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Une simple recherche sur internet avec le titre de cette section renvoi quelques sites qui expliquent le truc. --Cqui (discussion) 3 mai 2018 à 15:26 (UTC)
À 200.113.248.138 (d · c · b) : on écrit mieux engagement social et je pense à première vue que les entrées du Wiktionnaire dédiées à chacun des mots de cette locution renseignent parfaitement sur le sens de cette locution. Et pour les aspects encyclopédiques, vous pouvez poser une question dans w:fr:Wikipédia:Oracle. Bon courage donc dans vos recherches. Alphabeta (discussion) 2 mai 2018 à 12:28 (UTC)
Aux développeurs du Wiktionnaire : j’ai une question incidente : « engagements sociaux » (au pluriel) est mentionné sous forme de lien rouge (lien rouge unique au sein du Wiktionnaire) dans la liste des « dérivés » figurant dans l’entrée wikt:fr:social : est-ce à bon escient ? Alphabeta (discussion) 2 mai 2018 à 12:36 (UTC)
Voir le « diff » : « engagements sociaux » a été ajouté à la liste le 1er mai 2015 (il y a trois ans et un jour donc) par Lmaltier (d · c · b) qui pourra nous en dire un peu plus. Alphabeta (discussion) 2 mai 2018 à 13:02 (UTC)
Bien que rare, la première expression a quelques attestations. Devons-nous l’ignorer sous le prétexte que la forme latine est incorrecte ? C’est une question générale qui se posera dans tous les cas où le sens commun diffère quelque peu de la traduction littérale originale qui serait proche de la signification en latin.
Comme il apparaît pour le triplet conflictuel ad hominem, ad feminam, ad feminem, à trop vouloir « coller » à la racine latine, on oublie que le sens commun a créé un usage pour qu’il serve naturellement d’outil de communication. Il est vain de vouloir à tous prix y rattacher une logistique savante, et il est inacceptable d’ignorer l’origine de la construction de ces expressions. Pour comprendre ceci, il suffit de lire les différents forums, également en anglais, qui posent la question de la naissance et de la forme correcte de ad feminam et ad feminem. Le génie humain les a créées. N’en déplaisent aux savants puristes, trop savants, peut-être, pour le comprendre, et trop intelligents pour accéder aux besoins des gens normaux. Ces expressions n’ont pas été inventéesab nihilo ou ex nihilo. Elles ont été construites logiquement à partir de modèles existants sans s’intéresser à la forme orthodoxale ni au sens anciennement affecté.
S’il vous plaît, donc, savants puristes, laissez expliquer aux lecteurs du Wix, simplement, pourquoi et comment ces formes sont utilisées AUJOURD’HUI et ce qu’elles peuvent signifier pour eux.-- Supreme assis (grain de sel) 3 mai 2018 à 08:47 (UTC)
« conserves sociales » : classification en tant que dérivé
Bonjour,
Je fais appel aux lexicographes émérites du WT pour résoudre le pb suivant :
Du reste, le terme utilisé par Jacob Moreno est « cultural conserve », « conserve culturelle » en français, et non pas « social conserve », qui n’a aucune existence ni en anglais ni en français.
Citation de Jacob Moreno à la source : The cultural conserve is thus a consoling and a reassuring category. It is not surprising, therefore, that the category of the moment has had a poor opportunity to develop in a culture such as ours, saturated as it is with conserves, and relatively satisfied with them. (Psychodrama, volume I).
J’ai creusé un peu plus, et s’il apparaît que le concept central de cet auteur est bien celui de « conserve culturelle » (voir petite explication ici), il l’a généralisé ensuite (dans un seul livre, semble-t-il, ou peu s’en faut) au concept global de « conserve » déclinable en conserve culturelle, technologique et sociale, donc ce n’est pas un hapax à proprement parler, mea culpa, mais plutôt une déclinaison - en tout cas pas une locution, mais bon, pas grave. On est là est dans le domaine très restreint de la glose sur le concept d’un seul auteur (assez alambiqué amha) avec un nombre lilliputien d’attestations en français, donc inutile je pense de se casser la tête sur ce terme. --Patatruc (discussion) 5 mai 2018 à 14:31 (UTC)
Le contenu de « wikt:fr:poncing#en » (dernière version , du 7 mai 2017) m’interpelle : poncing serait-il vraiment une « troisième personne du singulier du présent » comme il est dit ?
Je n’ai trouvé aucune attestation en-dehors des dictionnnaires du mot mousseau (pain mousseau, défini comme du « pain fait avec de la farine de gruau », import Littré). En guise d’attestation des multiples orthographes de ce mot, je n’ai repéré qu’un seul ouvrage datant de 1767, après une bonne heure de recherches tous azimuts (Google Books, Gallica, FEW, autres dictionnaires étymologiques). Le FEW en fait mention, mais visiblement sur la base exclusive d’entrées de dictionnaires et de lexiques, et l’étymon moussu sous lequel il le range me semble très bizarre. Je n’ai jamais vu de mot avec un tel déséquilibre entre les attestations réelles (un seul ouvrage, d’après mes recherches) et les dizaines de définitions présentes dans tous les dictionnaires depuis 220 ans. Le Larousse illustré (1905) a même enrichi ce mot avec l’hapax moussot (aucune attestation nulle part). J’ai donc rempli la section étymologie de mousseau avec le résultat de mes recherches. Merci de corriger l’article si jamais j’ai fait fausse route et si d’autres attestations réelles et crédibles (qui ne sont pas des entrées copicollées de dictionnaire) peuvent être collectées. Je ne désespère pas. Patatruc (discussion) 7 mai 2018 à 22:45 (UTC)
Bravo pour ce travail, je pense que ça fait bien le tour de la question. Je n’ai jamais entendu ce mot. Il se peut malgré tout qu’il ait été en usage à une certaine époque (ou même encore maintenant ?). Il me semble normal qu'il soit quasiment impossible de trouver des attestations d’emploi écrites pour certains mots anciens, surtout ceux du langage paysan familier, et c’est sans doute pour ça qu’on trouve des orthographes variées dans les dictionnaires. Lmaltier (discussion) 8 mai 2018 à 05:38 (UTC)
Il y a effectivement beaucoup de mots qu’on ne trouve que dans les dictionnaires. On ne sait jamais si c’est une erreur, ou tout simplement, les sources que le compilateur avaient sont disparues. Ça me gène pas de les inclure, mais je mettrais quelque chose sous {{S|notes}} pour indiquer qu’on ne peut pas trouver ce mot hors des dictionnaires. Renard Migrant (discussion) 9 mai 2018 à 10:52 (UTC)
