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Pourquoi dit-on « j’ai trouvé un appart » mais « je me suis trouvé un appart » ? Pourquoi ce changement d’auxiliaire ? Ça pourrait avoir quelque chose à voir avec « être » étant préféré pour les verbes réflectifs ou quelque comme ça. Mais dans ce cas, « se trouver » n’est pas vraiment réflectif, vu que « un appart » reste l’objet. D’ailleurs on dirait « je t’ai trouvé un appart ». Exception arbitraire ou il y a une petite logique derrière ? Nclm (discussion) 1 juillet 2018 à 16:25 (UTC)
C’est une utilisation pronominale du verbe (on trouve pour soi-même), et les verbes pronominaux utilisent l’auxiliaire être, ce n’est donc pas une exception. Pourquoi les verbes pronominaux utilisent-ils l’auxiliaire être, c’est ça la question intéressante. Je suppose qu'il y a une raison, mais je n’y ai pas réfléchi. Lmaltier (discussion) 1 juillet 2018 à 16:40 (UTC)
On trouve d’ailleurs la même opposition dans bien d’autres cas, comme « j’ai acheté un jean » / « je me suis acheté un jean » ; « untel m’a mis une claque » / « je me suis pris une claque » ; « il m’a eu » / « je me suis fait avoir », etc. — Automatik (discussion) 1 juillet 2018 à 16:48 (UTC)
Je suppose que dans « je me suis trouvé un appart », « appart » est un objet indirect. J’ai trouvé un appart pour moi. J’ai acheté un jean pour moi, etc. Question pour Taka, peut-être. Renard Migrant (discussion) 3 juillet 2018 à 17:00 (UTC)
Un entre-doigts pour une sandale est une lanière qui passe entre deux orteils (généralement entre le gros et le deuxième orteil) et qui participe à la tenue de la chaussure. À priori, toutes les tongs sont des entre-doigts. — message non signé de Borda (d · c) du 2 juillet 2018 à 16:26
J’ai connu quelqu’un, originaire de la Mayenne qui utilisait le mot « tocard » pour désigner les digitales et le mot « cônille » pour désigner les jacinthes sauvages.
Une recherche rapide sur le Web ne donne aucune occurrence de ces termes dans ce sens.
Certes oui, mais sur ce glossaire il s'agit des plantes des cultures ; ce que n'est pas la digitale pourpre. Par contre, je vais consulter mes différentes flores pour trouver les noms vernaculaires de la digitale. --François GOGLINS (discussion) 8 juillet 2018 à 10:04 (UTC).
recherche d'un mot ou d'une expression signifiant une pathologie grave : la défécation par la bouche
Je suis quasiment certain qu'il s'agit d'un nom suivi d'un génitif. Il désigne une pathologie grave : la défécation par la bouche. Je l'ai lu dans le Larousse en six volumes de l'entre-deux-guerres. (Commentaire fait par l’IP 81.67.70.161 - 3 juillet 2018 à 18:13)
Est-ce que des Alsaciens connaissent ce mot ? Je ne trouve que la citation suivante : Saga de famille : les Doreff, les spécialistes du zuk-zuk— (site www.lalsace.fr, 13 août 2011)Lmaltier (discussion) 3 juillet 2018 à 19:47 (UTC)
C’était évidemment une erreur de ma part. J’ajoute en ce moment plein de mots de catégories différentes, dont beaucoup de noms propres, et j’ai été trop vite dans ce cas. Lmaltier (discussion) 7 juillet 2018 à 08:04 (UTC)
La coïncidence est curieuse, oui. Dans ce cas, ce serait zuk-zuk qui viendrait de tchouk-tchouk. Mais rien ne permet de l’affirmer. En tout cas, merci de cette question, qui m’a permis de créer les pages tchouktchouk et tchouk-tchouk. Lmaltier (discussion) 8 juillet 2018 à 15:53 (UTC)
Bonjour, J'ai effectivement contribué aux pages en breton, mais ne me souviens pas de l'avoir jamais fait en gallo. Désolé donc. Néanmoins, le nom de l'oiseau auquel vous faites allusion — la Foulque macroule (Fulica atra) — a été traduit « jualenn vailh » par L'Office public de la Langue Bretonne.
