES PAPES) Merci de votre aide..... Rodolphe
Avant 1673, le premier et deuxième consul devenaient, en fin de mandat, le premier et deuxième estimeur, en plus d’un estimeur vieux (un des deux estimeurs de l’année précédente).— (Roger Duchêne, Madame de Sévigné (1626-1696), 1998)
Aucune idée de ce en quoi pouvait consister cette charge.
L’estimeur Defooz, L’estimeur Bouquette
Semble être quelqu'un qui réalisait l'estimation de biens pour une vente, peut-être suite à une succession.
J’ai acheté 1 kg de carottes en sachet l’autre jour… et on peut lire au dos de l’emballage : « carottes hydrocoolées ». Est-ce que quelqu’un sait ce que cela veut dire exactement ? --Actarus(Prince d'Euphor)3 janvier 2011 à 09:22 (UTC)
Bonjour, nous sommes désolés mais votre demande n’a pas sa place ici. Le Wiktionnaire est un dictionnaire de langue, où l’on discute donc avant tout des mots ; pour les renseignements encyclopédiques, voyez plutôt sur l’Oracle de Wikipédia. Merci de votre compréhension.
si nous en croyons le Petit Robert, le nom de CANICULE a été donné à l'étoile SIRIUS (faisant partie de la constellation du grand chien) par les Astronomes vers l'an 1500.
Canicule, ou la Petite Chienne, se lève et se couche avec le Soleil du 22 juillet au 23 août, période de l'année où la chaleur est la plus forte dans l'hémisphère Nord.
Cette expression populaire révèle tout son sens quant on connait mieux l'étymologie du mot canicule.
Il intéressant de constater que l'expression: "faire un temps de chien "relève de la même étymologie,et ne signifie nullement qu'il pleut des cordes, mais bien qu'il fait une chaleur écrasante. — message non signé de 82.66.30.184 (d · c)
Je ne pense pas que ce soit ce que les gens veulent dire en parlant de temps de chien, ce n'est donc pas le sens de l'expression. Lmaltier3 janvier 2011 à 20:45 (UTC)
« ... de chien » et « chien de ... » s’utilisent comme termes dépréciatifs pour toutes sorte de choses, et ne se limite pas au temps. Voir les nombreux exemples d’utilisations que donne Littré (article « Chien », sens 5). Pour « avoir du chien », Littré fait remonter cette expression à « avoir une colère de chien, une peur de chien ». (ibid., sens 14). Donc rien à voir avec les étoiles (« canicule » fait référence de la constellation du Grand Chien, mais Sirius n’est pas pour autant une chienne d’étoile). Attention donc aux étymologies de chien. —C.P.4 janvier 2011 à 01:29 (UTC)
Merci de ta réponse, mais je précise ma question dans « Ordinaire d’une maison, chère qu’on y fait habituellement » c'est « chère qu’on y fait habituellement » que je ne comprends pas. … Aelmvn4 janvier 2011 à 02:32 (UTC)
Dans une invitation formelle, je peux utiliser
"Tenue casuel" pour dire que les hommens pourront aller de jeans? ou c'est au féminin "Tenue casuelle"? "Tenue décontractée" c'est trop informelle?
En bon français, casuel ne veut pas du tout dire « décontracté » ; l’utiliser dans ce sens est clairement un anglicisme, calque de casual. —C.P. 4 janvier 2011 à 04:59 (UTC) — @JackPotte : Et ceux qui portent une cravate avec un jeans sont en tenue correctement décontractée ? ==> —C.P.4 janvier 2011 à 04:59 (UTC)
Cette tenue casuelle compris de une jupe et un veste est idéal pour n'importe quelle occasion. Voilà qui est au-delà de l'anglicisme ! --GaAs4 janvier 2011 à 09:56 (UTC)
un anglicisme, et qui plus est, diffusé par une entreprise bolivienne. On se demande quelle substance avait absorbé le traducteur. --Pjacquot4 janvier 2011 à 15:58 (UTC)
Je vous remercie à tous les explications. C'est clairement un anglicisme, vous avez raison, calqué en "casual dress"
Après lecture attentive du texte d'origine : calibre de tuyau (utilisé pour la distribution de l'eau) ayant un diamètre de vingt quarts de doigt, soient cinq doigts. je retourne tenter d'évaluer un doigt. --Pjacquot4 janvier 2011 à 15:48 (UTC)
Je doute que ce suffixe, s'il existe (le TLFi dit -aire pour trentenaire, et directement du latin sans suffixe pour centenaire, quadragénaire, quinquagénaire, pas vérifié les autres), s'applique aux deux sens de vingtenaire. Et par ailleurs il s'agit à mon avis de deux créations indépendantes, à des époques différentes, absolument pas d'un glissement de sens de l'un vers l'autre, donc deux mots différents. --GaAs4 janvier 2011 à 18:26 (UTC)
Intuitivement, j'aurais dit que c'est la même construction, i.e. le dénombrement d'une vingtaine d'unités (qu'il s'agisse d'années ou de doigts romains). Si quelqu'un a le temps de faire des recherches étymologiques et de nous pointer vers des sources, je les lirai avec curiosité! GiuseppeMassimo4 janvier 2011 à 19:13 (UTC)
Le vingtenaire c'était aussi le nom donné aux préposés à la perception du droit de vingtain ou vintain ( « Encyclopédie méthodique. Jurisprudence pour monseigneur de Miromesnil, garde des sceaux de France 1791») soit donné un vingtième de ses revenus. Pas de quoi fêter les vingtenaires. Et n'oublions pas qu'en France, nous étions en système vigésimal, cherchez sur googlelivre les quatre-vingts, les sept-vingts, les quinze-vingts,etc
Merci de m'indiquer l'origine du prénom Liselotte.
D'après la version anglaise du Wiktionnaire, « Liselotte » est une variante orthographique du prénom féminin allemand « Lieselotte », combinant les prénoms « Elisabeth » (dont le diminutif est « Lise ») et « Charlotte » (dont le diminutif est « Lotte »). En cherchant un peu, vous trouverez facilement l'origine des prénoms Elisabeth et Charlotte. Bonne lecture! GiuseppeMassimo5 janvier 2011 à 20:00 (UTC)
et voilà! Est-ce que quelqu'un sait comment transférer une image de en.wikipedia vers media commons? Si oui, vous trouverez le nom de l'image dans le code source de la page ankylosé, dans la section adjectif. GiuseppeMassimo6 janvier 2011 à 05:12 (UTC)
Pour info, pour une seule image, la procédure basique convient très bien : tu télécharges l'image de en.wp sur ton PC, tu vas sur Commons, et tu la téléverses comme n'importe quelle image, sauf que tu recopies exactement la description, l'auteur et la licence d'origine (en ajoutant dans le champ "source" que ça vient de en.wp). Voir :
Accessoirement il y a une procédure pour signaler le transfert aux admins de en.wp, mais je ne l'ai pas encore fait, y a pas l'feu au lac (attendons d'être sûr qu'il n'y a pas de pb sur Commons). --GaAs6 janvier 2011 à 15:39 (UTC)
Ça dépend du contexte. S'il regarde des photographies dans un musée, on pourrait dire un visiteur. Au pluriel, on pourrait dire le public. S'il regarde des photographie dans un livre, on pourrait dire un lecteur. S'il s'agit simplement d'une personne regardant une photographie, par exemple dans sa cuisine, je ne connais pas de mot. En attendant d'en trouver un, je dirais simplement: "Une personne qui regarde une photographie". Quelqu'un d'influent popularisera peut-être un jour un mot comme "photo-regardeur". GiuseppeMassimo5 janvier 2011 à 19:27 (UTC)
J'aimerais assez photovoyeur, dommage que voyeur est acquis ce coté péjoratif. De toute façon, le terme existe-t-il pour un film, une pièce de théâtre ou un match de foot? … Aelmvn5 janvier 2011 à 19:53 (UTC)
Suite à ma remarque sur l'existence de -icque en tant que suffixe en moyen français, Béotien a
édité mes ajouts étymologiques pour y insérer un -icqueici et là
reverté ma modification pourtant argumentée dans l'historique ici et là.
Il ne viendrait à l'esprit d'aucun étymologiste de dire que géométrique = geometricus + ique, astronomique = astronomicus + ique, mélancolique = melancholicus + -ique, pourquoi le faire pour le moyen français ?
Je suis plutôt d'accord. -icque est dérivé du latin -icus, la majorité des mots avec cette terminaison ne furent pas formés par mot + suffixe, mais dérivés directement du latin (comme melancholicque). Par contre, je me dis qu'il y avait quelques mots créés en moyen français qui n'existaient pas avant 1400, par exemple, Pantagruelicque. Mglovesfun (disc.) 5 janvier 2011 à 18:12 (UTC)
Il arrive très souvent que des terminaisons de mots grecs, latins, etc. empruntés par la langue moderne voient leur fin francisée de façon standardisée : on remplace le suffixe étranger par ce qui est devenu peu à peu un suffixe standard en français (ce n'était bien sûr pas le cas pour les premiers mots ayant cette terminaison). C'était sans doute ça l'idée. Lmaltier5 janvier 2011 à 22:04 (UTC)
Je ne vois pas où est le problème. Dans melancholicque par exemple, j'ai mis l'étymologie
Je vois sur Antidote pour mélancolique : « Emprunt au latin tardif melancholicus, 'atteint de la maladie de la bile noire', aussi analysable en mélancolie et -ique ». --✍ Béotien lambda☏6 janvier 2011 à 08:51 (UTC)
Oui, Arséniure, sur 2 lignes, car il est normal et utile de décrire la construction du mot, notamment la terminaison qui n'est pas due à une génération spontanée :
Je dirais surtout en deux phrases clairement séparées, pour qu'il n'y ait pas d'interprétations multiples possibles. --GaAs6 janvier 2011 à 15:27 (UTC)
J'ai religieusement calqué le TLFi qui dit que c'est in-odio. Elle me semble une aberration mais qui suis-je...
