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Bah ça alors, merci. Si ça veut bien dire imparfait le contraire de parfait, je ne vois vraiment pas comment on en est arrivé à nommer un temps (conjugaison) ainsi ! Qu'est-ce que es temps avaient donc de si parfait ou imparfait ? ~ David • 8 mai 2006 à 22:18 (UTC)
Cela n'engage que moins, mais je suppose que cela correspond au résultat de l'action désignée par le verbe : un verbe conjugué à l'imparfait désigne une action qui était encore en cours, non terminée, et à l'inverse, le parfait désigne l'accomplissement d'une action : « il prenait son bain » est une action en cours, « il prit son bain » montre une action complètée dont on sait qu'elle est terminée. Une action parfaite est une action accomplie... - Dakdada(discuter)8 mai 2006 à 22:36 (UTC)
D accord avec Darkdadaah, imperfectum est utilise dans les langues slaves pour designer les verbes dont l action est en train de se derouler et le perfektum pour ceux dont l action est immediate. Ce que le latin et le francais apres lui a resolu de facon grammaticale (le probleme semantique de la definition de la duree de l action, de sa completion ou non) par voie de TEMPS (parfait, imparfait) d autres langues dont la plupart des langues slaves le resolve par voie des ASPECTS (et restent dans le semantique) : on utilise deux verbes differents, voire plus puisque les aspects des verbes sont nombreux, on peut avoir un ASPECT PERFECTIF, IMPERFECTIF, ITERATIF, DISTRIBUTIF...
et donc pour prendre l exemple de Darkdadaah et du bain MYT = laver (rapidement, parfaitement), MYVAT = etre en train de se laver, de prendre son bain, MYVAVAT = laver tous les jours, regulierement. Y a un article tres bien fait dans Wikipedia sur ce sujet si tu desires approfondir...
--Diligent 11 mai 2006 à 21:20 (UTC)
Nota Bene: je note que PiedBot a importe toute une serie de mots et verbes tcheques (le Wictionnaire comporte plus d entrees que le Wikcionar tcheque!), il nous faudra des modeles pour "accoupler" les verbes { {-perf-} } pour le perfectum/perfectif, { {-imprf-} } pour l imperfectif { {-iter-} } pour l iteratif, etc, mais nous n'en sommes pas encore la! :-) PiedBot par chance n a importe qu une forme, parfois parfaite parfois imparfaite...
--Diligent11 mai 2006 à 21:39 (UTC)
J'ai trouvé ce mot dans le récent roman Ensemble, c’est tout d'Anna Gavalda, et je ne l'ai pas compris. Ce mot est sans doute lié à l'art (dessin) et plus particulièrement à l'art du portrait... J'ai bien trouvé çà : Le punctum est une sorte de hors-champ subtil, comme si l'image lançait le désir au-delà de ce qu'elle donne à voir : pas seulement vers " le reste " de la nudité, pas seulement vers le fantasme d'une pratique, mais vers l'excellence absolue d'un être, âme et corps mêlés. " - (Roland Barthes, La Chambre claire : note sur la photographie, Paris : Cahiers du cinéma/Gallimard/Seuil, 1980, p93) Si vous pouviez m'éclairer... Stephane88881 juin 2006 à 16:06 (UTC)
Ah je crois avoir compris ! L'extrait d'Anna Gavalda est : "Philibert ne bégayait plus (depuis son récent mariage) mais cessait de respirer dès qu'elle (sa récente épousée) sortait de son punctum (= champ de vision)." Merci à ma femme d'avoir trouvé... Stephane88881 juin 2006 à 16:19 (UTC)
Latin punctum : «piqûre», «point», de la même racine que pungo, «piquer», «poindre» (à la fois dans le sens d'une douleur poignante ou de l'aube qui point). Le mot s'emploie dans le domaine de la photographie, à la suite de Barthes, semble-t-il, pour parler à la fois du point de détail sur lequel se focalise l'attention du spectateur du tableau ou de la photo et du sentiment poignant que ce détail lui inspire. C'est du moins mon interprétation. En optique, on trouve aussi punctum remotum, mot-à-mot «point éloigné», au sens de distance maximale de mise au point. Pierre1 juin 2006 à 19:19 (UTC)
L'étymologie est considérée comme incertaine, il y a plusieurs hypothèses. Quelqu'un aurait-il une hypothèse qui explique que le s final se prononce ? Lmaltier 27 sep 2005 à 19:23 (UTC)
En fait, pas d'explication pour le 's' final dans le tlfi. Simplement, apparemment, l'Académie a voulu modifier cette prononciation mais n'y est pas parvenue.