Bonjour Basnormand (désolé pour le retard, café sur clavier et vacances), Selon le dico. de Regis Auffray, javelle (feminin) (javenelle n'est pas présent) désigne en gallo un petit tas d'ajonc. Judelle (féminin ) existe bien en gallo egalement, précisément en Loire-Atlantique (majoritairement) et fait référence aux foulques et macreuses.
« gens » (clan romain) : prononciation en français
La prononciation « gens\ʒɛ̃s\, gentes\ʒɛ̃.tɛs\ » en français est (ou s’inspire de) la prononciation traditionnelle du latin en France. Ce type de prononciation a été pieusement conservée pour les mots latins empruntés tels quels par le français. Mais est-ce bien le cas de ce terme ? Ce terme n’est peut-être pas vraiment assimilé en français, auquel cas des francophones pourraient le prononcer « gens\gɛns\, gentes\gɛn.tɛs\ » en français, en s’inspirant de la prononciation dite restituée maintenant seule utilisée dans l’enseignement du latin en France. Des témoignages seraient les bienvenus. Alphabeta (discussion) 9 juillet 2018 à 18:59 (UTC)
Effectivement, c’est ce que je ferais personnellement. Mais je n’ai pas l’habitude d’entendre le mot, ma tendance n’a donc ps d’intérêt. Lmaltier (discussion) 9 juillet 2018 à 19:46 (UTC)
Bonjour, le terme amont est employé dans le domaine de l’ingénierie, mis en apposition dans la locution étude amont. Mais au pluriel, cela fait études amont ou études amonts ? Google donne respectivement 26k et 30k occurrences, dont l’usage hésite clairement. Y a-t-il une règle à appliquer, et si oui, laquelle ? L’ajout d’exemples sur la page amont serait un plus, voire la création de étude amont ou, une fois le dilemme élucidé, la version plurielle, bien plus fréquente d’emploi. À vous lire. Estivalement, ChoumX (discussion) 8 juillet 2018 à 13:50 (UTC).
Pour les stats : dans la Pédia, qui constitue un document relativement bien relu, j’ai trouvé () plusieurs occurrence (16 si j’ai bien compté) de études amont et une seule (1) occurrence () de études amonts. Alphabeta (discussion) 8 juillet 2018 à 18:51 (UTC)
S’il existait encore des grammairiens, ils ne manqueraient pas d’analyser la locution. Je ne puis me substituer à eux, mais de façon intuitive j’ai l’impression qu’il s’agit de l’amont en général : mon « intuition du locuteur natif » me fait donc spontanément préférer « études amont » ; mais il s’agit d’une simple préférence perso… Alphabeta (discussion) 8 juillet 2018 à 19:04 (UTC)
Oui, bien sûr. Il n’empêche que l’usage hésite. J’ai compris que c’était ça le sens de la question : que faut-il faire quand l’usage hésite ? Lmaltier (discussion) 8 juillet 2018 à 19:12 (UTC)
Tout aussi intuitivement, pour moi, on accole deux noms communs, il n'y a pas de raison de les accorder, si une étude s'occupe de deux amonts, on peut écrire l'étude amonts, si le même amont est étudié par plusieurs études, on peut écrire des études amont. --87.255.155.1211 juillet 2018 à 08:59 (UTC)
J'ai l'impression que ça ressemble à l’adjectivisation de phare (une ville phare) où le terme n’est pas encore entièrement perçu comme étant un adjectif. Peut-être que dans 50 ans on sera fixé… --— Lyokoï (Discutons) 11 juillet 2018 à 09:09 (UTC)
En fait c'est une apposition attachée qui précède, selon moi aussi, le stade adjectival. Les appositions fréquentes dans la langue, quasi lexicalisées telles que mots clés, remèdes miracles, appartements témoins font l'accord. Pour des mots utilisés dans certains milieux uniquement, comme études amont, une idée est de paraphraser. Cela donne : "des études qui sont faites chacune en amont", donc actuellement "études amont". Mais il suffit qu'un journaliste écrive "études amonts" et que d'autres lui emboîtent le pas, cela peut aller beaucoup plus vite que 50 ans ☺ Delarouvraie🌿12 juillet 2018 à 11:24 (UTC)
En tous cas, la page amont ne précise pas de sens adjectival ! Logiquement parlant ce mot est une abbréviation d’expressions telles que : en amont ou du côté de l’amont, c’est-à-dire du sommet … et non pas des sommets. Par opposition, il faudrait dire études avales ou projets avaux (ex masculin !). L’usage est capable de d’éloigner du sens originel. En attendant de modifier nos pages je reste préférentiellement sur « études amont ». Voir également l’expression par monts et par vaux qui peut accélérer la mutation. Supreme assis (grain de sel) 19 juillet 2018 à 08:56 (UTC)
Estivalement
Re. En signant la question précédente, mon correcteur me met des vaguelettes sous estivalement. Google m’annonce 3k occurrences. Est-ce suffisant pour créer une page ? Cordialement (moins de risques !), ChoumX (discussion) 8 juillet 2018 à 13:52 (UTC).