Si noia alors ennui < ennuyer +/-= an-noio = <> in-odio mais plutôt un étymon germanique je suis ennuyé = +/- i am in-need en anglais avec univerbation.
Je vois mal l'italien rajouter un /n/ expressif. Des avis ?
Bonjour, est ce que vous connaissez l'orthographe du mot « fanny » qui apparait dans cet article. Ça signifie qu'on a marqué aucun point lors d'un match. Par ailleurs est ce que vous savez quelle est l'étymologie de ce mot ? Pamputt6 janvier 2011 à 08:57 (UTC)
je connaissais l'expression baiser Fanny pour le perdant d'un match de pétanque. Je ne sais pas quel sens du verbe baiser est impliqué. --Pjacquot6 janvier 2011 à 09:01 (UTC)
Bonjour, dans cet article, le mot substitute est utilisée pour désigner l'équivalent féminin du substitut. Pensez vous que c'est correcte ? À mon avis oui mais comme ce n'est pas très courant. Pamputt6 janvier 2011 à 09:10 (UTC)
Féminisation de nom de métier ou de fonction, source de néologismes très en vogue dès les dernières décennies du vingtième siècle (cheffe, procureure, pasteure, écrivaine, magistrate, etc.) Vu le sens (2) de substitut, j’aurais été étonné que substitute ne soit jamais attesté. (D’après Google, substiute semble plus fréquent en Belgique qu’ailleurs.) —C.P.6 janvier 2011 à 12:39 (UTC)
Je viens de créer la section francophone de substitute. GaAs, ton lien me fait penser qu'il pourrait être intéressant de créer une note générique qui explique cette règle et qu'on utiliserait dans tous les mots concernés par cette règle. Cependant, je me demande si ce n'est pas trop franco-centré ; il faudrait peut-être trouvé des règles équivalentes pour le Québec, la Belgique, la Suisse, certains pays d'Afrique, etc si elles existent. Pamputt7 janvier 2011 à 08:50 (UTC)
Le préfixe "cyber-" sous-entend un mode de vie ou de pensée lié aux nouvelles technologies. La nuance est donc la suivante: un « cybernaute » est un « internaute » qui participe activement à la vie sur internet, par exemple en faisant partie d'une communauté, et/ou en y faisant de l'activisme politique (comme dans l'article mentionné ci-haut), et/ou en y développant des amitiés ou des relations, et/ou en y gagnant sa vie, etc. GiuseppeMassimo7 janvier 2011 à 14:50 (UTC)
Peut on savoir l'ortographe et la signification
de ce mot peut etre en argo : bigner ou binier
bigner chez ma grand-mère ca voulait dire "voir", "regarder", rebigner pour "surveiller" ou "regarder attentivement" et nous, on était bien content de s'esbigner de la férule intraitable de notre grand-mère.
Ma tante habitait en Auvergne, et je me rappelle encore de la rage de mon oncle quand elle avait « bigné » la voiture. (une aile enfoncée). Qui se rapproche du beugner de GaAz … Aelmvn7 janvier 2011 à 16:16 (UTC)
J'ajoute que ma mère et le Larousse universel en 2 volumes, 1922 (par ordre d'importance ) confirment le verbe s'esbigner dans le sens « s'enfuir ». Ce dernier fournit qques pages plus loin deux charmants synonymes :
Dans un livre sur les mathématiques sociales au sujet d'un modèle informatique sur la structuration des mots « On arrête l'algorithme quand il n'y a plus d'évolution entre les bigrammes ». Est ce un ensemble de deux caractéres? Je connaissais digramme. Cela fait peut être parti d'un jargon informatique ou mathématique. Merci d'avance de m'éclairer.
En dehors de la locution "à quatre temps" (qui n'utilise pas le verbe avoir), je ne vois pas. Pensez-vous à des exemples comme « un moteur à quatre temps », ou « une musique à quatre temps » ? Stephane8888✍7 janvier 2011 à 21:36 (UTC)
Si gésir a eu un jour un imparfait du subjonctif, celui-ci était formé sur le passé simple, lequel a disparu. Dans tous les cas, l'imparfait du subjonctif ne saurait être le barbarisme gisât, même rencontré sur gougueule. Cela dit, de mon temps (très ancien), les punitions pouvaient consister à réciter une conjugaison par écrit. Le maître pouvait donc dire : « Untel, avoir ! quatre temps ! » Ce qui signifiait « Tu conjugueras le verbe avoir aux quatre temps simples de l'indicatif ». Pierre8 janvier 2011 à 12:36 (UTC)
gisât est bien entendu un barbarisme (gésir, verbe du 3e groupe, ne peut avoir d’imparfait du subjonctif en -asse, asses, -ât, etc.) que le Wiktionnaire ne saurait inclure dans Conjugaison:français/gésir à peine de malmener encore un peu plus sa crédibilité, qui est déjà bien entamée, force est de le reconnaître. --Actarus(Prince d'Euphor)9 janvier 2011 à 13:52 (UTC)
Les règles de grammaire s'adaptent à la langue, l'inverse serait sans doute souhaitable mais reste illusoire. Rien ne nous empêche de décrire l'usage et de décrire parallèlement les règles de grammaire que les grammairiens (référencés) ont concoctées. La crédibilité c'est de rester neutre, en citant ses références et ses constatations (sourcées et vérifiables). Stephane8888✍9 janvier 2011 à 14:40 (UTC)
Cakchiquel (langue)
j'ai voulu introduire un mot en langue Cakchiquel, mais le code cak n'est pas créé ; j'avoue n'avoir pas essayé de le créer moi-même, ça m'a semblé dépasser mes compétences ; une bonne âme ? merci ; JLM8 janvier 2011 à 11:29 (UTC)
Il faudrait absolument revenir aux modèles simples, comme il y avait à une époque, et qui avaient été modifiés en série sans aucune discussion, malgré mes demandes insistantes. Dakdada l'a déjà proposé. Autrefois, le modèle cak contenait simplement le nom de la langue. Maintenant, quand je veux savoir à quelle langue correspond un code, je n'y arrive même pas en visualisant le modèle. Et cette remarque montre bien que ces changements sont catastrophiques, tout le monde devrait pouvoir ajouter des langues. Lmaltier8 janvier 2011 à 11:45 (UTC)
Je viens de créer les modèles associés à cette langue. Tu peux maintenant créer ton article. Cela dit je rejoins entièrement l'avis de Lmaltier. Si Dakdada est partant pour effectuer un remplacement massif, alors il ne reste plus qu'à lancer une prise de décision. Pamputt8 janvier 2011 à 23:35 (UTC)
Il s'agit d'une métaphore que j'ai déjà entendu (je ne sais pas si c'est vraiment dans la langage) et qui signifie "sentir mauvais", au point que les mouches soient attirées en quête d'un repas, ce qui arrive généralement en cas de putréfaction. JackPotte ($♠) 8 janvier 2011 à 21:52 (UTC)
voilà ce que dit l'annotateur de Proust (Thierry Laget) : Saint-Loup forme ce néologisme sur le latin vates qui signifie à la fois poète et prophète, les deux personnages étant inspirés par les dieux (voir aussi vaticiner, vaticinateur). JLM9 janvier 2011 à 15:21 (UTC)
Tout le monde a appris à l'école qu's entre deux voyelles se prononce z. Ce phénomène de sonorisation (ou voisement) intervocalique, qui s'est produit en ancien français, ne porte pas que sur l's mais sur toute consonne située entre deux voyelles. À chaque consonne sourde (non voisée) correspond une consonne sonore (p→b, t→d, k→g, etc.) ; quand la sourde se trouve entre deux voyelles, elle se sonorise. Par exemple « dix » se prononce diss mais pour « dix heures » on dira dizeures et non disseures, de même neuf ans se prononce neuvan (f→v). Dans ces conditions, il est normal que seconde soit devenu segonde (k→g). Comme très souvent, la graphie n'a pas suivi la prononciation. Le phénomène s'est produit également en espagnol, notamment pour tous les participes passés en -atum / -atam devenus -ado / -ada (par exemple prohibitum→prohibido). Je n'ai jamais entendu dire que secundum en latin se soit prononcé segundum. Pierre9 janvier 2011 à 21:15 (UTC)
Très intéressant! Je pense que ça mérite une note et une source dans l'article second. J'ai placé une note dans la section prononciation, mais SVP n'hésitez pas à l'améliorer et à inclure une source. GiuseppeMassimo9 janvier 2011 à 23:07 (UTC)
Ce dictionnaire accepte -t- il les mots de patois comme le ch'ti parlé dans le Nord de la France ? Le problème c'est que le ch'ti est un dialecte parlé uniquement, il n'existe pas de références écrites en ce qui concerne l'orthographe exacte des mots. --ZOTHOP9 janvier 2011 à 20:55 (UTC)
On accepte tous les mots. Il faut simplement veiller à les placer sous la bonne langue. Pour le ch'ti, la langue n'est pas le français, c'est le picard (le code langue est pcd). Ce n'est pas qu'une langue orale, c'est aussi une langue écrite (voir Wikipédia). Pour les mots régionaux utilisés dans le Nord par ceux qui parlent en français, ils peuvent être créés en tant que mots français. Il est probable qu'un certain nombre de mots pourront être créés sous les deux langues. Lmaltier9 janvier 2011 à 21:22 (UTC)
Le ch'ti langue écrite ??? Oui et non, habitant du côté de Valenciennes dans le Nord, je sais qu' il existe des textes dans les journaux sous forme de petites histoires de fiction et d'anciens poèmes mais la langue est écrite comme elle se prononce sans orthographe officielle ! Wassingue ( serpillère en français ) pourrait très bien s'écrire wassing !--ZOTHOP9 janvier 2011 à 21:42 (UTC)
Et alors ? Toutes les langues devraient s'écrire comme elles se prononcent. Vive la liberté de parole et d'expression, d'écriture et de publication ! --Diligent9 janvier 2011 à 21:46 (UTC)
Quand on parle de langue écrite, on ne parle pas d'orthographe "officielle", on parle de l'orthographe effectivement utilisée en pratique (par exemple dans les journaux). Et en français aussi, il y a des mots qui s'écrivent de plusieurs façons. Lmaltier9 janvier 2011 à 21:48 (UTC)
Partie de la chaise où l’on s’assoit (placet, assise, fond d'une chaise)
Bonjour,
Avez-vous des informations sur le mot assise, dans le sens de « partie de la chaise où l’on s’assoit » (voir la définition de cannage dans le Wiktionnaire pour une attestation dans cette acception) ? Ce sens n’est pas relevé dans les dictionnaires que j’ai consulté (DAF9, PL1995, TLFi, plus quelques dictionnaires anciens).