C’est sûr, beaucoup de mots ne sont pas directement attestables parce que les sources sont perdues, n’ont pas encore été numérisées, et / ou parce qu’ils sont du registre oral, concernant celui-ci je ne sais pas (mais j’ai quand-même un gros doute). Ce que j’ai trouvé fascinant au cours de mes recherches, c’est surtout la propension hallucinante qu’ont eu pendant longtemps les dictionnaires à pratiquer sans vergogne le copier-coller, manifestement sans faire leurs propres recherches d’attestation (jamais aucune citation, ni étymologie, ni rien). Exception notable, le TLFi, qui ne dit rien de ce mot sauf pour mentionner une erreur (morceau écrit mousseau - de viande - dans un texte du XVe). Quelques dictionnaires présentent même à partir de 1830 environ une soi-disante évolution orthographique du mot, peut-être pour expliquer la contradiction entre les graphies de la source apparemment unique (moussaut et moussault dans le livre de Paul-Jacques Malouin, 1767) et celle de l’AF (mousseau, 1802) : mousseau est alors décrit comme comme la graphie « moderne » (mais absolument introuvable) de moussaut, changement allégué de graphie étrange pour un mot tellement inattestable que l’on peut penser qu’il relève exclusivement du registre oral... jusqu’à ce moussot extra-terrestre mystérieusement apparu dans le Petit Larousse de 1905 comme un diable sorti de sa boîte, mauvaise lecture, je pense, d’une transcription phonétique de l’entrée mousseau dans certains dictionnaires antérieurs. Bref, peu importe si le mot est ou non une sorte d’hapax - et peut-être que de vraies attestations apparaîtront plus tard, je ne jure de rien - mais c’est amusant de suivre les avatars de cette sorte d’ectoplasme dictionnarique qui semble être animé de sa vie propre, en-dehors de tout usage manifeste. --Patatruc (discussion) 9 mai 2018 à 20:42 (UTC)
Je me rappelle qu’on a déjà supprimé un verbe (je ne sais plus lequel) : il avait été introduit dans un dictionnaire (édité en Amérique je crois), clairement par erreur, puis recopié dans d’autres dictionnaires (y compris le Wiktionnaire, avant qu’on le supprime). Mais les dictionnaires concernés par l’erreur n’étaient pas des dictionnaires de référence en français (à part nous, bien sûr…) Lmaltier (discussion) 10 mai 2018 à 07:03 (UTC)
Merci DLR, mais hélas, hormis le ragoût, ce n’est qu’un enième rouage dans la chaîne des copiers-collers, malgré tout le respect que j’ai pour le FEW, voir ma réponse dans la PdD (avec quelques développements). --Patatruc (discussion) 12 mai 2018 à 23:16 (UTC)
Au contraire ça a complètement « à voir », mon cher @Basnormand : . Une lecture en diagonale du livre où se trouve l’hapax, la Description et détails des arts du meunier: du vermicelier et du boulenger m’a fait comprendre que ce terme est un régionalisme breton et même probablement un « rennaisisme », tous les passages (pages 30, 81 et 262) sur moussaut, moussault et même un mousseau mal orthographié (« mouʃeaux », avec un seul ʃ dans la typographie de l’époque) font clairement référence à la ville de Rennes. Et page 324, Malouin mentionne trois variantes locales du même pain : pain grison, pain haligourde et blanc-bourgeois, c’est-à-dire de Bourg-Blanc (Finistère). J’ai fait des recherches sur Mousseau et ses variantes dans la toponymie et l’anthroponymie bretonne, ce nom du nord-ouest de la France apparait souvent en Bretagne / Vendée, et notamment le nom de famille Moussault, qui est une des deux graphies principalement utilisées par l’auteur. Cet auteur, le normand Paul-Jacques Malouin, étant tout à fait sérieux et son livre souvent cité comme référence, j’imagine qu’il a rapporté dans son livre ce mot local (rennais ? un peu plus large ?) peut-être tiré d’un nom de famille (meunier ou boulanger du nom de Moussault ?) ou alors d’un lieu-dit adjectivé - pourquoi pas Mousseaux ? - ce qui expliquerait l’étymologie pour moi totalement incompréhensible du mot. Je n’ai pas fait état de tout ça dans l’article mousseau parce que c’est assez hypothétique et que le côté suprenant de ce « micronyme » très probable, à mon avis disparu même en Bretagne à la fin du XVIIIe (ce pain est décrit par Malouin comme grossier, apprécié des plus pauvres), réside surtout dans la chaîne de copiers-collers dictionnairique qui en a résulté et ne s’est jamais interrompue depuis. --Patatruc (discussion) 15 mai 2018 à 08:11 (UTC)
À 86.223.2.165 (d · c · b) : l’entrée wikt:fr:autonome (version ) de notre Wiktionnaire fournit effectivement tout un ensemble de prononciation : « \ɔ.tɔ.nɔm\ ou \o.to.nom\ ou \o.tɔ.nɔm\ ». On tente une réponse informelle (c’est-à-dire en évitant la terminologie des linguistes et en ne cherchant pas à sourcer) : la distinction entre \ɔ\ et \o\ a perdu de son importance dans le français parlé en ce troisième millénaire. Alphabeta (discussion) 9 mai 2018 à 09:49 (UTC)
Plus simplement encore : ces différentes prononciations ne sont pas liées aux sens, mais des variations libres.
Et cette page, autonome, me pose question. En ce moment, je croise souvent ce terme pour désigner des anarchistes, aussi bien comme adjectif (la fameuse mouvance autonome) que comme nom commun (les autonomes). Est-ce que ce sens est bien couvert par les définitions 1 ou 2 ou est-ce un nouveau sens spécifique à votre avis ? Noé9 mai 2018 à 10:04 (UTC)
À Noé : merci : je n’avais pas en effet répondu ad rem à la question : les prononciations indiquées par le Wiktionnaire ne sont liées nullement aux divers sens du mot… Alphabeta (discussion) 9 mai 2018 à 10:45 (UTC)
Ce n’est pas étonnant d’entendre ça quand des enfants veulent utiliser un passé simple (qui n’est pas du tout du langage parlé, au contraire), car ils n’ont pas l’habitude de l’entendre. Il s’agit tout simplement d’erreurs liées au fait qu’on veut se forcer à utiliser quelque chose qu’on ne maîtrise pas. Il n’y a donc aucune raison d’inclure ce genre d’erreur. Lmaltier (discussion) 10 mai 2018 à 07:07 (UTC)
C’est trois exemples n’ont rien à voir. Ce ne sont pas des participes passés, ce sont des temps utilisés couramment à l’oral, sous une forme non standard, mais quand même des temps couramment utilisés à l’oral. Lmaltier (discussion) 11 mai 2018 à 15:43 (UTC)
Je permets de modifier votre communication (voir le « diff » ) en : « Ces trois exemples n’ont rien à voir. Ce ne sont pas des passés simples, ce sont des temps utilisés couramment à l’oral, sous une forme non standard, mais quand même des temps couramment utilisés à l’oral. Lmaltier (discussion) 11 mai 2018 à 15:43 (UTC) » : il ne faudrait pas (à mon « humble » avis) enterrer trop vite ce passé simple qui conserve des position dans le français un peu soutenu et dans le français tel qu’on l’enseigne, et cela tant à l’écrit (cf. la source sur les copies d’examen fournie supra) qu’à l’oral… Je suis à la recherche de sources sur lesquelles on pourrait s’appuyer pour justifier une telle exclusion du passé simple. Alphabeta (discussion) 11 mai 2018 à 16:17 (UTC)
Je crois me souvenir qu’une question analogue a déjà été posée par le passé (). Mais voilà je n’arrive plus à effectuer une recherche dans les archives des Questions sur les mots (en passant par l’encadré s’affichant quand on clique sur WT:QM) : merci d’essayer sur votre ordi… Alphabeta (discussion) 11 mai 2018 à 10:56 (UTC)
On trouve plusieurs explications probables issues d’une signification de quille au sens propre et au sens figuré (jambes). Toutes peuvent être envisagées. Toutefois, l’expression naturelle en l’occurrence, est prendre la quille. Or, les jeux de quilles existent depuis longtemps : quillot, quillart, … Les quilles étaient rangées dans une sorte de casier, et il fallait les abattre. On peut trouver diverses règles du jeu, dont une qui consistait à vuidier le quillier (espace où l’on rangeait les quilles) pour avoir le droit de quitter la partie (et être ainsi dispenser d’une redevance, d’une corvée, …). Celui qui vidait le quillier en prenant la dernière quille pouvait ainsi partir … libre !