Lorsque l’on retrouve quelqu’un, dit-on « comme on se retrouve ! » ou bien « comment on se retrouve ! » ? Je pensais que c’était « comment », mais j’ai croisé une occurrence de « comme » hier.
Bonjour. Si quelqu’un aurait déjà entendu ce terme en français, ça aiderait de vérifier la prononciation indiquée (actuellement en - \tjɔ̃\, selon une recopie du Littré).
J’ai corrigé. Pour moi, Littré ne se trompait pas, il lui semblait évident qu’en indiquant -tion, on comprenait qu’il fallait utiliser le son s. Lmaltier (discussion) 13 juillet 2018 à 20:18 (UTC)
J’ai tendance à juger plus durement É. Littré : si de telles bévues n’ont sans doute pas trompé ses compatriotes, il n’en a pas forcément été de même pour les étrangers, à une époque où la langue française était bien plus utilisée qu’aujourd’hui à travers le monde. Alphabeta (discussion) 14 juillet 2018 à 15:54 (UTC)
Ne jugeons pas négativement, et ne portons pas non plus aux nues : les collaborateurs du Littré ne parlaient français ni moins bien que nous, ni mieux que nous. Lmaltier (discussion) 14 juillet 2018 à 16:19 (UTC)
Une question incidente : sermocination#frm indique maintenant aussi la prononciation \sɛʁ.mɔ.si.na.sjɔ̃\ (au lieu de \sɛʁ.mɔ.si.na.tjɔ̃\ : j’ai corrigé), qui semble être la prononciation en français d’aujourd’hui d’un mot en « français moyen » (frm). Dans ce cas faut-il tenter une reconstitution « archéologique » de la prononciation d’époque (comment articulait-on par exemple le r de l’écriture en français moyen ?) ? J’aimerais savoir s’il y a une norme à suivre à ce sujet au sein du Wiktionnaire. Alphabeta (discussion) 14 juillet 2018 à 16:12 (UTC)
Alors, là, la réponse est facile : quand on ne sait pas, on ne met pas. J’imagine que le personne qui a mis ça ne savait pas, il faudrait donc supprimer. De toute façon, l’intérêt est vraiment négligeable, puisque à peu près personne n’est susceptible de prononcer le mot en moyen français à l’heure actuelle. Lmaltier (discussion) 14 juillet 2018 à 16:19 (UTC)
« peu près personne n’est susceptible de prononcer le mot en moyen français à l’heure actuelle » : certes mais ceux qui consultent les sections #frm et #fro des entrées du WT peuvent se préoccuper non seulement de l’évolution du français écrit mais aussi de son évolution à l’oral. Alphabeta (discussion) 14 juillet 2018 à 16:54 (UTC)
C’est sûr que tous les spécialistes du mot sermocination pourraient être intéressés. Encore faudrait-il pouvoir leur donner un renseignement utile. Lmaltier (discussion) 14 juillet 2018 à 18:42 (UTC)