(Pour la petite histoire, c’est en recherchant un équivalent en français standard de l’helvétisme placet que je me suis rendu que le synonyme que je connaissais, assise, n’est pas non plus du français standard !)
En effet, le TLFi relève ce sens de siège : « (Par métonymie) Endroit précis du siège où l'on s'assied ». C’est cependant dommage d’avoir un même mot pour désigner à le fois le meuble en entier et une partie de ce meuble : Un siège rembourré devient du coup équivoque hors contexte. —C.P.12 janvier 2011 à 12:52 (UTC)
Et pourquoi chercher autre chose que assise. l'assise d’un siège est l'endroit où on est confortablement assis, il manque juste la définition dans assise endroit où l’on peut s’assoir. … Aelmvn12 janvier 2011 à 16:02 (UTC)
Je suis étudiant à l'université mouloud Maameri Tizi-ouzou Algerie
sujet--41.200.137.9310 janvier 2011 à 16:26 (UTC) : comment aborder le fait littéraire ???
j'ai un exposé à faire qui s'intitule comment aborder un fait littéraire selon Robert Escarpit . Mais j'ai un petit soucis , c'est que j'arrive pas à avoir une définition ou une idée sur le fait littéraire .
objet :
1-demande d'informations sur le fait littéraire .
2- c'est quoi le fait littéraire ?
Voici une piste sur Wikipédia, à propos des travaux de Escarpit: « Sociocritique ». De plus, voici un embryon de définition du fait littéraire: La mise en perspective de ces théoriciens conduit Annie Rouxel à redéfinir le fait littéraire dans ses trois composantes : l’auteur, le texte et le lecteur. Voir le reste du texte pour une mise en contexte: . السلام عليكم et bonne lecture! GiuseppeMassimo10 janvier 2011 à 18:53 (UTC)
Sauf qu'il manque le sens qui conviendrait à "fait littéraire", quelque chose qui englobe l'oeuvre, l'acte, son utilisation, son influence, etc. Je n'ose pas l'écrire moi-même, car ça demeure un concept flou pour moi. GiuseppeMassimo11 janvier 2011 à 22:21 (UTC)
armature territoriale
cherche signification des mots "armature territoriale" et traduction en anglais
Si on prend l'expression comme la somme de ses parties, alors → voir armature et territorial, donc: la structure du territoire. Mais attention, s'il s'agit d'un terme appartenant à un domaine spécialisé, la signification pourrait être beaucoup plus nuancée et il est impossible de la définir ni de la traduire sans connaitre le contexte. GiuseppeMassimo10 janvier 2011 à 19:02 (UTC)
origine geographique de mon nom de famille gleynat
origine de gleynat de quel pays est ce nom
Je n'ai pas trouvé la réponse. mais j'ai trouvé des mentions d'invidus portant le nom Gleynat et qui semblent avoir vécu dans le sud-est de la France, au XVIe et au XIXe. Peut-être cela vous aidera dans vos recherches. Voici un livre où on mentionne que Ferdinand Gleynat, originaire de Rives (est-ce Rives, Isère?) était dans l'artillerie en 1870. Voici un autre livre où on sous-entends qu'un Jehan Gleynat et sa famille habitait sur le territoire de la future Drôme à une époque où la peste y faisait des ravages, donc probablement à la fin du 16e siècle, si l'on se réfère à ceci. De plus, si le nom "Glenat" est une variante orthographique de Gleynat, alors ceux-ci semblent habiter la même région: . Bonne chance dans vos recherches. GiuseppeMassimo11 janvier 2011 à 03:51 (UTC)
code de la consommation relatif au credit immobilier
je voudrais savoir de quoi il s'agit "livre III- chapitre II du tyitre 1 de code de la consommation relatif au credit immobilier
Bonjour, nous sommes désolés mais votre demande n’a pas sa place ici. Le Wiktionnaire est un dictionnaire de langue, où l’on discute donc avant tout des mots ; pour les renseignements encyclopédiques, voyez plutôt sur l’Oracle de Wikipédia. Merci de votre compréhension.
Certains écrivent "l'anniversaire d'Alain", et d'autres écrivent "l'anniversaire de Alain". Est-ce qu'il y a une règle grammaticale qui permet les deux formes? Est-ce que l'une est plus correcte que l'autre? GiuseppeMassimo11 janvier 2011 à 14:27 (UTC)
Il n’y a pas de raison de ne pas faire d’élision : la première forme est correcte. La seconde forme, normalement fautive, n’est écrite que par les robots mal programmés qui ne savent pas faire d’élision (anniversaire de + Nom, blog de + Nom, etc.). — Dakdada(discuter)11 janvier 2011 à 15:58 (UTC)
Mais dans Wiktionnaire, par exemple dans une étymologie, on dirait : Vient de Alain
C'est aussi souvent le cas pour les films : un film de Alain... (ou même un film de Les Nuls). Cela semble être une tendance générale, et pas seulement des robots, même si en principe il faut faire l'élision. Lmaltier11 janvier 2011 à 16:57 (UTC)
Quand on cite un mot, pour bien montrer qu'il n'est pas utilisé pour son signifié, mais en tant qu'entité grammaticale, on ne fait généralement ni élision ni liaison (et souvent, à l'oral, on l'accentue de façon particulière). Voir Maurice Grevisse, Le Bon Usage, 1936 (sauf pour la parenthèse, qui est de moi). Dans tous les autres cas on devrait faire élision, liaison, contraction des articles, et donc dire un film des Nuls. --GaAs12 janvier 2011 à 16:50 (UTC)
J'ajoute, pour le clin d'œil, que dans cette façon de faire "l'anniversaire de Alain" serait l'anniversaire de la création du prénom Alain. --GaAs12 janvier 2011 à 16:53 (UTC)
Bonjour, en cherchant la définition du mot courtil, je suis arrivé sur cette page :
http://fr.wiktionary.orghttps://dictious.com/fr/courtil
ou il y a, comme exemple, un extrait du poème de Théophile GAUTIER "L'ÉPOUSEUR DE FAMILLE".
Il me semble qu'il y a une erreur dans la retranscription de l'extrait du poème : ce n'est pas le mot courtil (petit jardin) mais le mot coutil (pièce de tissu) qu'il faut écrire. Dans le contexte, je pense qu'Azelie (la demoiselle du poème) tache son drap, plutôt que son jardin (malgré toute sa bonne volonté !).
Merci de l'avoir signalé. Il y a encore des erreurs dans le Wiktionnaire, mais probablement de moins en moins, grâce à vous. Lmaltier11 janvier 2011 à 21:32 (UTC)
Je vois que vous avez retiré cet exemple de la définition de courtil. Je vous suggère de l'ajouter à la définition de coutil. Ça serai dommage de se priver de ces charmants vers (pour ceux qui ne l'ont pas fait, je vous conseille de lire le poème en entier - voir liens ci-dessus)
Je pense que ce serait mieux de s'abstenir. Après tout, on ne sait pas avec certitude quelle variante est la bonne (coutil ne rime normalement pas avec subtil...) Lmaltier11 janvier 2011 à 22:13 (UTC)
Tout est relatif. Le mot "damn" est moins choquant que le mot "fucking" mais par contre, les communautés anglophones tolèrent souvent moins bien les gros mots que les communautés francophones. La traduction de "putain" se situe n'importe où entre ces deux mots, selon le contexte. Tu peux remplacer l'un par l'autre dans la traduction, si tu penses que ça convient à ton public (et si tu ne crains pas d'être stéréotypé à la « pardon my French ») GiuseppeMassimo12 janvier 2011 à 04:57 (UTC)
Qu'elle était la fonction d'un huissier aux tailles sous Louis XIV.