Pour le sens « militaire », (fin du service) et aussi en argot pénitentiaire « sortie de prison », il me semble avoir lu quelque part (mais cela relève peut-être de la légende) que c'était le nom d'un des bateaux qui ramenait en métropole les bagnards libérés de Cayenne (en Guyane française)... --Basnormand 14 mai 2018 à 09:53 (CEST)
À mon « humble » avis, il va sans dire et encore mieux en le disant que « syndrôme » n’est qu’une faute d’orthographe pour « syndrome » (on n’est pas dans le cas de « côte » et « cote » par exemple), même dans l’orthographe prétendue rectifiée à la façon du « rapport » de 1990. Alphabeta (discussion) 14 mai 2018 à 14:49 (UTC)
Par confusion avec symptôme ? Le circonflexe dans symptôme n’a rien à voir avec l’étymologie, non plus. C’est d’origine « erroné » même si ce n’est pas erroné aujourd’hui. Cotgrave, 1611, symptome, mais DAF 1694 symptôme, selon le TLFi. Renard Migrant (discussion) 14 mai 2018 à 16:16 (UTC)
Pour symptôme j’entrevois un lien avec l’étymologie, pourvu qu’on remonte au grec ancien σύμπτωμα, qui comporte un ω, lettre appelée oméga qui notait un o long : jusqu’à il n’y a pas si longtemps ô notait un o long en français. Alphabeta (discussion) 14 mai 2018 à 18:07 (UTC)
En tous cas, on ne trouve pas d’accent circonflexe dans les définitions des principaux dicos. Je vote pour une erreur d’écriture, confusion avec symptôme comme indiqué supra ! -- Supreme assis (grain de sel) 15 mai 2018 à 09:48 (UTC)
J’ai consulté : Fernand Carton, « La prononciation », pages 25-60 inGérald Antoine et Bernard Cerquiglini (sous la direction de), Histoire de la langue française (1945-2000), CNRS éditions, 2000, 1028 pages, ISBN 2-271-05762-0 . En page 29, sous le titre de paragraphe « Fluctuations dans l’oppositions entre deux O », j’ai noté : « Dans les années 90, les hésitations se multiplient, notamment pour les termes techniques On juge plus correct de prononcer automne, gnome, vélodrome avec , comme s’ils avaient un accent circonflexe, par alignement sur les mots à oméga étymologique comme arôme. » PCC (s’agissant d’une faite à la main il est prudent de consulter l’original sur papier). Alphabeta (discussion) 15 mai 2018 à 17:27 (UTC)
Sachant que la locution adverbiale existe aussi bien au « singulier » qu’au « pluriel » (même si la seconde forme est, au moins aujourd’hui, beaucoup plus courante que la première), comment peut-on faire le lien entre les deux pages ?
Celles-ci ont été créées à un mois de distance, au printemps 2010, mais ont toutes deux leur légitimité : on s’en convaincra en consultant – avec les guillemets dactylographiques de rigueur pour une recherche d’expression exacte – un moteur de recherche généraliste et un moteur de recherche spécialisé dans les livres.
Je mettrais « Variante deà guichets fermés » comme définition de la locution au singulier, simplement à cause du déséquilibre quantitatif que tu évoques. Les deux formes sont contemporaines (années 1880), mais dès le début la variante au pluriel était plus fréquente (voir sur Gallica). --Patatruc (discussion) 14 mai 2018 à 18:32 (UTC)
@ Patatruc : Je néglige souvent les ressources offertes par le moteur interne de Gallica, même s'il m’a pourtant bien servi, aujourd’hui, pour retrouver, en vue de son utilisation dans notre article parvis, un emploi de « parvis de l’Hôtel de Ville » largement antérieur (1905) à celui du général de Gaulle, dans le second tome (1956) de ses Mémoires de guerre. Hégésippe | ±Θ±14 mai 2018 à 19:41 (UTC)
Même si une orthographe est plus courante que l’autre, il faut laisser la définition dans les deux pages, puisque les deux peuvent être recherchés par les lecteurs, et qu’il ne faut pas leur compliquer la vie (et que, par ailleurs, il vaut mieux rester neutre sur l’orthographe à privilégier). La réponse est simple : mettre, dans les deux pages, une section "Variantes orthographiques", c’est notre façon normale de faire le lien dans ce cas. Lmaltier (discussion) 15 mai 2018 à 05:51 (UTC)
@Renard Migrant : En fait, en y réfléchissant, tout ça est logique. Le tréma est généralement utilisé dans le cas d’un assemblage de voyelles qui a normalement une prononciation spéciale, pour dire que ce n’est pas cette prononciation spéciale qui doit être utilisée, mais les deux sons des voyelles à la suite : par exemple oi, quand ça ne doit pas être prononcé wa, est écrit oï. La question ne se pose donc pas pour oe : on peut écrire coexister, ça ne pose aucun problème. Quand oe doit être prononcé de façon spéciale, on écrit généralement soit œ soit oë, selon le son désiré. Le rôle du tréma est donc complètement différent dans ce cas. Lmaltier (discussion) 17 mai 2018 à 05:53 (UTC)
Le terme coësre apparaît dans l’œuvre de Victor Hugo : il pourrait donc en être question dans les collèges et lycées. Des témoignages relatifs à une éventuelle prononciation « scolaire » établie de ce terme seraient les bienvenus, qu’ils viennent d’enseignants ou de leurs élèves… Alphabeta (discussion) 18 mai 2018 à 14:33 (UTC)
Jean-Paul Colin, Jean-Pierre Mével et Christian Leclère, Le Dictionnaire de l’argot et du français populaire, Larousse, 976 pages, ISBN 978-2-03-585299-1, dépôt légal janvier 2010 ; page 200 : « coesre ». Enfin une source disant pareil qu’une autre source (pour la prononciation en tout cas). Alphabeta (discussion) 18 mai 2018 à 17:00 (UTC)
par exemple, en soulevant le capot d’une voiture, il a une jauge à huile, sur cette jauge, il y a un trait qui marque le niveau minimum d’huile pour que l’auto fonctionne bien : si le niveau d’huile est sous ce trait, il faut (r)ajouter de l’huile de moteur. Cdt --Basnormand (discussion) 16 mai 2018 à 06:14 (UTC)
Bonjour, je voudrais savoir s'il vaut mieux translittérer le Persan ou le transcrire ? si c'est la transcription, faut-il faire en sorte de tout harmoniser avec la transcription française ? par exemple pour le mot باغ, il faut mieux utiliser bâgh ? bâq ? et avec le Alef ba kolâ vaut-il mieux utiliser l'apostrophe (â) ou le macron (ā) ? Peut-être faudrait-il créer une méthode de transcrire en Français qui soit harmonisé, facile à comprendre et qui serve de référence ?