J’ai consulté sur papier le tome 1 (A-Computer) d’une réédition du Dictionnaire de la langue française d’Émile Littré (réédition assurée par l’Encyclopædia Britannica, dépôt légal 1994, ISBN 0-85229-405-0 ) : É. Littré s’explique sur la notation (il parle de « figuration ») de la prononciation qu’il a adoptée dans un « Tableau de la figuration de la prononciation » (pages 70-71) où on lit (page 70) : « Le principe de figuration que j’ai adopté est de conserver rigoureusement à chaque lettre la valeur qu’elle a dans l’alphabet et de ne jamais lui en attribuer d’autres. T est toujours t dans la figuration; il ne prend jamais l’articulation de l’s. » Lorsqu’il fournit la prononciation « sèr-mo-si-na-tion » dans l’entrée sermocination (dans le tome 6 Retenter-Zythogale de cette réédition), É. Littré se fourvoie en ne suivant pas ses propres règles : ça tient bien de la bévue ou de la coquille. Alphabeta (discussion) 15 juillet 2018 à 14:28 (UTC)
C’est une erreur de notation, oui, puisqu’elle ne respecte pas la règle fixée (le i, le o et le n qui suivent le t n’ont pas non plus la valeur qu’ils ont dans l’alphabet, d’ailleurs, ça montre bien la difficulté de respecter la règle). Mais ce n’est évidemment pas une erreur sur la prononciation, c’est ce que je voulais dire. Lmaltier (discussion) 15 juillet 2018 à 18:05 (UTC)
Je n’ai plus le livre (en papier) sous les yeux : le « Tableau de la figuration de la prononciation » fournit peut-être des précisions pour le i, le o et le n. Alphabeta (discussion) 15 juillet 2018 à 18:16 (UTC)
Les coquilles dans les dictionnaires ne sont pas rares. Ils sont de très longs ouvrages, donc, très facile de se tromper, même quand on est très bien éduqué. Renard Migrant (discussion) 15 juillet 2018 à 18:31 (UTC)
Au passage : qui pourrait fournir un lien vers le « Tableau de la figuration de la prononciation » (pour le cas où il serait bien accessible en ligne) ? Le modèle {{R:Littré}} ne semble pas permettre d’accéder à ce texte… Alphabeta (discussion) 16 juillet 2018 à 18:06 (UTC)
Un bel exemple : pesche#fr-nom-2 est masculin selon le DAF 1 (1694), mais féminin dans tous les exemples, et féminin dès la 2e édition. Simple faute de frappe. Facile à faire quand son dictionnaire a plus de 1 500 pages. Renard Migrant (discussion) 26 juillet 2018 à 15:21 (UTC)
Pas vraiment de question donc mais mérite t-il une entrée, il ne semble pas (ou plus) y avoir d’utilisation en dehors des toponymes et ce n’est pas vraiment du « français »
Tu as la réponse dans l’étymologie de noue (nom 2). C’est vrai qu’il serait intéressant d’avoir un endroit dans le Wiktionnaire pour ces toponymes ou parties de de toponymes qui ne sont pas (ou plus) des mots à proprement parler, comme tu le remarques justement. --Patatruc (discussion) 15 juillet 2018 à 10:22 (UTC)
Bonjour, nous sommes désolés mais votre demande n’a pas sa place ici. Le Wiktionnaire est un dictionnaire de langue, où l’on discute donc avant tout des mots ; pour les renseignements encyclopédiques, voyez plutôt sur l’Oracle de Wikipédia. Merci de votre compréhension.