J'ai fait un essai, mais j'ai l'impression qu'il y a plus de sens dans cette locution quand c'est utilisé pour le Congo. Kipmaster☯25 juin 2006 à 16:11 (UTC)
Merci, apparemment il y a une différence entre forces vives et société civile, d’après ce que je comprends, les forces vives sont des comités organisés entre les différentes entrepresises et autres entités économiques tandis que la société civile est la même choses mais dans le domaine purement civile, c-à-d. des organisations de citoyens sans rattachement à l’industrie. --/moyogo/ ⁽ᵈⁱˢᶜᵘᵗᵉʳ⁾25 juin 2006 à 16:28 (UTC)
titulature. relatif à l'histoire. Nombreuses occurrences dans Wikipédia.
trouset et jacouty
je recherche le mot " trouset" et "jacouty" que je retrouve dans une description d'archive ( l'enfant était enveloppé dans un trouset de largue et un jacouty de nankin --Anonyme.
Trouvé dans un dictionnaire français de Pierre Borel du 17eme siècle : "jacques : sorte d'habit ou casaque. Froissard (c'est un dico ?) De là est venu le mot de jaquette et de jacouti, en Languedoc. C'est proprement un juste-au-corps. Coquillard. Pontanus le tire de jach, mot allemand. Kipmaster☯11 mars 2006 à 09:54 (UTC)
Je pense en effet que le jacouty est la même chose que la jaquette. Pour trouset, j'ai plutôt l'impression qu'il s'agit de trousset (dans les textes anciens, les deux 's' n'en formaient souvent qu'un seul un peu plus grand). Dans ce cas, ça doit être la même chose que trousses qui désigne une sorte de caleçon « que l'on couvrait d'une demi-jupe » (le jacouti ?). — Xavier, 11 mars 2006 à 15:34 (UTC)
À mon sens, il s'agit du juron bon sang de Dieu ! abrégé en Bon sang ! pour en atténuer le caractère blasphématoire (jurer le nom de Dieu est considéré comme blasphématoire par les chrétiens). À rapprocher de Par le sang Dieu ! déformé en Palsambleu ! pour les mêmes raisons. Dans un autre domaine, il est aussi question de bon sang dans le proverbe Bon sang ne saurait mentir, parfois employé par dérision, qui signifie que quelqu'un présente bien les qualités de sa race. Pierre29 mai 2006 à 07:48 (UTC)
être sur une voie de garage. Cela siginifie être dans une impasse, dans une situation qui ne mènera nulle part (sans avenir véritable). Ou, si utilisé passivement, cela signifie avoir été mis à l'écart par les autres (être considéré comme pas vraiment utile).
Je suis à la recherche de la signification du terme "Rotrouenge ou rotrouange" devant correspondre à une définition de verbicruciste : Poésie d'avant la Boétie. Toute piste sera la bienvenue. Merci Gleumas
Je confirme, c'est une expression des années 70, complètement désuète aujourd'hui. Rappelez-vous ce vieux tube d'Ottawan « T'es ok » — Xavier, 11 mars 2006 à 12:18 (UTC)
C'est tellement joli d'ailleurs ce truc que ça mérite d'être dans le wiktionnaire avec surboum et patte d'ef, avec la mention de la période (courte) d'utilisation et le niveau de langue (familier). frl
Des années 70 ?? Non ! moi je suis née en 50, et pour moi "bath" appartient au registre de la jeunesse de mes parents ! Quelqu'un de cette génération peut-il confirmer ? Volubilis, 24 mai 2006
Mon père (né en 1920) utilisait fréquemment cette expression, et il m'arrive de l'employer, dans le sens « pousser des cris aigus (de douleur) » : je me suis coincé le doigt dans la portière de la voiture et j'ai chanté Ramona. À mon sens, la période d'utilisation de l'expression (années 1930 à 1970) et le sentiment des locuteurs établit un net rapport avec la chanson de Saint-Granier, qui, il faut le rappeler, eut beaucoup de succès et fut extrèmement populaire pendant toutes les années 1930. Noter qu'il y a dans l'expression une connotation d'ironie (cris exagérés pour la cause). Tel que je le ressent, la source serait dans la chanson Ramona, laquelle est écrite pour voix de ténor, se chante dans un registre aigu quelque peu démodé pour les voix d'hommes, avec un petit quelque chose de ridicule qui justifie l'ironie évoquée ci-dessus.