Lyseron (discussion) 16 mai 2018 à 10:37 (UTC)
Au Sujet de platon et Aristote.
41.243.1.16116 mai 2018 à 11:23 (UTC)
Je voulais savoir,à quoi consiste la doctrine de platon(Le platonisme ) et celle d'Aristote(Aristotelisme)...? Merci.
J’imagine que, tout simplement, le créateur ne savait pas qu’on ne crée pas automatiquement les pages avec une lettre majuscule initiale sur le Wiktionnaire. Renard Migrant (discussion) 17 mai 2018 à 16:26 (UTC)
La deuxième titre (vade retro, Satana) me semble pas mal. Après, il y a la question virgule ou pas ?… Je pense que des redirections seraient utiles pour les versions non retenues. Lmaltier (discussion) 17 mai 2018 à 17:03 (UTC)
En passant (ce n’est pas une langue ;-) on trouve aussi la forme vade retro satanas (voir vade retro (satanas ou satana) sur www.cnrtl.fr), le « s » est souvent prononcé dans un usage plus ou moins parodique.
Question en parallèle, il y a longtemps, une étudiante (et tentatrice) à qui il avait été dis « vade retro satanas » avait répondu que « vadere retro satanas » serait plus approprié... cela voulait dire quoi ? --87.255.155.1230 mai 2018 à 14:27 (UTC)
role de l'ecrivain dans la societé
41.244.231.20517 mai 2018 à 18:53 (UTC)
aime çesaire affirme:<<si je ne sais que parler c'est pour vous que je parlerais.ma bouche sera la bouche des malheurs qui n'ont point de bouche...>>commentez et discutez cette affirmation a la lumiere des œuvres lues ou etudiees
C’est vous qui avez lu ou étudié les œuvres… C’est à vous de rédiger votre texte… Mais je vous suggère de ne pas oublier les accents dans ce que écrirez, et d’écrire Aimé Césaire pas aime çesaire… Lmaltier (discussion) 17 mai 2018 à 19:22 (UTC)
role de l'ecrivain dans la societé: vain, surtout en été.
Tu connais l'origine du roman de gare en France? C'est moi qui l'ai fait (Bien amélioré et corrigé depuis 2013. C'est cool d'être connu, mes articles, ils sont tous relus et corrigés. Tous BA bientôt...), c'est quasi-admissible section étymologie. (Commentaire fait par l’IP 109.212.107.18 - 18 mai 2018 à 16:11)
Il me semble que cette entrée manque au dictionnaire. Toutefois est-il que je suis bien incapable d’en deviner la nature grammaticale. Auriez-vous une idée ?
Il fait en tous cas partie des disparus du Littré. En effet, le préfixe trihémi- existe (trois et demi) et il est donc possible de créer trihémi- + -mètre. Cela rejoint encore notre discussion de savoir si l’on doit créer toutes les pages du genre tétrahémi- (quatre et demi). Il n’y a pas d’attestations convaincantes. Fréquence d’usage quasi-nulle. Tu proposes à la suppression ?-- Supreme assis (grain de sel) 19 mai 2018 à 09:09 (UTC)
Merci à vous deux. Il est maintenant clair que cet adjectif se dit d’un vers en poésie. (Trihémi- signifie trois moitiés, c.-à-d. 1,5, pas 3,5.) — TAKASUGI Shinji (d) 19 mai 2018 à 14:47 (UTC)
À terme il faudra mentionner trihémimètre (ainsi que ses frères « poétiques » si j’ai bien vu) dans -mètre, une entrée qui mériterait sans doute d’être relue… Alphabeta (discussion) 19 mai 2018 à 18:25 (UTC)
Le Littré ne contient certainement pas de mots inventés, ce n’est pas le genre. Bien sûr, une erreur n’est jamais exclue, mais il aurait fallu aussi inventer une définition, ça semble assez invraisemblable. Je suppose que le mot doit en effet être utilisé dans certains traités de versification disponibles sous forme papier.
Jointe à la césure trihémimère (c'est-à-dire après le premier pied), condition dont les anciens métriciens ne parlent pas, elle devient encore meilleure
(dans l’index) : TRIHÉMIMÈRE (césure), 389, 391.
Cet adjectif n’a pas exactement le même sens que le sens fourni par Littré, bien que ce sens soit extrêmement voisin, et il figure aussi dans le Littré, on ne peut donc pas supposer une confusion. Lmaltier (discussion) 19 mai 2018 à 19:33 (UTC)
@TAKASUGI Shinji : pour avoir beaucoup travaillé sur les mots du Littré, je confirme que beaucoup d'entrées ne sont pas attestée "en ligne". Quand on consulte certains dictionnaires, dont le Gaffiot pour le latin, on se rend compte que les dictionnaristes forgent des mots qui ne sont pas attestés ailleurs. Je suis pour conserver et ajouter une note ; voir par exemple scaptine Note : non attesté en dehors des dictionnaires. --Diligent (discussion) 22 mai 2018 à 16:05 (UTC)
Oui, ça arrive, mais en principe c’est pas le genre du Littré, qui répertorie les mots trouvés dans les livres et documents (même, parfois, trouvés une seule fois). On ne peut pas dire non attesté sous prétexte qu’on n’a rien trouvé, ce serait faux, on peut juste dire qu’on n’a rien trouvé… Ce qu’on trouve en ligne n’est que la partie émergée de l’iceberg des textes qui ont été écrits dans l’histoire de la langue. Lmaltier (discussion) 22 mai 2018 à 19:27 (UTC)
d'un habitant de Bourg en Bresse, il y a 25 ans environ, les vielles familles qui habitent le centre ne prononcent pas le 'G', ceux qui sont arrivés récemment et habitent plutôt à l’extérieur prononcent le 'G' comme un 'G', surtout pour faire la liaison avec le 'en', les paysans du coin prononcent le 'G' dur, comme un 'k' et ne précisent jamais 'en Bresse'. --Cqui (discussion) 26 mai 2018 à 11:43 (UTC)
Dans la première moitié des années 70, un de mes professeurs d’histoire-géo (alsacien donc sans proximité connue avec le chef-lieu du département de l’Ain), nous avait déclaré en cours, à je ne sais plus quelle occasion, que le nom (complet) de la ville se prononçait « Bourque-en-Bresse », mais sans entrer dans les détails, ni évoquer le nom « court » et sa prononciation. Hégésippe | ±Θ±27 mai 2018 à 19:06 (UTC)
Dans les fait et dans le coin, tout le monde dit /buʁk/; mais, c'est étonnant, parmi tout ce monde, certains (nombreux) disent \buʁ‿ɑ̃.bʁɛs\.