C'était un officier chargé de la collecte des impôts. La 12e définition de « taille » explique: Il se disait autrefois d’un impôt direct qu’on levait sur toutes les personnes qui n’étaient pas nobles ou ecclésiastiques, ou qui ne jouissaient pas de quelque exemption, sous l'Ancien Régime.)
Dans ce livre, à l'entrée « Commissaires des Tailles », on explique que ces derniers remplacent depuis 1701 les huissiers aux tailles « pour faire dans chaque éléction l'exécution de toutes les contraintes décernées par les receveurs des tailles & leurs commis pour le recouvrement des tailles, crues y jointes & autres impositions. Ces commissaires furent substitués aux huissiers aux tailles, pour la faculté que ceux-ci avoient de faire tous exploits en matière de tailles: ils ont depuis été supprimés. » — (Denis Diderot, Encyclopédie ou dictionnaire raisonné des sciences, des arts et des métiers, tome 8, 1778, p. 671)
La question est posée en parallèle sur la pdd des modèles, je la pose ici par rapport à l'étymologie, aux catégorisations, etc.
Dans faire bleu, chacun des mots est français mais l'expression est allemande. Devrait-on la classer en Catégorie:mots français issus d'un mot allemand ?
Dans chám, au sens de « sperme », c'est encore un sens issu d'une expression allemande mais à double détente. Devrait-on encore le classer en Mots ... issus de mots en ... ?
Je pose la question, parce que dans mon patois, bleuter un cours signifie sécher, faire bleu ; est-ce encore à classer et catégoriser en germanisme ?
Bref, dans les situations de bilinguisme, où s'arrête le jeu de ping-pong entre les langues ?
L'expression faire bleu est française, même si son origine est allemande, puisqu'elle est utilisée en français. La page est donc correcte. Dans les régions bilingues, deux langues peuvent éventuellement partager des mots, ce n'est pas un problème, il faut classer ces mots dans les deux langues. Lmaltier12 janvier 2011 à 07:19 (UTC)
Homophone non pas du mot chinois mais des trois lettres "san" du titre, prononcé en français (car je m'amuse ici à répondre à toutes les questions imaginables que pourraient exprimer les 6 mots "san. Que veut dire valeur exact". GiuseppeMassimo12 janvier 2011 à 20:42 (UTC)
Qu’est-ce qu’une forme phonétique (en parlant de l’orthographe d’un mot) ? (Moi j’interprète cela comme « forme qui s’écrit comme il se prononce ») — Cela me pose un problème de compréhension de l’étymologie de amour telle que présentée actuellement dans le Wiktionnaire (« la forme amour n’est pas phonétique »), alors qu’au moins un autre contributeur semble trouver cette formulation tout à fait claire (voir l’historique de cette page). —C.P.12 janvier 2011 à 13:42 (UTC)
Je ne comprends pas bien la phrase "La forme amour n’est pas phonétique (on aurait eu *ameur)" . Je tente de deviner le sens (corrigez-moi si j'erre): Il s'agit non pas de la phonétique actuelle, mais de la prononciation d'origine (ou de ce qu'elle aurait pu être). Selon la phonétique originale, on prononcerait "ameur". Je pense qu'on pourrait éclaircir en reformulant à l'intention du grand public. GiuseppeMassimo12 janvier 2011 à 15:29 (UTC)
En tous cas, si on remplace par notre définition du mot, ça donne La forme amour n’est pas relative aux sons d’une langue. (on aurait eu *ameur), ce qui ne nous éclaire guère. --GaAs12 janvier 2011 à 16:57 (UTC)
Phonétique : « dont l’évolution est conforme aux lois de la phonétique historique d’une langue donnée » (en l’occurrence, dans l’exemple d’amour, le français). --Actarus(Prince d'Euphor)12 janvier 2011 à 17:45 (UTC)
Je ne trouve pas cette acception de « phonétique » sur l’article correspondant du TLFi ; par contre j’y trouve « orthographe phonétique », qui signifie autre chose. Sans doute faudrait-il reformuler l’étymologie de amour pour que ce soit plus clair ? —C.P.12 janvier 2011 à 17:57 (UTC)
Ah, mais le TLFi ne sait pas tout…
Voici la preuve que ce n’est pas un sens inventé par moi :
« SCŌTI : Chrestien de Troyes emploie ESCOZ au vers 6586 de Erec et Enide. Cette forme n’est pas phonétique, on attendrait *Eskóuŝ > *eskœŝ. Il s’agit donc d’un calque du latin, à moins qu’on ne soit en présence d’un vocable importé par les Normands (?) » — (François de la Chaussée, Initiation à la morphologie historique de l’ancien français, Paris, Éditions Klincksieck, 1977, p. 49)
Quoi qu'il en soi, si ce n'est pas clair pour les lecteurs, il faut améliorer l'explication, la rendre plus claire. Lmaltier12 janvier 2011 à 18:21 (UTC)
Je suggère de reformuler ainsi: « La forme "amour" n'est pas conforme aux règles de la phonétique historique du français, qui aurait plutôt produit le mot "ameur". », et de garder le reste de l'étymologie qui explique l'origine champenoise avec une source, etc.. C'est plus clair, non? GiuseppeMassimo12 janvier 2011 à 18:25 (UTC)
Oui, c'est un usage courant, il faudrait le mentionner ici. Précisons que nous ne sommes pas là pour condamner ni pour approuver les mots, juste pour les expliquer. Lmaltier13 janvier 2011 à 06:28 (UTC)
Nicolas Sarkozy se revendique du gaullisme pour justifier son action— (France24, novembre 2010 )
@Lmaltier : que ça ne nous empêche pas d’appeler un chat un chat, quand un mot est considéré comme un barbarisme, il faut le dire (pas sûr que ce soit exactement le cas ici). — Dakdada(discuter)13 janvier 2011 à 11:17 (UTC)
se réclamer se construirait convenablement avec du gaullisme. Sinon, revendiquer est selon moi transitif direct. Il faudrait amha, pour que la phrase ne soit pas bancale, que Sarkozy revendique une similitude de vue avec le gaulisme, ou quelque chose comme celà. En tout cas, se revendiquer de me semble plus un solécisme qu'un barbarisme. --Pjacquot13 janvier 2011 à 12:49 (UTC)
C'est très courant, ça n'a absolument rien d'incorrect. Et il ne faut pas prendre parti : dire que c'est un barbarisme en prenant l'information à notre compte, ce serait comme affirmer sur Wikipédia, dans l'article sur le ...isme (remplacer par votre doctrine politique favorite), que c'est une doctrine politique sanguinaire et barbare. Et je serais le premier à révoquer la page revendiquer si on mettait ça, parce que je ne serais absolument pas d'accord avec cette affirmation totalement absurde. Mais on peut bien sûr citer des avis estimant que c'est un barbarisme, en donnant toutes les références nécessaires (ça m'étonnerait beaucoup qu'on puisse en trouver). Lmaltier13 janvier 2011 à 17:26 (UTC)
Entièrement d'accord avec toi. Maintenant, question pratique : si je fais une page se revendiquer, comment indiquer son existence sur revendiquer (je sais, je t'embête avec ça, mais il faudrait vraiment qu'on prenne une décision). --GaAs13 janvier 2011 à 18:09 (UTC)
Pourquoi pas ? C'est une bonne idée. Mais n'empêche qu'il faudrait vraiment décider (c'est quoi le code HTML pour le double-souligné-gras-clignotant-rouge-avec-alerte-sonore-et-feu-d'artifice ?) comment on fait, et non simplement faire des propositions. --GaAs13 janvier 2011 à 18:38 (UTC)
Pour info, la genèse de cette forme réflexive ne date pas d'internet, loin de là.