Se faire appeler Ramona, qui a le même sens et la même connotation que se faire souffler dans les bronches, plus récent, est sans doute une variation plaisante de se faire ramoner également sous l'influence de la chanson Ramona et peut-être de l'expression précédente (à moins que ce ne soit le contraire). Cette expression, à mon avis, a été utilisée à peu près sur la même période de temps que la précédente.
Cette seconde expression évoque aussi la notion de cris aigus et, à mon avis, bien que les deux expressions semblent avoir des origines différentes, il y a vraisemblablement eu attraction et remotivation de l'une par l'autre. Gilles MAIRET24 mai 2006 à 18:52 (UTC)
Sans être expert du domaine, je dirais que le neuromimétisme (neuroinformatics) est une science informatique qui regroupe un ensemble de domaines de recherches qui tournent tous autour de la modélisation informatique du fonctionnement des neurones, ceux-ci ayant pour particularité de ne pas fonctionner de manière tranchée (plutôt que de raisonner sur la base du oui/non ou 0/1, un neurone va raisonner de manière probabiliste en plutôt oui/plutôt non). La neuromimétisme touche ainsi :
la compréhension du fonctionnement du cerveau
la simulation de son fonctionnement dans des ordinateurs, en particulier pour la reconnaissance (de formes, de sons, etc.) en utilisant ce qu'on appelle des réseaux de neurones.
décorporation je comprends à peu près le sens, mais je n'arrive pas à le bien définir. C'est utilisé apparemment en toxicité quand on essaie de retirer les toxines des cellules. Kipmaster☯20 mars 2006 à 11:07 (UTC)
Jamais vu ce mot avant aujourd'hui mais on peut supposer qu'il a été inventé, dans un domaine technique d'après Kipmaster, par analogie avec incorporation. Incorporer (latin in «dedans» et corpor- «corps») c'est faire pénétrer dans un corps de façon à faire corps ! Par exemple incorporer les œufs dans la semoule. La décorporation consisterait donc à extraire d'un corps quelque chose qui fait corps (par opposition à un corps étranger qui n'a pas fusionné, comme une écharde, qu'il suffit d'extraire). Pierre1 juin 2006 à 19:35 (UTC)
buy bonds... (anglais)
Que signifie la phrase 'buy bonds fourth liberty loan' ], et 'fourth' signifie autre chose que quatrième (ça date de la première guerre mondiale)?
Il semblerait qu'il faille décomposer en buy bond (« achetez des obligations »), et fourth liberty loan qui est le nom du quatrième liberty loan (voir w:en:liberty loan ou encore ) lancé par les USA pour aider à l'effort de guerre. - Dakdada(discuter)11 mars 2006 à 19:52 (UTC)
Locutions anglaises
À faire si vous pouvez ;-) :
on the run en fuite? dit quand on essaye "de courir de la loi" (canadien) / "échapper à la loi" (français de France).