Ma question n’était pas sur ce qui serait préférable, mais sur l’usage effectif. @Cqui : Les vieilles familles du centre qui ne prononcent pas le g, est-ce qu’elles utilisent bien Bourg (seul, sans en-Bresse), et sans prononcer le g ? Lmaltier (discussion) 28 mai 2018 à 16:32 (UTC)
L'usage effectif, c'est buʁk. C'est un ancien du Lycée Lalande qui vous le dit. Mais c'est bien possible que les vieilles familles bourgeoises du centre-ville aient voulu faire plus smart et se distinguer du populo. C'était bien le genre des externes, ça. (Commentaire fait par l’IP 109.212.171.249 - 28 mai 2018 à 18:00)
T'as raison, mais c'est une erreur de co-picolage. Copie Collage.
Avis d’un non-burgien mais qui a un peu gravité autour et beaucoup pratiqué son invraisemblable contournement routier nord (on a l’impression pendant 15 bonnes minutes de s’être planté et d’avoir pris la route de Mâcon) : à 70 km plein sud, 50 km sud-sud-est et 70 km nord-nord-ouest, les moins de 75 ans disent /buʁk/. Si on applique une triangulation sommaire, ça donne /buʁk/. --Patatruc (discussion) 28 mai 2018 à 20:58 (UTC) NB : les bressanophobes prononcent //bœʁk/ mais c’est sans doute hors-sujet.
Conflit d’accès.« Avis d’un non-burgien » (voir le « diff » ) : la bonne orthotypographie ne serait-elle point « Avis d’un non-Burgien » ? Alphabeta (discussion) 29 mai 2018 à 08:40 (UTC)
Finalement tout se passe comme si les Burgiennes et les Burgiens du troisième millénaire suivaient pour Bourg-en-Bresse et sa forme courte Bourg la prononciation du nom commun bourg telle que décrite en son temps par « Émile » et qu’il donnait déjà comme désuète : « bourg », dans Émile Littré, Dictionnaire de la langue française, 1872–1877 → consulter cet ouvrage : « BOURG (bour ; le g ne se fait pas entendre, bien que l'Académie dise qu'on prononce bourk'. Cette prononciation, qui n'a plus pour elle l'usage, n'a par conséquent rien qui la justifie. Devant une voyelle, plusieurs prononcent le g comme un k : un bourg étendu, un bour-k étendu ; d'autres disent : un bour étendu. Au pluriel l's ne se lie pas : des bourgs étendus, dites : des bour-étendus ; cependant plusieurs prononcent en liant : des bour-z étendus) s. m. ». Alphabeta (discussion) 29 mai 2018 à 11:56 (UTC). — PS : tentative de report dans wikt:fr:bourg effectuée. Alphabeta (discussion) 29 mai 2018 à 15:08 (UTC)
« Schizophonia is a term coined by R. Murray Schafer to describe the splitting of an original sound and its electroacoustic reproduction. » (w:en:Schizophonia).
Schizophonie est un mot créé par R. Murray Schafer pour décrire la séparation d’un son original et de sa réproduction électro-acoustique. (traduction de Renard Migrant (discussion) 22 mai 2018 à 13:14 (UTC), que vous êtes libres d’améliorer)
Il a été proposé ici même MPDB = Marie pleine de béatidudes. Autre hypothèse (de travail) : MPDB = Maria pariens Dei beata (en latin : Marie, bienheureuse génitrice de Dieu). Alphabeta (discussion) 23 mai 2018 à 10:01 (UTC)
Tiens, vu que vous parlez de w:New York Police Blues, il parait ( je cite ) que Sipowicz, souvent montré vêtu d'une cravate et chemise à manches courtes, est à l'origine du terme "the Sipowicz" qui décrit cette tenue vestimentaire. Des anglophones peuvent-ils confirmer?
Trop fort Basnormand!. Tu bosses dans le secteur ou tu t'es renseigné?
Notif : CC, les problèmes de démographie m'ont toujours intéressé, « Je hais les miroirs et la copulation car cela multiplie le nombre des hommes » (Jorge Luis Borges)
Si la tendance se poursuit, dans 200/250 ans, il n'y a plus d’Espagnols, les Angolais dureront un peu plus longtemps mais la fécondité baisse presque partout. --Basnormand (discussion) 28 mai 2018 à 09:13 (UTC)
La citation exacte est « Les miroirs et la copulation sont abominables parce qu'ils multiplient le nombre des hommes. » (voir : Maximes, citations et proverbes sur www.alain-claverie.fr)
Je suis maçon et je peux t’assurer que je sais pas comment ils ont construit les pyramides des ages. Tu me livres les pierres gratos et tu me fournis la main-d’œuvre et les dates de naissance, avec l'outillage présumé de l'époque, je suis pas capable. Un cube, à la limite, j'te fais, mais faut discuter le prix. Avec une grue...*
Pour ma part, de façon plus modeste, je me suis efforcé de rendre complète la liste des dérivés figurant dans l’entrée wikt:fr:Sodome, afin que chaque utilisateur du Wiktionnaire puisse accroître son vocabulaire. Alphabeta (discussion) 29 mai 2018 à 12:48 (UTC)
Je m’étonne que cette locution nominale soit rangée à « semaine aux quatre jeudis »,
alors même que le seul exemple fourni emploie la variante « semaine des quatre jeudis »,
et que la fréquence respective des deux locutions penche nettement en faveur de « semaine des quatre jeudis, si l’on en croit des recherches en expression exacte :
Ne serait-il pas envisageable d’inverser la redirection actuelle menant de la page semaine des quatre jeudis vers la page semaine aux quatre jeudis... en attendant de développer dans l'actuel emplacement une page de variante, avec des exemples correspondant au titre de la page (ce qui n’est pas le cas en ce moment, comme je l’ai signalé plus haut) ?
J’ai bien envie d’ajouter des exemples, pour les deux locutions, mais la situation présente me refroidit un peu ... Et comme il n’est pas envisageable, pour respecter l’historique de l’article développé (ce qui est indispensable pour se conformer à la licence CC-BY-SA), de déplacer son contenu par copier-coller, il serait utile qu’un administrateur prenne sur lui d’inverser cette redirection.