Déjà, par elle, l'homme se revendique ;— (Esprit Gustave Jouve, Michel André, Charles Forbes Montalembert, Dictionnaire d'esthétique chrétienne, 1856)
Donc c'est un « barbarisme », une fois de plus, uniquement pour ceux qui ignorent que la langue évolue, et qu'il y a eu entre autres évènements (orthographe rectifiée de 1990) une réforme de l'orthographe en 1835 (il y a 175 ans !) et qui malgré tout continuent d'écrire y a-t’il au lieu de y a-t-il... OK, je n'ajoute no comment de plus.--GaAs13 janvier 2011 à 18:58 (UTC)
Bonjour,
Pouvez-vous me dire quelque chose sur " La dérive de cérébration"? Je vous remercie. I.M
?? Voir déjà dérive. Il faudrait aussi créer cérébration. D'après Litrré : Action propre du cerveau sur les matériaux fournis par les sens ; ce terme, qui appartient à G. Lewes, est opposé à sensation.Lmaltier13 janvier 2011 à 17:54 (UTC)
Pierre Teilhard de Chardin explique que la dérive de cérébration est la propriété que possède la matière de s'organiser en groupements de plus en plus complexes, jusqu'à l'apparition d'êtres vivants chez qui se développe un système nerveux et donc l'intelligence, la conscience. — (Teilhard de ChardinÉcrits scientifiques, page 273)
Cette définition est ma propre synthèse de son texte. À mon avis on devrait créer cette entrée, car avant de trouver ce texte, on aurait pu croire que la "dérive de la cérébration" voulait dire qu'on sombre dans l'illogisme. GiuseppeMassimo13 janvier 2011 à 19:09 (UTC)
Bonjour, dans ce diff on voit que tu remplaces l'étymologie du mot disputo en espéranto en indiquant que ce mot provient de l'anglais et non pas de français comme indiqué précédemment. Je n'ai aucune idée de l'étymologie réelle de ce mot mais as-tu une source pour justifier cette modification car pour moi il est tout aussi probable que ce mot vienne du français que de l'anglais. Pamputt13 janvier 2011 à 12:18 (UTC)
L'argument d'autorité est nul. Ne serait-ce pas, comme dans toutes les langues modernes, le déverbal du verbe ? disputo = radical de disputar + -o ? Ça aurait le mérite de ne froisser personne ;-) --Diligent13 janvier 2011 à 20:51 (UTC)
Tu n'es pas le mieux placé pour parler de cela ; aisse ce genre de détail aux personnes connaissant bien le sujet en question. 14 janvier 2011 à 06:48 (UTC)
Cela diverge néanmoins si l'on parle de la conjugaison écrite, d'un verbe donné ou de sa conjugaison orale ; pensez à ce genre de détail Messieurs. X14 janvier 2011 à 08:09 (UTC)
Donc si je comprends bien tu n'as aucune source ; ton seul argument est de dire que toi tu sais et que les autres ont tord. Pour ma part, je trouve que la proposition de Diligent est tout à fait recevable. Donc tant que tu ne me prouves pas (en m'apportant une source) que ta modification est justifiée, j'ai bien envie de mettre la proposition de Diligent mais pour ne pas que ça tourne à la guerre d'édition, je vais en parler sur Questions sur les mots. Pamputt14 janvier 2011 à 08:52 (UTC)
Pour disputo, plus exactement pour le radical disput-, on peut consulter le Fundamento de Esperanto écrit par Zamenhof en 1905, plus particulièrement la partie dictionnaire (voir ici), où il donne le vocabulaire de base. On y trouve :
Ensuite, on tire à la courte paille pour décider si Zamenhof avait voulu faire dériver son mot du français, de l’angais ou de l’allemand. — Bon, on peut objecter que la référence que je donne est une source primaire plutôt qu’une source secondaire... —C.P. 14 janvier 2011 à 10:52 (UTC) — Voir aussi w:Esperanto#Sources lexicales pour une liste de langues sources les plus probables. — C.P.14 janvier 2011 à 11:04 (UTC)
Bonjour,
Voilà ma question :
Parle-t-on d'un comptage NUMERIQUE ou NUMERAIRE (on comptabilise le nombre d'individus) à la différence d'un comptage nominatif (les individus sont appelés et donc comptabilisés par leur prénom) ?
Merci d'avance pour votre réponse — message non signé de 92.141.60.149 (d · c) du 14 janvier 2011 à 11:10 (UTC)
Dans la mesure ou les dictionnaires étymologiques négligent (à tort) les noms propres, je soumets à votre sagacité des déductions personnelles (c'est indiqué). N'hésitez pas à me corriger, compléter, etc. --Diligent14 janvier 2011 à 21:16 (UTC)
Cela vient manifestement du latin Pollux, qui ne semble pas sans liaison avec le grec Πολυδεύκης (Polydeúkês). Dès l’Antiquité, le terme en grec (Πολυδεύκης) et en latin (Pollux) désignent le personnage de la mythologie grecque et l’étoile. Le satellite de Saturne a été nommé récemment (21e siècle) en référence évidente au personnage mythologique grecque. Le nom des deux montagnes voisines Castor et Pollux (les « Jumeaux ») sont aussi une référence aux personnages mythologiques Castor et Pollux. —C.P.15 janvier 2011 à 14:14 (UTC)
En regardant de plus près, on voit qu’il n’y a en effet pas forcément de lien étymologique entre Pollux et Poludeukès, même si les deux mots désignent aujourd’hui les mêmes référents. —C.P.15 janvier 2011 à 14:59 (UTC)
Ceci dit, l’étymologie que tu (Diligent) as mis dans la section latin ressemble furieusement à du très-honni Travail Inédit... Je doute que cela soit permis. —C.P.15 janvier 2011 à 21:13 (UTC)
(Encore moi...) J’ai trouvé ici la note suivante : from L, from Gk. Polydeukes. The contraction of the name in L. is perhaps via Etruscan.. J’ai ajouté l’hypothèse de la contraction du mot par passage par l’étrusque dans la section « étymologie » du mot latin. — Le reste devrait être supprimé si c’est inédit. —C.P.15 janvier 2011 à 22:10 (UTC)
C'est pour cela que je mets cette annonce, pour permettre à l'intelligence collective de m'éviter de laisser des erreurs. --Diligent16 janvier 2011 à 09:33 (UTC)
Avant d'ajouter ce sens à l'article, je suis à la recherche d'attestations autres que le mot fléché du 20 minutes d'hier. Pourriez-vous m'aider ? --GaAs15 janvier 2011 à 09:27 (UTC)
Notre amuseur public a créé cet article en suggérant que c'était équivaloir + -able (Qui peut être équivalu D), mais en mettant /ekɥivalabl/ comme prononciation.
Je viens de changer en considérant que c'était équi- + valable, mais j'ai des gros doutes, et les exemples que j'ai trouvés ne tranchent pas vraiment la question. Qu'en pensez-vous ? --GaAs15 janvier 2011 à 12:56 (UTC)
Pile poil avec la définition (1) de valable mais qui pourrait être plus précise « qui a une base reconnue, acceptée ». Donc ton équivalable devient qui ont des bases reconnues en commun. Enfin, je le sens comme ça. 82.227.182.20815 janvier 2011 à 15:11 (UTC)
Comme c'est un texte sérieux, extrait du livre "Là où les tigres sont chex eux", dans un cahier où on décrit la vie d'Athanasius Kircher", je n'ai pas compris cette expression dans le contexte.
Il décrit qu'il gardait le sentiment fâcheux d'appartenir à une confrérie secrète, amie de l'héresie.
Ensuite, "Sur le chemin du retour, on m'êut bouché le derrière d'un grain de millet, tant j'etais persuadé qu'on allait reconnaître mes opinions séditieuses & me livrer aux inquisiteurs".
Merci,
Patrícia
L'auteur sous-entend l'expression "serrer les fesses" (avoir peur, affronter sa peur). Dans le texte, donc, M. Kircher a très peur d'être livré, alors il serre les fesses, et donc ses fesses sont tellement serrées qu'on aurait pu les boucher avec quelque chose d'aussi minuscule qu'un grain de millet. GiuseppeMassimo
Merci, Gioseppe, je n'arrive pas à découvrir comment le traduire en portugais sans utiliser une expression vulgaire. Ici on Brésil on dit quand on a beaucoup de peur, mais c'est pas très gentil (estar com o cu na mão)
Salam, j'ai trouvé l'article Halouf mais j'ai aussi vu des gens qui écrivent Hallouf pourquoi? Nous on écrit avec un l alors pourquoi les français ont mis hallouf? --Akshapr Bajmaw15 janvier 2011 à 21:49 (UTC) hamdullah!
saz (hanseri en turc)
La feuille de saz (hanseri en turc) est un motif décoratif floral dans la céramique d'Iznik ou les tissus ottomans (feuille allongée, courbée, avec des dents de scie) ; quelle peut bien être la traduction botanique en français du mot saz ? 92.139.205.13616 janvier 2011 à 11:21 (UTC)
hançer(tr)i, en forme de poignard courbe ? → voir lancéolé pour un équivalent arme/décoration/végétal.
On a aussi saz(tr) = roseau. Une des hypothèses de l’origine de ce mot est que le motif serait tracé avec une plume de roseau (à priori, rien à voir avec une feuille de roseau, donc). Voyez et . — Sinon, le détour par la violette me parait, disons, original. —C.P.17 janvier 2011 à 18:06 (UTC)
Je dirai plutôt « faire une pastille », en chimie, on place le produit obtenu dans un accessoire, on baisse le levier et hop on a une pastille. Stephane8888✍17 janvier 2011 à 15:29 (UTC)
Je ne connais pas ce mot, mais je trouve plusieurs exemples d'utilisation dans des commentaires de blog:
Empastiller pour avoir jeté des pastilles ?
Avis à tous, si vous m'aimez « empastiller » moi, sinon fermer moi (m'en fout)faut bien être le « con » de quelqu'un !
A.V. c'est juste pour dire « d'accord » à ton message. Ne pas empastiller le mien, merci, car ce n'est pas une information.
J'empastille, parce que tu soulèves LA question de fond de la justice. C'est mieux que de soulever la poussière, comme certains bozo.
Et ça, l'idée de s'en "empastiller" trois ans de plus (pour toucher, dans une version ultra optimiste, 1200 euros par mois....
Dans la rue, des brigades de jeunes se chargent d'empastiller les images coquines des revues dans les kiosques.