Quelqu’un aurait-il déjà entendu ces mots ? Il manquerait à l’article la précision de l’h aspiré ou l’h muet pour la prononciation, qui reste muette là-dessus actuellement, les auteurs n’ayant pas aspiré à la renseigner
Apparemment, le plus souvent, c’est un h aspiré (ce qui est cohérent avec Hanovre), mais le h muet est courant aussi : j’ai essayé de chercher "l’Hanovrien" et "le Hanovrien", et c’est ce que je conclus. Lmaltier (discussion) 16 juillet 2018 à 19:38 (UTC)
J’ai consulté (sur papier) : Claude Augé (1854-1922), Petit Larousse illustré, 1905, réédition de cette première édition en fac-similé vers 2004, ISBN2-03-530849-6. On y trouve page 458 (dans la première partie donc) une entrée « *HANOVRIEN, ENNE » : l’astérisque (« * ») indique l’aspiration et la prononciation est partiellement notée sous la forme « (vri-in, è-ne) ». Alphabeta (discussion) 17 juillet 2018 à 09:38 (UTC)
J’ai aussi consulté le Grand Dictionnaire franco-japonais, édité par Shogakukan et Le Robert, 1996 (page 2598), 2097 pages, « printed in Japan » (page 2598) ISBN4-09-515201-X (un dico particulèrement attentif à la prononciation du français) : on y trouve une entrée *hanovrien, ienne : l’astérisque (« * ») indique l’aspiration et je tiens à reproduire ici la prononciation de fin du mot : …-vʀi-jɛ̃, -jɛn : enfin une source attestant la prononciation avec /j/ qui est la mienne (). Alphabeta (discussion) 17 juillet 2018 à 12:42 (UTC)
Merci pour le tuyau. Il semble que le sens le plus commun soit celui de « personne débraillée, peu présentable » (, , , : ici avec le sens de « personne débraillée et sans carrure »). Mais je trouve aussi le sens de « maigre, frêle » (, ). Dans d’autres extraits d'ouvrages, le sens n’est pas évident (). — Automatik (discussion) 17 juillet 2018 à 12:41 (UTC)
N’est pas exclusivement réservé à désigner l’aspect d’une femme ! Qualifie une personne mal fagotée, hirsute, … telle qu’elle fait peur aux moineaux, comme l’indique le sens propre. Van Gogh était souvent décrit comme tel Supreme assis (grain de sel) 19 juillet 2018 à 09:17 (UTC)
Idem : pas facile de trouver des attestations pertinentes pour le sens de femme, pour celles-là. Toutefois une source, le DAF9, mentionne planche à repasser. — Automatik (discussion) 17 juillet 2018 à 02:12 (UTC)
Idem, femme à la poitrine plate ou avec de petits seins, voir aussi limande dans l’argot désuet « plate comme une limande » (dans cette expression limande ne signifie pas prostituée (sens 3)) --Basnormand (discussion) 17 juillet 2018 à 06:33 (UTC)
You could append ''ou neutre'' to the translation : {{trad|de|Rave|m}} ''ou neutre''. The template includes a {{mf}} value for the gender, but no {{mn}}. --Patatruc (discussion) 17 juillet 2018 à 09:29 (UTC)
Sauriez-vous s'il est de bon usage d'employer le substantif alexandrin pour désigner une strophe (ou, par extension, un poème) constituée de douze vers (i.e. un douzain) ? J'ai bien conscience que ce terme s'emploie principalement pour nommer un vers de douze syllabes.
Faute de frappe pour démoroser, rendre moins morose, ou autre chose? (Commentaire fait par l’IP 90.14.100.195 - 1 juillet 2018 à 20:37)
Oui, parce que j’ai trouvé l’original de 1886 ici (aperçu très limité, malheureusement). Mais en utilisant zoom, je vois que c’est démoroser. Je trouve un 2e emploi, également en 1886, mais de d’un journaliste qui s’appelle Montclavel :
« il est bon, il est sain de pouvoir se démoroser un peu, en délectant les lapsus et les blagues des écrituriers du monde parisien. » — (Le Frondeur, 30 octobre 1886, sur le serveur de l’Université de Liège)
« Là, tous les soirs, devant un public névrosé, abruti pendant le jour par des travaux accablants, venant se démoroser dans d’hystériques convulsions, notre ami Hector (aujourd’hui collaborateur au Sans-Souci) débitait, avec sa bonhomie rabelaisienne, des gaietés bon goût » (Le tintamarre, 1886)
« La salle entière que ce délicieux petit acte avait démorosé — Oh ! amorosa — n'a d’ailleurs pas ménagé ses applaudissements. » (Revue mondaine oranaise, 1912)
La lecture de la Pédia a ajouté à ma perplexité puisque l’article encyclopédique (version ) w:fr:clapet anti-retour (avec trait d’union) commence par : « Un clapet antiretour est un dispositif installé sur une tuyauterie qui permet de contrôler le sens de circulation d'un fluide quelconque. Le liquide, le gaz, l'air comprimé, ... peut passer dans un sens mais le flux est bloqué si celui-ci vient à s'inverser. » Alphabeta (discussion) 22 juillet 2018 à 13:51 (UTC)