Je cherche la traduction du mot : alane ou alanne, chanson de Wes et je n’ai trouvé personne pour m’aider. On m’a donné plusieurs versions, mais laquelle est bonne : prends moi, dans pour moi, ou etonne moi. C’est un groupe du cameroun, donc ce doit être un mot bantou. merci. (Message de 80.11.84.211)
Je cherche la définition du mot kapellmeister. Il est indiqué que Haendel fut le Kapellmeister de l'Électeur George, qui devint par la suite le roi Georges Ier.
kapellmeister = « maître de chapelle ». C'est l'équivalent d'un "Directeur de la musique" pour un prince, une ville. Bach fut Kapellmeister de la ville de Dresde, Mozart fut Kapellmeister de l'empereur d'Autriche. La "chapelle" désigne ici la partie de l'église ou se tient le chœur. Jusqu'au 18e siècle, "musique" était pratiquement synonyme de "musique religieuse" et les maîtres de chapelle, qui dirigeaient, contrôlaient la musique d'établissement religieux importants (cathédrales, chapelles princières) eurent une importance capitale dans l'évolution de la musique occidentale. Les maîtres de chapelles pouvaient avoir des responsabilités considérables. Bach contrôlait plusieurs ensembles choraux ; il avait pour obligation d'écrire une cantate pour chaque dimanche de l'année, des passions, des œuvres de circonstance ; il devait expertiser les orgues des églises de la ville, commander et superviser les travaux d'entretien et de réparation, etc. Pour plus de détails, voir le site ]. Gilles MAIRET24 mai 2006 à 19:25 (UTC)
Jaurais aimer que l'on me traduise toute la chanson mais si on arrive même pas a savoir ce que veut dire le titre je suis pas sur de trouver ce que je cherche
Voila, j'ai un problème avec l'article bécarre car je ne sais pas comment afficher le symbole. Sur Wikipédia c'est noté qu'il faut utiliser le Latex, mais je ne sais pas faire, quelqu'un pour m'aider ? Merci d'avance. Eölen(discuter)26 mai 2006 à 18:43 (UTC)
Si tu as une police de caractère qui possède ce caractère Unicode ♮, tu peux l'utiliser n'importe où (enfin tant que ça utilise Unicode). Tu peux le taper avec Ctrl+Maj+'266E' sous Gnome et Alt,'+','266E' sous Windows, et le code HTML est ♮ ---/moyogo/ ⁽ᵈⁱˢᶜᵘᵗᵉʳ⁾29 mai 2006 à 06:30 (UTC)
Étymologie ou sens ? Pour l'étymologie, cela vient, comme cohésion et cohérent, du latin cohaereo, cohaerere, cohaesi, cohaesum, « être attaché ensemble », composé de cum, « ensemble » et haereo, « être attaché, fixé, attaché ». Sur la même racine, on trouve aussi cohérence, cohésion, inhérent, adhérence, adhésion... Pour le sens, est cohésif ce qui assure la cohésion, au propre ou au figuré (est cohérent ce qui n'est pas en contradiction). Pierre31 mai 2006 à 20:16 (UTC)
Quant, du latin quantum, « autant que », souvent corrélé à tantum, « autant ». « Quant à moi » s'explique par « pour autant que je sois concerné ». À rapprocher de quantité, quantième. À ne pas confondre avec quand, du latin quando, « lorsque ». Pierre31 mai 2006 à 20:23 (UTC)
L'adjectif grec holos signifie qui forme un tout, entier. L'anglais forge à partir de cet adjectif le mot holism pour désigner le fait de considérer un phénomène dans sa totalité, par opposition à une vision analytique ou atomistique, qui privilégie les parties. Le français a emprunté le terme à l'anglais. L'expression entraînement holistique s'emploie, peu, dans le domaine de la musculation pour indiquer qu'on entraîne la totalité des muscles par exemple, et non seulement une partie, ou à la fois le corps et l'esprit, et non seulement le corps. À mon avis, entraînement global suffirait amplement. Pierre1 juin 2006 à 19:51 (UTC)
demande de definition