Paris s'est fait empastiller... il y aurait donc encore des prisonniers politiques aux USA ?!!
le (1) jeux de mot embastiller/pastille/empastiller
le (2), (3), (4) et (6) Mettre une pastille .Dans le (2), (3) et (4) fait référence aux pastilles permettant de classifier les votes sur les commentaires de discussion (entre une et cinq pastilles rouges). Il y en a même un qui dépastille et dans le (6) mettre des pastilles pour masquer ce qu'ils estiment être coquins.
le (5) avec l'idée que la pastille est dure à avaler, « s'en prendre »
j'ai trouvé jezebel une chanson écrite par aznavour. l'énigme étant plutot de savoir si araménien signifie arménien ou araméen - mirror ☣ Rᴑᴙᴚim17 janvier 2011 à 14:54 (UTC)
Jezebel est le nom biblique d'une princesse Phénicienne devenue reine d'Israël. D'après l'article de la wikipédia en anglais, on pourrait tracer l'étymologie du mot à la racine ba'al, qui signifie "Dieu" en Phénicien. Cette explication n'est pas sourcée, alors qui sait si c'est exact? Voir l'article pour d'autres explications possibles. GiuseppeMassimo17 janvier 2011 à 15:57 (UTC)
J'ai corrigé le titre de la section. Il semble que la version avec accents, Jézébel, bien que plus conforme aux canons du français, soit très rare. --GaAs17 janvier 2011 à 20:02 (UTC)
La réponse est plus ou moins (sans garantie, mais si tu es reçu à ton examen grâce à ma réponse tu me devras 2€59) : « faire le coup du crayon » ne veut absolument rien dire sans le jeu de mot « je me taille ». On « taille un crayon » (pour que sa mine soit plus pointue), et par ailleurs on se taille, se barre, part, se carapate, bref, on se sauve et on prend ses jambes à son cou... Donc « faire le coup du crayon » veut dire « partir sans prévenir ». --GaAs17 janvier 2011 à 20:24 (UTC)
demande renseignement sur la fracture ferme de la jambe
bonjour je cherche des renseignements sur la fracture ferme de la jambe merci pour votre aide
Bonjour nous sommes un dictionnaire de langue et en aucun cas une annexe d'un cabinet médical. Pour toute question relative à la santé, nous ne pouvons que vous conseiller de consulter un véritable médecin et de ne pas vous fier aux informations que vous pouvez trouver sur l'internet. Pamputt19 janvier 2011 à 09:59 (UTC)
Est-ce que ça vous semble acceptable ? Je sais d'expérience que les électroniciens l'utilisent quotidiennement à l'oral (prononcé \da.ta.ʃit\ au singulier comme au pluriel), mais pour des attestations vérifiables ça risque d'être plus coton.
Slt ! j'ai pourtant pas mal cherché, mais pas moyen de trouver la datasheet de l'encodeur.
Il vaut mieux chercher au pluriel car pratiquement utilisé qu'au pluriel. Et une attestation datasheets sur glivre en parlant d'onduleur
19100 occurrences sur gweb/fr avec datasheets et pour la petit histoire les datasheets sont des fiches de maintenance constructeur pour un appareil regroupées dans un databook qui je pense doit être utilisé aussi. C'est pas faux gweb un databook aussi squatté par les éditeurs de manga.
Demander de renseignements sur « L'expression "à front renversé" »
Je n'ai pas trouvé de définition, mais en lisant quelques textes utilisant l'expression, je devine ça signifie qu'on retourne ses armes pour se battre contre ce qui arrive par derrière (ou de l'intérieur), plutôt que par devant. Exemples:
Napoléon ordonne à ses escadrons de se retourner car il voit des renforts ennemis attaquant son arrière-garde et il doit donc maintenant se battre à front renversé.
Une organisation syndicale souhaitant combattre le racisme de dirigeants d'entreprises doit d'abord faire de l'éducation populaire à front renversé pour sensibiliser ses propres membres aux dangers de ce même racisme.
Un philosophe remet continuellement en question ses propres convictions afin de se faire évoluer lui-même à front renversé.
cependant, antihiatique est très spécifique, et ne me semble pas pouvoir être remplacé par euphonique qui désigne une notion bien plus générale. --Pjacquot21 janvier 2011 à 08:03 (UTC)
J'ai tout essayé pour trouver à quoi l'auteur Jean-Marie Blas de Roblès se rapport quand il dit après la mort de quelqu'un qui a été pendu et:
"Il s'approcha des corps suspendus. Il les palpa à la hauteur des brailles. Il me fit remarquer l'humidité de chaque cadavre à cet endroit"
Pour moi, braille (singulier) c'est l'alphabet à l'usage des aveugles.
Est-ce que quelqu'un peut m'aider à resoudre ce problème?
Merci
Maria
→ voir culotte dans son sens vieilli: Partie du vêtement qui couvre depuis la ceinture jusqu’aux genoux, et qui habille chaque jambe séparément et voir ici une utilisation en contexte: . Bonne lecture! GiuseppeMassimo21 janvier 2011 à 18:41 (UTC)
Merci à tous. Vous m'avez vraiment aidé. Chez moi, on dit "borrar as calças"
Accents toniques en espagnol
Je cherche une confirmation : pour les verbes pronominaux, le pronom accolé en fin modifie-t-il (éventuellement) la position de l'accent tonique, selon la règle commune, par rapport à la forme non pronominale ?
Bonjour. D’après ma grammaire, la position de l’accent tonique n’est pas modifié. On a donc soit aguarda → aguárdate, soit aguardá → aguardate. — D’autre part, il faut écrire \-ɡwa-\ plutôt que \-ɡua-\. —C.P.22 janvier 2011 à 18:00 (UTC)
J’ai amélioré {{es-conj-1}} afin qu’il prenne en compte l’apparition ou la disparition de l’accent écrit pour les formes verbales avec pronom réflexif enclitique. —C.P.22 janvier 2011 à 20:27 (UTC)
Juste à comprendre. — message non signé de 89.83.6.9 (d · c)
tout à fait chère IP. j'ai probablement tort dans ma façon de voir les choses et on m'expliquera pourquoi. j'en serai tout aussi satisfait que toi - mirror ☣ Rᴑᴙᴚim23 janvier 2011 à 07:18 (UTC)
Les Nicot, DAF1, DAF4, DAF5, DAF6, Littré et DAF8 (fr) , ainsi que les DMF (frm) et Du Cange (fro) , qui couvrent une très longue période, semblent n'avoir aucune trace de la graphie avec accent circonflexe. --GaAs23 janvier 2011 à 09:31 (UTC)
Au singulier, la proportion de infâmie est entre 2 et 3 % sur Google. Elle n'atteint pas les 1 % sur Google Livres, mais il y a quand même plus de 3500 résultats, malgré les interventions des correcteurs, ce qui est important, et se comprend aisément vu qu'on écrit infâme avec un accent. Je pense qu'il faut expliquer clairement tout ça, mais mettre Nom comme catégorie grammaticale, à la place d'erreur. Lmaltier23 janvier 2011 à 09:41 (UTC)
Voir w:Wikipédia:Oracle/semaine 3 2011#Infamie - Infâme, sur lequel on cite une certain nombre d'autres exemple similaires : infâme => infamie, arôme => aromate, grâce => gracieux, drôle => drolatique, polynôme => polynomial, pôle => polaire, diplôme => diplomatie, Gênes => génois, etc. appuyé par une citation de Grevisse. --GaAs23 janvier 2011 à 09:48 (UTC)
Merci pour ce lien très éclairant. C'est donc lié à la prononciation. Mais, comme la prononciation du a tend à devenir unique, tout au moins en France, contrairement au cas du o et du é/è, je vois cette distinction orthographique mal partie dans l'avenir. Lmaltier23 janvier 2011 à 11:32 (UTC)
le lien de l'oracle est dans la discussion c'est pour ca que je me suis posé la question. pour les dictionnaires en général j'avais vérifié et l'accent circonflexe apparait sur infâme au niveau du daf5, pour diplôme l'accent apparait au daf5, arôme daf8, pôle daf4, drôle depuis daf1, grâce daf4 (les dates peuvent être imprécises parce que Dictionnaires d'autrefois n'a pas les daf2 et 3). on trouve parfois infasme ce qui colle pas avec l'étymologie et renforce donc ce que dit grévisse sur la prononciation. l'application non uniforme dans le temps de cette règle confirme l'idée de « pas de règle précise ».
donc ok pour infâme mais ca n'explique pas pourquoi le chapeau n'apparait pas sur infamie. si avec le temps le /ɑ/ est devenu /a/ je peux pas en vouloir à molière d'avoir une prononciation désuète, mais balzac a écrit presque un siècle après le daf4 - mirror ☣ Rᴑᴙᴚim23 janvier 2011 à 12:37 (UTC)
J'ai personnellement tendance à prononcer infamieCode langue manquant ! comme infâmeCode langue manquant ! (et pas l'inverse : c'est bien plus péjoratif avec un â ;-), contrairement au cas de grâceCode langue manquant ! et gracieuxCode langue manquant ! que je différencie clairement. Mais il ne semble pas que les dictionnaristes considèrent mon cas comme faisant loi.
J'ai d'ailleurs demandé à ma mère (qui, sans être linguiste, m'apprend encore régulièrement des mots, nonobstant nos âges respectifs) comment, spontanément, elle écrirait ce mot : elle a répondu avec l'accent circonflexe. C'est donc prouvé : le langage, c'est génétiquede famille.