J’aurais la même intuition, mais il ne faut jamais se fier à son intuition pour indiquer une prononciation, sauf dans les cas où c’est réellement évident (par exemple, si on sait prononcer quantifier, on peut en déduire la prononciation de quantifiable). Pourquoi ? Parce que les lecteurs aussi ont de l’intuition, et qu’ils peuvent donc imaginer une prononciation quand ils n’en voient pas d’indiquée. La mettre dans ces conditions ne leur apporte donc strictement rien comme renseignement fiable, et peut être faux et donc trompeur dans certains cas : par exemple, quand un contributeur canadien met les prononciations de communes françaises en se fiant à son intuition, il lui arrive de se tromper. Il ne faut jamais le faire. En plus, ici, la discussion sur Wikipédia montre divers avis. Lmaltier (discussion) 24 juillet 2018 à 17:09 (UTC)
Un point de méthode (en passant : a-t-il été déjà traité dans le WT ?) : l’« intuition », l’« intuition du locuteur natif » et plus précisément l’« intuition du locuteur et du scripteur natif » est à prendre en compte s’agissant d’un mot (un nom propre rarement employé qui plus est) ne faisant point partie d’une famille de mot. Laisser la prononciation en blanc dans le WT me semble une solution de facilité. Ici mon « intuition » se base quand même sur l’observation de nombreux termes se rapportant à l’Antiquité passés du latin au français… Et les réponses figurant dans WP convergent maintenant avec ce que j’ai indiqué. Alphabeta (discussion) 25 juillet 2018 à 13:03 (UTC)
Toujours pour le singulier j’ai aussi relevé dans w:fr:Baudolino (version ) cette légende d’un groupe d’images : « Divers personnages étranges cités dans le roman tels qu'ils apparaissent dans la Chronique de Nuremberg en 1493. En partant de l'image du haut à gauche et en se déplaçant dans le sens des aiguilles d'une montre sont représentés : un sciapode, un satyre, un panotéen et un blemmye. » Pour ma part je ne condamne pas le petit b initial de « blemmye », ce terme pouvant se concevoir comme le nom d’un type de monstre (sans tête en l’occurrence) autant qu’un véritable gentilé. Alphabeta (discussion) 26 juillet 2018 à 16:16 (UTC)
L’intuition est utilisable, mais pour, par exemple, choisir le type de mot correct, ou choisir entre deux formulations de phrases. C’est-à-dire, en fait, pour des choses qu’on connait et qu’on peut donc analyser selon son intuition. Mais, pour la prononciation d’un mot sur laquelle on peut hésiter, sûrement pas. J’ai expliqué ci-dessus pourquoi. Lmaltier (discussion) 25 juillet 2018 à 16:59 (UTC)
Pour ma part je me suis efforcé d’expliquer le contraire supra en réponse . Même si on pourrait sans trouver un terme meilleur qu’« intuition » pour décrire la méthode à suivre. Je n’ai pour l’heure trouvé aucun dico sur papier donnant la prononciation de ce terme (il est par exemple absent de : Léon Warnant (1919-1996), Dictionnaire de la prononciation française dans sa norme actuelle, Duculot, édition de 1987, CXVII pages + 988 pages ISBN2-8011-0581-3) : dans un tel cas il ne faut pas baisser les bras : il convient de fournir une prononciation plausible (en se préoccupant de l’histoire de ce mot). Et il vaudrait mieux se recentrer sur Blemmyes dans la présente rubrique… Alphabeta (discussion) 25 juillet 2018 à 17:17 (UTC)
Et je lance un appel à tous les lycéens et étudiants actuellement sur les plages : l’un d’entre eux aurait-il entendu un professeur prononcer ce terme « Blemmyes » durant la dernière année scolaire ? Merci d’avance. Alphabeta (discussion) 26 juillet 2018 à 14:31 (UTC)
J’ai créé une entrée « Blemmye » pour le singulier (avec une citation de U. Eco). La flexion bien française du mot (Blemmye/Blemmyes) induit (que ce soit par intuition ou par raisonnement) une prononciation tout aussi française pour ce mot (\blɛ.mi\). Alphabeta (discussion) 27 juillet 2018 à 09:37 (UTC)
Je me permets, alors que j'écoute l'audition du général Richard Lizuret par la commission des Lois du Sénat, de vous solliciter pour déterminer les nature et signification exactes du lexème Mon dans l'expression vocative mon général, n'ayant pas trouvé cette information dans l'entrée correspondante du Wiktionnaire (mais peut-être que la forme lemmatique n'est en fait pas mon).