Pourriez vous svp rajouter la definition du mot "aganite" c'est un mot moqueur que nous utilisions plus jeune du côté de Séte
Merci
Francois ELISE
J'aimerais savoir si démocide est considérée comme un néologisme, anglicisme ou tout simplement non-existant en français ;-) Le mot anglais democide existe déjà et permet d'avoir une alternative aux mots génocide ou massacre. Voir w:en:Democide ---/moyogo/ ⁽ᵈⁱˢᶜᵘᵗᵉʳ⁾ 1 juin 2006 à 20:00 (UTC)
le définit comme « le massacre d'être humains désarmés par toute organisation étatique ou para-étatique ». --/moyogo/ ⁽ᵈⁱˢᶜᵘᵗᵉʳ⁾1 juin 2006 à 20:11 (UTC)
Il semble que Médecins du monde l'ai défini comme ceci : « Nous proposons d’employer le néologisme « démocide » pour nommer les attentats visant les civils où l’assaillant se donne la mort en tuant le plus possible de personnes autour de lui. Le terme « démocide » est composé des deux mots dêmos (peuples, populations, en grec) et cide (du latin coedere, tuer). », ils auraient aussi consulté des gens du Robert pour mettre ce mot en place. Je ne trouve cependant pas de véritable source. - Dakdada(discuter)1 juin 2006 à 20:22 (UTC)
Il est clair que c'est un néologisme, et aussi qu'il est emprunté à l'anglais (créé par R.J. Rummel en 1994 : voir article democide sur la Wikipédia anglophone), même s'il a pu être inventé en parallèle par Médecins du Monde, avec un autre sens. Il est donc clair que c'est un mot français qu'il serait particulièrement utile de pouvoir trouver dans le Wictionnaire, puisqu'il semble être utilisé dans plusieurs sens différents. Lmaltier1 juin 2006 à 20:36 (UTC)
Petite rectification : le verbe latin simple est caedere et non *coedere. La voyelle du radical ae s'altère en i quand on compose le verbe à l'aide d'un préfixe (ob + caedere => occidere) d'où le suffixe -cide (et non *-cède) utilisé en français. Cela dit, la proposition de Médecins du monde, telle que rapportée ci-dessus, ne me paraît pas de bon aloi : le démos est le peuple en tant qu'entité politique ; il se différencie nettement, en grec comme en français, de l'ethnos - entité culturelle - et de la foule ou la population. L'emploi anglais (democide lorsqu'un gouvernement s'attaque à son propre peuple) me paraît beaucoup plus satisfaisant. Une bonne démarche, concernant les néologismes, me paraît être d'éviter à la fois de les refuser au nom d'on ne sait trop quel conservatisme et de les promouvoir par excès de libéralisme ou pur attrait de la nouveauté. Pierre2 juin 2006 à 06:41 (UTC)
Tout à fait d'accord. On ne doit d'ailleurs rien promouvoir (neutralité de point de vue). On a simplement à accepter l'inclusion de ce qui est effectivement utilisé, et dans le sens (ou les sens) où c'est utilisé, en expliquant éventuellement dans la section étymologie ce qui est illogique du point de vue étymologique, pour que les lecteurs comprennent bien. Lmaltier4 juin 2006 à 20:51 (UTC)
Quel est l'objet de cette section ? Décider si l'un de ces mots doit être inclus dans le lexique ? Biffure, daté début XIXe siècle, est dans Robert et dans Larousse et, daté du XVIe (biffeure) dans le dictionnaire de l'Académie, 9e édition en cours de publication. Gilles MAIRET4 juin 2006 à 23:40 (UTC)
Bibliographies
Bonjour, dans le cadre d'un mémoire que je fais en Master 2 je cherches les bibliographies de deux auteurs qui sont médecins ce sont Dr Sternbach (1968)qui a écrit des livres sur la douleur ainsi que le Dr Mooncastel (1980).
Merci c'est très urgent.
la plus répandue et la principale cause de la fièvre des foins chez une grande partie de la population, de la mi-août jusqu'aux gelées. Le feuillage est découpé et les fleurs mâles produisent d'énormes quantités de pollen très léger que le vent peut transporter à plus de 200 km !