Ce Se poser la question, c'est avoir déjà presque raison. Bravo à la personne qui a posé cette question (il est tellement courant de voir cette faute faite par des gens qui ne semblent même pas savoir que ça change tout au sens de la phrase que c’en est désespérant)
Et en orthographe SMS cela pourrait donner: « S apostrophe ? Oui, C apostrophe ! » . Bon, je pars prendre un peu de repos, c'est urgent. François GOGLINS23 janvier 2011 à 18:22 (UTC).
resultas d'analyse dosage des alpha
que signifie "les dosage des alpha dans un résultat d'analyse
C'est sans doute le dosage d'une substance dont le nom commence par alpha. Mais il y en a plusieurs substances de ce genre qu'on peut doser, on ne peut pas savoir laquelle c'est sans précision. Lmaltier23 janvier 2011 à 11:50 (UTC)
Question!
Est-ce que quelqu'un connais la signification de cette expression << Manger des pissenlits par la racine >> ??
Tout dépend quel sens tu donnes à jeune et vieux :
Par rapport à l’age de la personne délinquante : « délinquant juvénile »/« délinquant sénile »,
Par rapport au temps passé dans la délinquance : si la personne est à ses tous premiers actes de délinquance : « primo-délinquant » et s’il a déjà un passé chargé : « récidiviste », voir « multi-récidiviste ».
À noter qu’un « délinquant juvénile » peut être « multi-récidiviste » et un « délinquant sénile » « un primo-délinquant »
Notez que la notion de récidive, légalement, porte sur la répétition d’un délit de même nature. En langage familier un récidiviste qualifie généralement un délinquant qui a déjà été condamné auparavant pour des motifs quelconques.
Selon le contexte, un simple jeune peut suffire à qualifier un jeune délinquant (« Les jeunes des banlieues sont dangereux ») ; on peut aussi les appeler familièrement voyous. Par contre délinquant colle plutôt aux jeunes, et en vieillissant ils deviennent de simples malfaiteurs, ou criminels. — Dakdada(discuter)24 janvier 2011 à 16:58 (UTC)
Pas tout à fait d'accord sur la différence entre délinquant, malfaiteur et criminel. L'âge n'y est pour rien, c'est plutôt une échelle dans la gravité des faits. Un « délinquant » fait des délits, un « criminel » des crimes et le malfaiteur je n'en sais rien, dans le terrain vague entre crime et délit. Le gamin qui tue quelqu'un est un criminel pas un délinquant. Et un vieux qui pique une boite de sardine, reste un délinquant.
Pour donner une échelle dans la délinquance, je verrais primo-délinquant, délinquant primaire, secondaire. … Aelmvn24 janvier 2011 à 17:42 (UTC)
Est-ce que "délinquant sénile" est un terme vieilli (sans jeu de mots), ou est-t-il d'usage courant? Pour moi, "sénile" prend plutôt le sens de "gâteux", et je ne l'ai jamais entendu avec "délinquant", bien qu'aujourd'hui je le trouve dans Google. GiuseppeMassimo24 janvier 2011 à 18:11 (UTC)
En anglais, "pixting" signifie envoyer des photos avec un téléphone portable. Si ça ne correspond pas à ce que vous cherchez, SVP donnez-nous un exemple d'utilisation de ce mot. Où l'avez-vous vu? GiuseppeMassimo24 janvier 2011 à 18:12 (UTC)
Voyez-vous des alternatives au classique « bonne continuation » pour saluer simplement quelqu'un qu'on a croisé et qu'on n'a pas plus que ça de raison de croiser à nouveau ? En gros, exprimer l'idée qu'on lui souhaite le meilleur pour la suite ? habituellement on dit « au revoir », « à plus », « à bientôt », « à la prochaine », qui impliquent toujours qu'on se reverra ; on peut aussi dire « bonne journée » voire « bonne semaine » mais comment dire « bonne vie » ?
Moi j'aime bien « bonne continuation », car dans le contexte Wiki, ça montre un degré d'appréciation pour les contributions de l'interlocuteur. Du côté des salutions à celui qu'on ne pense pas revoir, je pense que « Adieu » est un peu trop dramatique. Peut-être seras-tu tenté par une touche de multilinguisme: « Ciao! », « Goodbye! » ou même « Farewell! » GiuseppeMassimo24 janvier 2011 à 14:48 (UTC)
Mais « au plaisir » rejoint selon moi « au revoir » et assimilés, puisque j'y vois là une ellipse de « au plaisir de se revoir » (en tout cas c'est à ça que je pense quand je le dis).
C'est vrai ce que tu dis GiuseppeMassimo sur le contexte wiki ; cela dit d'une part je pensais également à ce qu'on peut mettre en fin d'un courrier par exemple, ou à l'oral ; d'autre part même dans le contexte wiki il arrive de croiser quelqu'un avec qui on a un échange, mais dont on ne cherche pas pour autant à regarder ses contributions, ou du moins à y porter une appréciation (voire même qu'on ne les apprécie pas plus que ça). Que dire dans ce cas pour clore l'échange ? farewell, qui pourrait se traduire par « bon voyage dans la vie », porte bien l'idée simple et générique que je voudrais exprimer.
Le digramme gh a probablement été utilisé pour indiquer la prononciation du g (prononcé Erreur sur la langue ! comme dans jaune au lieu de Erreur sur la langue ! comme dans gare). Comparer avec le digramme ch de perche qui suit la même logique. — Pour l’origine, eh bien, j’imagine que c’est tout simplement parce que le h est une lettre qui n’avait pas de son propre, qu’elle a été utilisée comme lettre auxiliaire. —C.P.25 janvier 2011 à 11:09 (UTC)
Et coume o y'a pu rin à voler, (la paur'Vierghe dau 15e sièclle est partie la proumière ; amprès, ol a été l'bénitier, le poids les a même pas arrêtés !), alors, al est teurjhou ouvarte.
Ces seigneurs ne contrôlent alors qu'un ensemble de terres restreint, autour de la Fermeté de Neufchâtel (7 villages), du val de Vyt et du val de Montmartin— (http://www.neufchatel.org/lignage/origines.html)
En cherchant autre chose, je tombe là-dessus. Je suppute qqch comme « groupe de fermes soumises à une autorité commune », mais ce n'est qu'une supputation. Quelqu'un peut-il trouver une définition ? --GaAs24 janvier 2011 à 18:39 (UTC)
Le Dictionnaire Larousse d'ancien français (Il n'est pas d'époque, Larousse n'était pas né) donne : fortification, forteresse. du latin firmitatem. François GOGLINS24 janvier 2011 à 20:42 (UTC).
Merci pour l'ajout . Je me demande maintenant si, compte-tenu de ma source, on doit le créer aussi en français moderne. --GaAs25 janvier 2011 à 19:03 (UTC)
Berbèche
Diverses boucheries portent ce nom en région parisienne (je connais celle du XIIIe). Je n'ai pas mis de lien dans le titre, parce que justement je ne sais pas si c'est un nom propre ou un nom commun.
La réaction naturelle face à ce mot est de penser à berbère, mais bien que les boucheries en question soient clairement liées au Maghreb, je n'ai trouvé aucune source pour le confirmer.
C'est vrai, je passe souvent vers le centre commercial Italie 2, et même si je ne suis pas client je pourrais poser la question. --GaAs24 janvier 2011 à 20:42 (UTC)
Résultat de mes recherches : ça ressemble a une forme conjuguée d'un hypothétique verbe espagnol acarpar ou acarpir, sauf que je ne trouve trace de ces deux verbes qu'en occitan (et là pas de forme en -é). En français : → voir nib. --GaAs25 janvier 2011 à 14:36 (UTC)
Peut-être aussi en faisant une génuflexion et en disant "Ma Dame" ? Comme on voit ci-contre, un certain Wilhelm von Orlens osait même toucher les doigts de la princesse Amelie. GiuseppeMassimo24 janvier 2011 à 21:59 (UTC)
Ça semble être Guillaume d'Orléans, (?- † 866), fils d'Eudes d'Orléans. Dans ce cas la graphie Orlens n'est-elle pas une coquille, même en allemand médiéval (chuis pas sûr) ? --GaAs25 janvier 2011 à 18:02 (UTC)
Maintenant si vous cherchez un médicament, demandez à un médecin ou un pharmacien, pas sur Internet. Si vous en avez besoin ils vous en prescriront, sinon ne cherchez pas à vous en procurer, vous prendriez de gros risques (on ne joue pas avec son système immunitaire). — Dakdada(discuter)25 janvier 2011 à 13:12 (UTC)
J'ignore si c'est belge, mais ça parait plutôt rare. On le trouve aussi dans le sens « fait de trier » :
Bah si dans l'index ils sont déjà ordonnés et que ça correspond à l'order by, logiquement, l'optimiseur de requête va zapper l'ordonnage des lignes, puisque ça ressort déjà trié à partir de l'index...
L'article Jerry est je pense incorrect, tout comme son pendant anglophone : il me semble qu'il y a (au moins) deux étymologies indépendantes, celles de Jérémie et de Gerald.
En français ce mot n'existe pas mais se prononce comme loch (« lac écossais »). On trouve aussi parfois sur Internet l'anglicisme abusif (car partiellement traduit) "un lock" (« une serrure »). JackPotte ($♠) 25 janvier 2011 à 18:10 (UTC)
Un loch peut aussi être un appareil pour mesurer la vitesse, selon notre article... Un lock pourrait aussi être une écluse. Sinon, il y a plusieurs autres réponses possibles en anglais, voir LOC. Pour plus de précision, écrivez ici la phrase contenant ce mot, afin qu'on puisse vous aider en contexte. Ciao! GiuseppeMassimo25 janvier 2011 à 18:19 (UTC)
lochnessErreur sur la langue !