Un livre initialement publié en 2003 par Tara Calishain et Rael Domfest chez O’Reilly, Google Hacks (Google à 200% en version française) contient un passage intéressant : son Hack #2 (« Glean a Snapshot of Google in Time » = « Un aperçu de l’évolution de Google dans le temps »). En effet :
la traduction française fait figurer, dans le premier paragraphe, les trois notions de « zeitgeist », « esprit du temps » et « air du temps », cf. VF p. 36,
mais la VO ne faisait cohabiter que les notions de « zeitgeist » et de « spirit of the times », cf. VO p. 31.
Non, c’est plutôt dans l’air du temps qui dérive de dans l’air, la première expression est beaucoup plus récente. Le TLFi en donne une idée qui me semble très correcte dans l’article air, paragraphe B-2, vers le bas : « Dans l'air (qqc. est dans l’air). La révolution était dans l'air (Ac. t. 1 1932); Il y a de l'orage, de la bagarre dans l'air ... ». Comme toujours avec le TLFi, c’est très bien vu, c’est ce qui ressort en tout cas le plus clairement quand on observe les occurrences les plus anciennes sur Gallica. Les exemples les plus nets sont des phrases telles que « La révolution était dans l’air », à savoir un bouleversement (qui peut être une menace ou au contraire un événément libérateur) à venir est présent dans tous les esprits et tout le monde ou presque en resssent l’imminence, sans forcément le nommer ni l’expliciter. Deuxième sens amha plus diffus et difficile à définir parce que « fourre-tout », et qui englobe en fait le premier : une « présence » (un sentiment, une impression, une envie, une force) qui est dans l’air dans le sens où elle imprègne les esprits - sans être liée à un événement imminent, exemples : « la Terreur était dans l’air, partout, et surtout dans cette chambre. » (Vigny, Stello) mais aussi « la sieste était dans l’air », « l’allégresse était dans l’air » etc. --Patatruc (discussion) 26 mai 2018 à 11:32 (UTC)
@ Patatruc : D’autant plus intéressant que, bizarrement, je n’ai pas eu le « réflexe du TLFi », qui est pourtant une ressource que je consulte abondamment. Hégésippe | ±Θ±26 mai 2018 à 12:04 (UTC)
Il était sans doute possible de répondre de manière plus constructive, par exemple en invitant le créateur de la section à poser une question compréhensible par tous (ce qui n’est évidemment pas le cas avec ce titre de section ambigu). Hégésippe | ±Θ±26 mai 2018 à 13:37 (UTC)
C'est vrai, mais en l'état, mon affirmation n'est pas fausse. La connaissances des auxiliaires, c'est pas auxiliaire en français. — message non signé de 109.212.171.249 (d · c) du 16 mai 2018 à 14:08 (UTC)
Au vu de l’adresse IP, il n’est pas interdit de supposer que le demandeur pourrait être partiellement francophone, et avoir pour langue maternelle une autre langue que le français. Et une requête whois renvoie effectivement, après vérification, vers un fournisseur d’accès à Djibouti. Précision : je n’ai encore jamais croisé d’adresse IP commençant par 41 qui ne soit pas africaine (Maroc, Algérie, Tunisie, Afrique de l’Ouest, etc.) Hégésippe | ±Θ±26 mai 2018 à 15:20 (UTC)
Bonjour je me permet de vous posez une question dont les avis divergent autour de moi!
Je suis dans le milieu médical et un radiologue me demande de corriger un patient en me disant!
Bascule du bassin au depend de la hanche droite!
Ma question est de quel côté est la bascule?
Je n arrive pas à connaître la signification du mot au dépend de
Je vous remercie par avance
L’orthographe correcte est « aux dépens de », le sens est « bascule du bassin au détriment de la hanche droite », j’imagine donc que la bascule se fait vers la droite. Ça ne se voit pas en examinant le patient ? --Patatruc (discussion) 28 mai 2018 à 17:07 (UTC)
comment appele t - on celui qui fait la restitution d'une formation
Question dans la question, japonisme (en l’état actuel) semble désigner uniquement un mouvement culturel ou une influence japonaise mais pas un mot issu ou influencé par le japonais (comme anglicisme pour l’anglais)... --Basnormand (discussion) 29 mai 2018 à 09:59 (UTC)
D’après le Wix ce serait japanisme mais l’article est marqué « à vérifier ». Mot rare, je ne vois qu’une petite quinzaine d’attestations, mais elle sont presque toutes utilisées dans ce sens. --Patatruc (discussion) 30 mai 2018 à 09:51 (UTC)
J’ai une question concernant le mot "fondant" participe présent du verbe "fondre sur". Il existe l’article concernant la flexion "fondant" provenant du verbe "fonder". Mais là je suis sur un autre verbe.
Dois-je créer une nouvelle flexion ou simplement ajouter une autre définition à la flexion existante à votre avis ?
Merci d’avoir rajouté le verbe conjugué manquant. Mon robot a sans doute supposé que la section existait déjà du fait qu’il y avait à la fois une section flexion de verbe et un lien vers fondre dans la page. Lmaltier (discussion) 30 mai 2018 à 16:51 (UTC)
@Alphabeta : à mon avis les lecteurs non contributeurs ne sont pas familiers des liens du type « wikt:en:role model#English ». Il y a — par exemple — {{Wiktionnaire}} alias {{WT}} que j’ai modifié pour rendre par exemple : role model sur le Wiktionnaire en anglais (exemple avec {{WT|role model|en}}). Rien ne vous oblige à l’utiliser mais je pense que ça rendrait service aux lecteurs ! Cordialement, — Automatik (discussion) 3 juin 2018 à 21:11 (UTC)
omission de la lettre J ou j dans l'alphabet Lingala
Nous vous saluons,
Ma question est la suivante : pourquoi la lettre J ou j n’est pas utilisée dans l’alphabet lingala, alors qu’il y a des mots dont nous prononçons le son « J » ? Exemple N’djili ou Ndjili (qui est une commune du district de Tshangu, dans la ville de Kinshasa, R.D. Congo), Ndjambe, qui se dit aussi Nzambe (Dieu en français).
En utilisant le lingala authentique, nous remarquons la présence de J ou j tandis que lingala actuel utilisé souvent à Kinshasa le J ou j est parfois remplacé par Z ou z, ce n’est même pas Y ou y.
Surtout dans le monde religieux, le son J ou j est beaucoup ressenti dans des cantiques et écritures saintes.
notre contribution est que le Wiktionnaire étant un dictionnaire est sensé avoir des informations précises de telle sorte que si une personne veut apprendre une langue qu’elle sache la vraie base de cette dernière pour ne pas avoir la confusion dans la prononciation des mots tels précités.
Merci pour ce grand travail que vous faites.
Bonjour Schadim, je ne suis pas spécialiste donc je vais limiter ma réponse. Mais il est important de distinguer la prononciation "ʒ" de la lettre "j". Un son peu être utilisé dans une langue sans pour autant que son alphabet possède un caractère spécifique.