Elle pousse en colonies sur les terrains pauvres et bouleversés : le bord des routes, les terrains vacants, les gazons brûlés par le calcium. C'est une annuelle qui se multiplie par semences et celles-ci peuvent survivre dans le sol jusqu'à quarante ans ! On a donc intérêt à l'arracher avant le mois d'août pour l'empêcher de fleurir. Une autre méthode éprouvée est le réensemencement des sites infestés avec des espèces plus compétitrices telles que le sarrasin, le pâturin, le trèfle ou un mélange de prairie.
comme c'est une plante allergène il faut faire très attention, les symptomes sont : demangaisons avec apparition de plaque rouge avec des points blanc, prendre tout de suite un anti allergene avec une lotion antigratement, une fois que la sensation de gratage disparrais continuer a appliquer la lotion jusau,a disparition des plaques
Le latin classique disait avus « grand-père », et par extension « vieillard » et avia « grand-mère » et par extension « vieillarde ». Ces expressions on évolué pour donner en bas-latin (c-à-d le latin parlé après le IVè siècle et au début du Moyen-Âge) : aviaticus, aviatica « grand-père, grand-mère ».
Ces mots ont évolué en français et s'écrivent depuis le XVIè siècle : aïeul, aïeule. Ils ont été couramment employés avec le sens de « grand-père » et « grand-mère » jusqu'à la fin du XIXè siècle, voire le milieu du XXè siècle (ma grand-mère disait "mon aïeule" pour parler de sa propre grand-mère).
Le neutre pluriel latin exprime une généralité abstraite : aviatica ( lat. n. pl.) devenus en français moderne aïeux signifie, d'une façon générale « ancêtres » et l'expression "nos aïeux" ou "les aïeux" exprime de façon un peu emphatique la foule des être humains qui nous ont précédé et ont bâti le monde où nous vivons.
En effet, aïeux signifie "ancêtres". Tandis que aïeul signifie grand-père, aïeule (grand-mère), et aïeuls (grand-pères (des 2 côtés), ou grand-parents), et aïeules (grand-mères (des 2 côtés)). Mais de nos jours, ce n'est plus trop utilisé, sauf encore "aïeux". Stephane88886 juin 2006 à 05:20 (UTC)
Je ne sais où Gilles MAIRET a trouvé ce neutre pluriel aviatica qui donnerait aïeux mais cela me paraît suspect. Pour l'étymologie, je préfère remonter à aviolum, diminutif de avum, qui donne aïeul au singulier et aïeuls au pluriel. Par vélarisation puis vocalisation, aïeuls (prononcer l's) évolue en aïeux (le même phénomène explique cheval/chevaux). Aïeuls et aïeux sont donc au départ deux graphies différentes du même mot. Ce n'est que lorsque les deux mots sont sentis comme différents qu'ils se spécialisent, l'un continuant à désigner les grands-parents au sens strict, l'autre les ancêtres de façon générale. Pierre6 juin 2006 à 12:32 (UTC)
Je ne sais ce qui s'est passé, mais un § a disparu ici même dans lequel j'avouais une confusion de ma part et donnais entièrement raison à Pierre quant à l'étymologie à partir d'aviolus, aviola. Dont acte. Gilles MAIRET9 juin 2006 à 17:58 (UTC)
Relation entre une notion et sa représentation par un signe dans une langue donnée, cette représentation désignant deux ou plusieurs notions ayant certains caractères communs.
Ainsi la phrase :
Ce mot d'atmosphère a des évocations nombreuses, et le titre de ce nouveau périodique joue bien sûr sur cette polysémie.
Je sais pas si c'est ici, mais bon je vous adresse une définition qui ne figure pas sur votre site :
Dévolution : nom féminin. voir nom dévolu. du latin médiéval devolutio.
passage de droits hériditaires au degré subséquent par renonciation du degré précédent, ou à une ligne par extinction de l'autre.ex: la guerre de dévolution(1667-1668),entreprise par louis XIV au nom des droits de Marie-Thérèse sur les pays bas. (Source dictionnaire petit robert edition 1976).
Dévolu,ue : adjectif et nom masculin. du latin devolutus,de devolvere "dérouler, faire passer à"
Acquis,échu par droit. ex : succession dévolue à l'état, faute d'héritiers.(Source dictionnaire petit robert edition 1976).