(Philosophie mouilliforme) État de celui qui se pense, s’égotise comme un lac (froid et noir avec des poissons serpentiformes aux yeux glauquescents).
Dans notre cas très particulier (rédaction du Wiktionnaire), loc est une abréviation pour locution qu’on trouve dans les noms de modèles. — Dakdada(discuter)26 janvier 2011 à 14:38 (UTC)
existe t il un logiciel qu'on pourrais installer afin que je puisse lire en français des lettres en russe qui ont été scannées j'ai nune imprimante DCP 153C BROTHER AVEC OCR
merci
Bonjour, nous sommes désolés mais votre demande n’a pas sa place ici. Le Wiktionnaire est un dictionnaire de langue, où l’on discute donc avant tout des mots ; pour les renseignements encyclopédiques, voyez plutôt sur l’Oracle de Wikipédia. Merci de votre compréhension.
Pour vous dépanner, vous pouvez toujours essayer avec l'outil de Google. C'est gratuit, sans besoin d'installer quelque chose. Les résultats des traductions ne sont pas très bons, mais ça peut vous donner une idée du contenu des lettres, en attendant de trouver mieux. GiuseppeMassimo27 janvier 2011 à 14:22 (UTC)
Bonjour amis du Wiktionnaire. L'article goudou donne pour étymologie "Apocope de gouine", ne serait-ce pas plus précisément une apocope suivie d'une paragoge de gouine ? (C'est peut-être une subtilité alambiquée, je vous en laisse juge)
Je crois que cette remarque aurait mieux sa place sur le "bistro" du Wiktionnaire. Pourriez-vous m'indiquer comment on y accède ? Je vous remercie pour votre travail.--Joël DESHAIES27 janvier 2011 à 13:32 (UTC)
J'avais bossé sur l'étymologie de gouine (voir ce mot) dont le radical étymologique god comporte un d ; goudou n'est vraisemblablement pas gouine - ine + -dou (possible mais tordu) mais plutôt god/goud + -ou. --Diligent29 janvier 2011 à 11:26 (UTC)
quelle est l'origine du mot chien au jeu de tarot
Selon cet article, ce serait une allusion au dieu égyption Anubis, à tête de chien. Je ne suis pas un spécialiste du sujet, et j'ai arrêté les recherches après avoir trouvé cette source. Il existe probablement d'autres théories. GiuseppeMassimo27 janvier 2011 à 17:00 (UTC)
euh l'article parle du chien qu'on voit sur l'image du fou, pas du chien comme on l'entend au tarot traditionnel (talon). sinon en règle générale j'estime que toute source trop portée sur le symbolisme est nécessairement fausse, et là ca part sérieusement en vrille - mirror ☣ Rᴑᴙᴚim27 janvier 2011 à 17:46 (UTC)
coloration negative l'echantion est mise en suspension dans une solution opaque aux èlèctrons (ex l'acide phosphotungustique)une goute de cette suspension est dèpose sur un porte objet aparai ces chage la cide phosphotungustiqe ce dèpose au tour de l'èchantillon qui apparai claire sur un fon sombe.
J'ai voulu rajouter le tableau des flexions mais voilà que je me suis piégée.
Nom : azur = accord régulier ou masculin seulement ou invariable ?
Adjectif : azur = même question
Car effectivement je n'ai trouvé que peu d'exemple du dit mot accordé, d'où ma question ces exemples sont ils faux ou très rare ?
PS : --Vive la Rosière28 janvier 2011 à 20:56 (UTC)
Pour le nom commun, c'est bien sûr masculin seulement. Le pluriel est régulier, mais rare. Pour l'adjectif, il peut s'employer avec un mot féminin, mais reste en principe invariable. Mais, quand on veut accorder, on utilise souvent l'adjectif azuré. Lmaltier28 janvier 2011 à 21:05 (UTC)
génétique vient de gène qui vient du latin genus (« origine », « naissance », « lignée », « famille », « race », « souche », « extraction », « sang », « nation », « espèce », « genre », « sorte »). Le mot est issu d'une racine de l'indo-européen commun (voir le grec ancien γεννάν, gennan (« générer », former »)) qui a donné géniteur, génération, genèse, génital, progéniture, gens, génie, etc.
genèse vient du latin genesis qui vient du grec ancien γένεσις, génésis (« origine, création »).
Les deux mots sont liés et issus du grec ancien. Nos étymologistes induisaient le lecteur en erreur en faisant gène issu du latin genus. Complété et référencé. --Diligent29 janvier 2011 à 11:41 (UTC)
prononciation des « o »
yo,
je regardais bariolé et je vois que le o se prononce ouvert (\ɔ\) alors que j'ai toujours prononcé un o fermé (\o\), mais je dis bien je bariole avec un o ouvert. pareil pour coder où du coup c'est mon métier et tout le monde dit bien \ko.de\ mais le morphalou indique un o ouvert. la page Annexe:Prononciation/français donne aussi un o ouvert pour moteur, je n'ai jamais entendu cette prononciation. quand je dis « je vais coder un moteur » j'ai l'impression d'être québécois. ca vient de moi ou quoi ? - mirror ☣ Rᴑᴙᴚim30 janvier 2011 à 04:57 (UTC)
Selon François Dell, un o non accentué se prononce \ɔ\, mais si le noyau de la syllabe suivante est voyelle fermée comme \e\, il peut se prononcer \o\. En tous cas, il n’y a pas de distinction phonologique entre \ɔ\ et \o\ non accentués. Il me semble que c’est un peu différent aujourd’hui : on prononce un o comme \ɔ\ dans les syllabes fermées et comme \o\ dans les syllabes ouvertes, justement comme \ɛ\ et \e\ pour un é. Cela dit, vous Français doivent savoir la prononciation actuelle beacoup mieux que moi. — TAKASUGI Shinji (d) 30 janvier 2011 à 07:48 (UTC)
en tout cas, si j'ai bien tout compris dans la définition donnée par TAKASUGI Shinji oui c'est bien la règle que j'applique, d'où mon étonnement de voir des o ouverts partout dans le morphalou
si je me trompe pas, le littré est souvent utilisé comme référence dans les morphologies du TLFi et effectivement littré donne barioler avec un o ouvert - mirror ☣ Rᴑᴙᴚim30 janvier 2011 à 08:28 (UTC)
L'opposition entre /o/ et /ɔ/ a un rendement faible en français parisien, je ne connais personnellement que quelques paires minimales, toutes en syllabe fermée et dans des monosyllabes : pomme /pɔm/ et paume /pom/ sont pour moi distincts, tout comme cote /kɔt/ et côte /kot/, ou encore homme /ɔm/ et heaume /om/. Mis à part ces quelques paires, je n'en connais pas d'autre, et il me semble que dans bien des cas les réalisations et soient en variante libre : par exemple je prononce tome (volume d'un livre) mais j'entends beaucoup de gens le prononcer . Une chose est toutefois certaines : on ne trouve que en fin de mot et jamais . 81.185.159.5930 janvier 2011 à 08:40 (UTC)
+1. S'il existait un symbole pour un son à mi-chemin entre \ɔ\ et \o\, je l'appliquerais volontiers à bariolé. Et pour je vais coder un moteur, je dis Code langue manquant !, comme la plupart des gens que je côtoie. --GaAs30 janvier 2011 à 14:51 (UTC)
et vote ? le lôrrain que j'étais le prononçait vôte jusqu'à ce qu'il se fasse rembarrer à Paris (ach le parisianisme !) --Diligent30 janvier 2011 à 15:00 (UTC)
En général, une trichotomie est une classification en trois catégories distinctes. En mathématique, c'est lorsqu'une relation entre deux nombres correspond à l'un des trois choix suivants: plus grand que, plus petit que, ou égal. Trichotomie est un terme technique et sa signification pourrait varier selon le contexte dans lequel on l'utilise. Pour plus de précision, indiquez la phrase où vous avez trouvez ce mot. GiuseppeMassimo30 janvier 2011 à 14:59 (UTC)
Je cherche la signification du mot "servuction' trouvé au détour d'un article de presse spécialisée dans la restauration ... je cite : "... conceptes de restauration utilisant le principe de servuction . "
PARDON JE VEUX SAVOIR POURQOUI CETTE TECHNOLOGIE DE TRANSMISSION
EST APPELE BLUE TOUTH "DENTS BLEU" QUE SA SIGNIFIE OU BIEN L4HISTOIRE DE L'invention
meme chose pour WIFI
MERCI
Quelle chance pour vous, nous avons la réponse à vos quatre questions :
→ voir Bluetooth, dans la section étymologie pour savoir d'où vient le mot. Voir aussi Bluetooth sur Wikipédia pour l'histoire de cette invention.
→ voir Wi-Fi, dans la section étymologie pour savoir d'où vient le mot. Voir aussi Wi-Fi (protocole de communication) sur Wikipédia pour l'histoire de cette invention.
Voir sur la photo ci-contre la position du point Darwin. Charles Darwin l'a décrit dans son livre L'Origine des espèces. Pour lui, ce renflement est un vestige démontrant que les humains et les primates ont un ancêtre commun. L'auriculothérapie (c'est-à-dire acuponcture de l'oreille) considère ce point comme un point maître. Voir ici une description de son utilité . Bonne lecture! GiuseppeMassimo1 février 2011 à 03:36 (UTC)