En français, on utilise des sons provenant d’autres langues comme le son "ŋ" anglais qui n’a pas de lettre spécifique et est représenté par "ng" comme dans parking ou bowling. Mais sans aller chercher à l’étranger, le "ʃ" n’a pas de lettre spécifique en français et est représenté par "ch" (chat), "sh" shah, voire "sch" (schéma).
A ceci s’ajoute le fait qu’une "même" lettre peut être prononcée de manière très différente d'une langue à l’autre. Le "x" en français prononcé "ks" vexé) ou "gz" (Xavier) sera prononcé "ch" en basque (axoa). Et je ne parle pas des mots dont la prononciation varie en fonction de l’emplacement géographique du locuteur. Le mas dans le sud de la France se prononce avec le "s" alors que dans le nord il est souvent prononcé sans le "s".
Tout ça pour dire que l'usage d'un phonème n’est pas forcément en relation avec la graphie utilisée pour le représenter.
Mais peut-être que ce sujet serait plus à propos sur Wikipédia que sur le Wiktionnaire qui est là pour présenter des mots et leur usage et non pour indiquer la norme qui se rapporte à la langue.
Si l’orthographe Ndjambe est attestée (utilisée dans des journaux, des livres…), elle a sa place sur le Wiktionnaire au même titre que Nzambe à mon avis.
Poseur, c'est un type qui pose des trucs, sol souple, c'est un truc, poseur de sol souple, c'est pas admissible. C'est quoi ces liens rouges? Comique Coupé
Définition par l'exemple
Bonjour,
J’ai une question d’ordre rhétorique. Je suis en train de préparer une modification de l’article acculé.
Ce qui m’amène ici, c’est la définition héraldique qui est donnée. Outre le fait qu’elle mélange 2 sens très différent dans la même entrée (je compte les séparer), ce qui me chiffonne, c’est le fait de déléguer la définition à un exemple d’utilisation du terme.
Extrait :
(Héraldique) À la description ci-dessous, il faut ajouter le fer de flèche ou de dard, parfois acculé en cornière, ce qui signifie qu’il est attaché à une cornière (anse de pot).
Acculé : Se dit : 1° d’un cheval cabré, qui paraît s’abaisser pour mieux s’élancer ; — 2° d’une licorne assise qui lève ses pattes de devant ; — 3° de deux croissants posés l’un sur l’autre, dont le premier est montant et le second versé ; — 4° de deux canons sur une même ligne, dont l’un est tourné à dextre et l’autre à senestre. — (Johannes Baptist Rietstap, Armorial général : précédé d’un Dictionnaire des termes du blason, tome 1 (A–K), G. B. van Goor Zonen, Gouda, 1884)
Est-ce une façon de faire valide sur le Wiktionnaire ? Ça me semble quelque peu étrange. Mais je ne suis pas au fait de toutes les habitudes.
Effectivement, c’est très bizarre. Il faut écrire explicitement les définitions en tant que définitions. La citation-définition peut être donnée en référence car ce n’est pas exemple d’emploi. Pour ce qui est des sens très différents, c’est normal de les regrouper dans la même section de mot si c’est bien le même mot, avec des lignes dé définitions différentes. Mais je n’ai peut-être pas compris la remarque. Lmaltier (discussion) 30 mai 2018 à 20:17 (UTC)
Bonjour Lmaltier, je pense qu’on est sur la même longueur d’onde. Il s’agit du même mot même si les sens sont très différents (le premier parle de la posture du cheval, le second de disposition particulière de la pointe d'une flèche associée à une anse de pot). Mon idée est donc de créer 2 lignes de définition pour le même mot. J’en profiterai pour mettre une définition au premier sens.
Noms vernaculaires en français pour les larves d’insectes.
Suite à la réponse d @Unsui : à ma question sur le yago japonais (Cf. supra.) je m’interroge sur l’existence de mots particuliers pour désigner les différentes larves d’insectes en français.
Y'en a. Les premiers qui me viennent à l'esprit, c'est la teigne, larve du papillon de nuit « Galleria mellonella » , les fifises, larve d'Ophyra aenescens et les pifises, autres larves de Diptères. Conseil: faut étudier les forums de pêcheurs ou de jardiniers. Café Camomille.
Tu vas rire, mais, et c'est étonnant, je n'ai jamais vu Et la tendresse ? Bordel !. Faut dire que 1979 (et les années voisines) était des années cinématographiques de dingue, et que j'avais pas les moyens de tout voir.
Quoique pifise et fifise ne soient peut-être pas franchement vernaculaire.
Bravo Basnormand, c'est le mot que je cherchais: chez nous, on dit des esches. Lol, on a trouvé un lien étymologique ou c'est une illusion d'optique?. Cicéron Camenbert.
La page esche donne le latin esca (« nourriture puis appât »)
Remarque, rien d'étonnant, il parait qu'esca est apparenté à (je lis) l’indo-européen commun *h₁ed-, heĝh- qui donne eat en anglais essen en allemand, ἔδω, edô (« manger ») en grec ancien, le slavon jasti d’où есть en russe, jíst en tchèque.
L’année scolaire touchant à la fin, on prie les lycéens qui pourraient nous lire, de demander à leurs professeurs de géographie comment ils prononcent le nom de cette ville russe dans leurs cours. Alphabeta (discussion) 30 mai 2018 à 16:03 (UTC)
Pour rester dans le nord russe, dans Mourmansk le /sk/ final est toujours prononcé en français, en se qui concerne Arkhangelsk, il me semble que le /sk/ final est (à la russe) ou n’est pas prononcé en français.