N'hésitez pas à créer les articles vous-même. Vous pouvez utiliser l'assistant de création rapide pour cela : Aide:Création rapide. Si vous hésitez face à la mise en page à utiliser, ne vous en faites pas : il y aura toujours quelq'un pour passer derrière et mettre les articles en forme ;-) Attention cependant à ne pas recopier mot pour mot les définitions du dictionnaire donné pour source : celui-ci est sous copyright. - Dakdada(discuter)9 juin 2006 à 11:20 (UTC)
L'article de Wikipédia été supprimé il y a belle lurette (ici). Le problème, c'est que depuis qu'on est passé par le 6 juin 2006 (comprenez 6/6/6), ce mot connais un essor très important (comme le dis notre ami chronologue). Ce mot alambiqué est très attrayant et on l'affuble d'une connotation scientifique, alors qu'au départ il n'existait pas en français et n'est donc certainement pas utilisé par les spécialistes (français du moins). Ce mot finira-t-il par entrer réellement dans la langue française ou s'évanouira-t-il dans quelques jours ? - Dakdada(discuter)9 juin 2006 à 11:36 (UTC)
Ça ressemble à une plaisanterie de kâgneux comme tetracapillotomane (coupeur de cheveux en quatre) est une plaisanterie de taupin. Gilles MAIRET9 juin 2006 à 18:02 (UTC)
Pour ça on a capillotracté ^^' Celui-là est de la même veine, mais pour lui son utilisation est plus répandue et avérée : notre ami google renvoie près de 32 000 réponses (dont des entrées de dictionnaires), contre 275 000 pour tiré par les cheveux, soit plus de 10%, ce qui n'est pas négligeable. Notre hexakosioihexekontahexaphobie récolte 245 réponses. À noter aussi les 82 000 réponses pour l'anglais hexakosioihexekontahexaphobia dont le français est vraisemblablement tiré. Bien sûr il faut toujours faire attention aux arguments de google, puisque en cherchant Darkdadaah on trouve... 102 000 réponses O_ô - Dakdada(discuter)9 juin 2006 à 18:55 (UTC)
partmasculin a ete importe par un bot mais pas part féminin. Je n'ai pas de Littre ni de DAF1932 sous la main, est-ce qu'un wikidemicien pourrait combler ce vide qui me semble important ? --Diligent13 juin 2006 à 11:42 (UTC)
Beaucoup de mots du Wiktionnaire sont issus du DAF8, mais pas celui-ci, pour la simple raison qu'il n'existait pas encore à l'époque où il fut rédigé (du moins il n'était pas suffisamment répandu) :-) C'est en effet un mot qui vient de l'anglais, soit via le radical de détecteur qui vient lui-même de l'anglais detector, soit directement de l'anglais detect (d'après TLFi). Un article existe cependant désormais dans le DAF 9e édition. Plus qu'à en écrire un ici... - Dakdada(discuter)15 juin 2006 à 17:24 (UTC)
le model social européen
bonjour à tous
je voudrais savoir selon les donnés connus,quel est le meilleur model social européen( dans l ordre).
quel pays européen a les meilleurs avantages sociaux(assistance médical, aide aux logements, aide au chomage )
L'adjectif séqué a la même origine que disséquer ou sécateur : c'est à dire une idée de découpage. Une feuille séquée est donc une feuille dont le limbe est découpé en plusieurs segments, les coupures allant généralement jusqu'à la nervure centrale (ce qui donne un aspect de branche (la nervure centrale) avec de petites feuilles, alors qu'il s'agit pourtant d'une seule et même feuille). - Dakdada(discuter)21 juin 2006 à 09:41 (UTC)
omertà : mot italien ainsi défini par le dictionnaire De Mauro (traduction perso approximative)
1. habitude propre aux organisations de malfaiteurs, particulièrement de caractère mafieux, qui font silence sur un délit ou sur ses circonstances afin de soustraire le coupable à la justice officielle et de l'abandonner à la vengeance privée de la victime.
2. par extension, solidarité qui s'établit entre membres d'un cercle déterminé pour dissimuler les fautes par crainte de rétorsion ou de vengeance ou pour sauvegarder des intérêts communs.
S'emploie en français pour désigner le silence qui, sans une communauté ou un groupe, entoure des activités généralement délictueuses ou répréhensibles, notamment dans le domaine politique. L'expression française la plus proche me paraît être « la loi du silence ». Pierre22 juin 2006 à 10:01 (UTC)
Je recherche le mot "emberlificotaillé" que je retrouve dans une chanson par l'interpret quebecois, Daniel Boucher. J'ai le sens que ca veut dire, "burnt out" en anglais?