Bonjour, est-ce que dans ce cas ce ne serait pas la formule mon général (au même titre que monsieur le président de la république par exemple), qui mériterait une page en tant que titre/grade ? Dara25 juillet 2018 à 07:44 (UTC)
D'après le TLFi, il y aurait une obligation d'utiliser le possessif de la première personne pour les grades supérieurs (dont général) lorsqu'un militaire s'adresse à une personne placée au-dessus de lui dans la hiérarchie. Mais je suis certain que ce sénateur n'est pas le subordonné de ce général... 2A01:E34:EC2A:AF0:503B:4E05:E3F1:C33725 juillet 2018 à 08:15 (UTC)
Sans doute une appartenance de subordination, plus qu’une marque de possession ! On retrouve ceci particulièrement dans l’armée : mon adjudant, mon capitaine, etc … D’ailleurs, monsieur dérive de mon sire à une époque de gens d’armes. Sans doute le sénateur est-il un homme soumis par nature à l’autorité militaire ! Dire simplement général aurait suffit. Ceci est à différencier de mon dentiste qui indique une sorte de préférence habituelle. Supreme assis (grain de sel) 25 juillet 2018 à 08:37 (UTC)
C’est astucieusement dit ! Mais cela découle aussi d’un usage militaire. En effet, pour une question d’ordre et de discipline il est logique de définir une appartenance différentielle à un groupe : qui est TON capitaine ? Marque de subordination. Si je dois obéissance à TOUS mes supérieurs, je dois aussi repérer celui qui est MON supérieur et lui prouver mon allégeance. Ainsi, dire MON commandant lui montre que je suis à ses ordres. Dire seulement, commandant, n’indique pas nécessairement que je fais partie de son effectif. Subtilité sémantique ? Supreme assis (grain de sel) 26 juillet 2018 à 09:10 (UTC)
"il y aurait une obligation d'utiliser le possessif de la première personne pour les grades supérieurs (dont général) lorsqu'un militaire s'adresse à une personne placée au-dessus de lui dans la hiérarchie." : même quand on n’est pas subordonné, la tradition veut qu’on utilise quand même cette formule (mais on ne peut pas être puni si on ne l’utilise pas), sauf si on est une femme, je crois, auquel cas on omet le "mon". Je crois que c’est la règle traditionnelle, mais ça a peut-être changé. Lmaltier (discussion) 25 juillet 2018 à 17:11 (UTC)
Bonjour,
Je viens de découvrir une rue de la Pidanserie à Les Riceys dans l'Aube.
Dans cette même région, plusieurs tombes portent le nom de Pidansat.
Y-a-t'il un lien ?
Quelle est l'origine et la signification de ce mot ?
Merci de votre aide.
Cordialement.
Michèle
93.7.104.5430 juillet 2018 à 11:13 (UTC)
En passant : la questionneuse pratique le français le plus évolué, dans lequel « à Les Riceys » tend effectivement à se substituer à l’antique « aux Riceys ». Alphabeta (discussion) 30 juillet 2018 à 14:58 (UTC). — PS : fait : j’ai mentionné « aux Riceys » dans l’entrée wikt:fr:Les Riceys du Wiktionnaire (entrée qui signale l’existence de l’article encyclopédique w:fr:Les Riceys de Wikipédia). Alphabeta (discussion) 30 juillet 2018 à 15:13 (UTC)
Alors, on trouve dans l’Inventaire sommaire des Archives départementales antérieures des Hautes alpes : Romette, in camera pidanserie, 10 avril 1561 (fo 73) ; — l'office de la pitancerie dud. prieuré de Romette Ceci laisse supposer qu’il s’agit d’un mot d’origine italienne ou de patois local (?) qui, effectivement, se traduirait par pitancerie. Supreme assis (grain de sel) 31 juillet 2018 à 09:25 (UTC)
comment appeler ce lui qui habite au village behagle
Je viens de remarquer que le mot japonais 百合 (yuri, « Lis ») est classé comme adjectif dans le Wiktionnaire francophone alors que le Wiktionnaire anglophone le donne comme noun. S'agit-il d'un choix volontaire et, si c'est le ce cas, quels motifs ont conduit à cette classification ?