J'ai trouvé une occurrence de ce mot, avec Google, dans un texte où l'intention de l'auteur est claire : le mot, utilisé entre guillemets, sert à stigmatiser le discours abscons de quelqu'un accusé de vouloir embrouiller. L'invention d'emberlificotailler renforce le sens d'emberlificoter (embrouiller pour tromper) à la fois par la compliquexification volontaire et par l'utilisation d'un suffixe -ailler péjoratif (voir pinailler, discutailler). Tout cela fleure bon son Rabelais. Pierre23 juin 2006 à 11:42 (UTC)
En tant que Québécois, je suis aussi d'avis que cela est une création lexicale (qui ne mérite donc pas d'entrée) fondée sur emberlificoter, avec bien sûr le suffixe péjoratif ailler.
Je recherche la signification d'un "Jean-Bart"?
"avec un Jean-Bart posé comme une auréole sur sa tête" (Les Clefs, Germaine Beaumont dans "Des maisons, des mystères" page 390, Editions Omnibus ISBN2-258-07021-X
Merci
Il est possible qu'il s'agisse d'une métonymie de w:Jean-Bart, désignant un bâteau (puisque beaucoup de bâteau ont été baptisés ainsi). Peut-être s'agit-il d'une maquette de navire parant une perruque (époque Louis XVI) ? - Dakdada(discuter)25 juin 2006 à 16:23 (UTC)
Selon Petit Robert et TLFI, cela proviendrait du latin populaire nidax, dérivé de nidus, le nid. Il s'agit à l'origine d'un terme de fauconnerie : un faucon niais est un faucon qui n'est pas encore sorti du nid ou qui sort du nid pour la première fois (et qui donc ne connaît rien). Pierre26 juin 2006 à 19:10 (UTC)
poisse manque et je me demandais si c'est lie a poix (colle resineuse) ou poisson (dont on faisait aussi de la colle). Je me demande en particulier, si l'arrivee de poisse dans le vocabulaire a necessite l'evolution du mot poisson en le poussant a adopter le suffixe augmentatif -on (comme mais -> maison).
J'ai supprime poisseux de la liste des apparentes de poisson parce qu'a mon sens, c'est clairement lie a poix et pas a poissard(e) bien que probablement poisseux aussi ;-} ai-je tort?
« Poix », du latin picem, « la poix » - « Poisson », dérivé de l'ancien français peis, du latin piscem, avec probablement un augmentatif -on. Donc pas de rapport entre « poisse » et « poisson ». Pour « maison », il n'y a pas de suffixe augmentatif, le mot vient du latin mansionem, « le fait de rester » puis « le lieu où l'on reste », dérivé de manere, « rester ». Le mot « mas », quant à lui, selon Robert et TLFI, viendrait de mansum, supin de manere. Pierre28 juin 2006 à 21:00 (UTC)
larmorier
"Je larmorie" cette phrase vient d'une chanson "Ce que je suis" de Holden Je suppose que c'est un verbe mais je ne trouve pas la definition de ce mot. Si quelqu'un pouvait m'aider??
Je ris aux larmes, je larmorie, entend-on dans la chanson. Comment faut-il l'écrire ? Il s'agit selon toute vraisemblance d'une invention d'auteur du type jeu de mot. On pourrait écrire « je larme au ris » ou « je l'arme au riz » ou « je l'armorie » Pierre29 juin 2006 à 05:54 (UTC)
C'est rigolo, cette image, faire monter son rire aux larmes, ce qui va conduire à faire déscendre (oups...) ses larmes au ... ... rire ! pascal :)
« Volumétrie » signifie « mesure du volume » ou « détermination de la quantité ». Il s'emploie à l'origine en chimie et en physique mais aussi en médecine. Depuis peu, l'informatique l'emploie pour les techniques qui permettent de mesurer, par exemple, la quantité de données ou d'information, ou la fréquentation d'un site, etc. Pierre29 juin 2006 à 15:29 (UTC)