J’ai consulté cet ouvrage, même s’il ne sert pas de base pour le Wiktionnaire : Léon Warnant (1919-1996), Dictionnaire de la prononciation française dans sa norme actuelle, Duculot, édition de 1987, CXVII pages + 988 pages ISBN2-8011-0581-3 : Arkhangelsk est mentionné page 700, avec aʀ-kɑ̃-ʒɛlsk comme prononciation unique. Alphabeta (discussion) 30 mai 2018 à 16:28 (UTC)
Un deuxième dico fournit une prononciation pour ce toponyme, avec ʒ là encore : le Grand Dictionnaire Langescheidt français-allemand, Larousse, ISBN 2-03-028102-6 comporte une liste séparée pour les « Noms géographiques » : Arkhangelsk y figure avec la prononciation (au passage : la traduction en allemand donnée est Archangeslk). Alphabeta (discussion) 1 juin 2018 à 09:55 (UTC)
À Basnormand (d · c · b). La requête « Arkhangelsk prononciation » sous Gougueule m’a ramené un un document en ligne pour lequel je n’arrive pas à fournir un lien (ce lien doit comporter : cnig.gouv.fr/.../w-contents/.../03/A_Dictionnaire-de-prononciation-des-toponymes.pdf ) : je sollicite l’aide de tous sur la façon de citer ce document dans le WT (ce document pourra resservir). Ce document est intitulé « Dictionnaire en français de prononciation des toponymes étrangers à l’usage des étudiants journalistes et du grand public : A » et comporte 47 pages. Page 37 : 1) la prononciation arkãgɛlsk est indiquée pour Arkhanguelsk, 2) la prononciation arkãʒɛlsk est indiquée pour Arkhangelsk. Une nouvelle confirmation donc… Alphabeta (discussion) 4 juin 2018 à 15:21 (UTC)
@Alphabeta : Effectivement, la prononciation Arkangel (comme dans gel) doit être désuète et liée à l’ancienne forme graphique Archangel de la carte postale du début du XXème siècle. Il me semble avoir entendu cette prononciation (un reportage, un téléfilm historique ??), cette prononciation si elle existe encore est de toute façon minoritaire... --Basnormand (discussion) 4 juin 2018 à 15:38 (UTC)
À Basnormand (d · c · b) : voici une nouvelle source indiquant que le gel d’Arkhangelsk se prononce \ʒɛl\ : Roger Brunet, La Russie. Dictionnaire géographique, Paris, La Documentation française, 2001, coll. Dynamiques du territoire, 480 p. ISBN2-11-004882-4, page 14 : « Enfin, il va de soi que ce dictionnaire conserve la francisation des noms quand elle est établie de longue date : Arkhangelsk (prononcé comme le gel) et non Arkhanguelsk (comme disent les Russes). » PCC Alphabeta (discussion) 22 juin 2018 à 11:59 (UTC)
Orthographe de "cerf-volant" et surtout des dérivés.
bonjour
L'orthographe de cerf-volant semble complètement fixée. Qu'en est-il des dérivés comme:
- cerf-voliste ou cervoliste (au début du siècle, on utilisait "cerf-volantiste" !
- cerf-volistique ou cervolistique
- cerf-volistiquement ou cervolistiquement.
Plus le mot s'allonge, plus la deuxième forme indiquée paraît "naturelle" et "explicite"
Je vous remercie de vos commentaires éclairés, les disputes étant parfois non pas violentes, mais acerbes.
2A01:CB00:199:5A00:3541:2944:5635:2A7130 mai 2018 à 17:34 (UTC)
Effectivement l’orthographe de ces dérivés n’est pas complètement fixée. Que peut-on dire d’autre ? Cela va peut-être se fixer avec le temps. Les deux orthographes ont leur place ici, avec le même statut. Personnellement, l’orthographe qui se rapproche le plus du mot de base, donc en cerf-vol…, me semble à la fois plus naturelle et plus explicite, mais ça ne veut pas dire que nous devons la privilégier. Lmaltier (discussion) 30 mai 2018 à 20:11 (UTC)
J'ai connu une personne qui utilisait les expressions (délicieusement désuètes ?) « honorer un chèque (bancaire) », « le chèque a été honoré » c’est-à-dire « encaisser un chèque », « le chèque a été encaissé », je ne sais pas si ce sens entre dans les définitions actuelles du verbe honorer.
Par ailleurs, dans un langage machiste (?) et désuet (?) honorer une femme peut prendre une connotation sexuelle.
On retrouve les deux sens (premier et, secondairement, à connotation sexuelle) dans l’expression rendre les honneurs (terme militaire et vocabulaire de la chasse à courre), cette dernière locution verbale est-elle suffisamment constituée pour faire l’objet d’une entrée ? Cdt, Basnormand (discussion) 31 mai 2018 à 09:10 (UTC)
Il y a aussi "honorer une promesse" qui, pour moi, comme pour "honorer un chèque" consiste à redorer l’honneur de la personne endettée ou engagée qui de par cette situation voit en quelque sorte son honneur altéré par le doute qu’il y a à voir la situation se concrétiser dans le futur. L’honneur retrouve son intégrité lorsque son porteur règle sa dette, faist en sorte que son chèque ne soit pas en bois, que son engagement soit finalisé…
Pour les chèques, le sens me semble assez courant (ou au moins était assez courant), même si nous l’avons oublié ici. Mais je ne l’ai jamais compris comme encaisser. Pour moi, au passif, avoir été honoré signifie avoir pu être encaissé. À l’actif, c’est moins courant, mais honorer un chèque signifie donc mettre à disposition sur son compte l’argent nécessaire pour qu’il puisse être encaissé. C’est toujours comme ça que je l’ai compris, et cette évolution du sens du verbe me semble assez compréhensible. Lmaltier (discussion) 2 juin 2018 à 15:52 (UTC)
Au point de vue historique, il y aurait eu sous la Révolution française des tanneries de peaux humaines (voir point 4.1.2 de l’article Le Génocide franco-français) mais la véracité (ou plutôt l’ampleur) de ces faits reste controversée... --Basnormand (discussion) 31 mai 2018 à 13:41 (UTC)
Genre de papier comestible recouvrant certains nougats
Comment appelle-t-on cette pellicule, qui semble généralement constituée d’eau et de fécule de pomme de terre, chez les fabricants de nougat (je cherche le terme technique) ? Est-ce que quelqu’un saurait ?
Sur l’emballage d’un nougat fabriqué en France, je trouve pain azyme. Cela me semble nettement mieux que oublies mais, en principe, le pain azyme n’est pas à base de fécule de pomme de terre. Alors ? Un autre sens très différent de pain azyme, lié seulement à l’apparence ?
@Lmaltier : C’est intéressant pour moi que les Français ne savent pas le nom de ce film comestible, parce qu’il est très commun au Japon, et ils ont un article dédié sur Wikipédia japonais : オブラート, oburāto. J’ai fait un peu de recherche étymologique. Ce mot est issu du néerlandais ou de l’allemand Oblate et apparenté à oublie et oblate (« hostie »). Selon un site d’une entreprise japonaise de ce film, les docteurs allemands utilisaient des oublies pour enrouler de la poudre amère. Selon Wikipédia japonais, le docteur japonais Masatarō Kobayashi (小林政太郎) a inventé en 1902 un film mince d’amidon pour le même but d’enrouler de la poudre, et ce meilleur substitut de l’oublie a été largement reconnu à l’Exposition anglo-japonaise à Londres en 1910. Les Américains l’utilisent encore pour prendre des médicaments amers selon Amazon. Vers 1914, Kikujirō Suzuki (鈴木菊次郎) l’a utilisé premièrement pour enrouler des bonbons mous. Selon un site français, Ferran Adrià, le chef d’El Bulli, intrigué par ce produit japonais, l’utilise pour ses cuisines. Le deuxième sens de pain azyme n’est donc pas issu directement du premier sens mais via le japonais et l’allemand. — TAKASUGI Shinji (d) 2 juin 2018 à 15:33 (UTC)
Pour la dernière remarque, je ne pense pas, car l’utilisation de ce genre de chose est dans la tradition française, simplement ce n’est pas utilisé, traditionnellement, par les particuliers, ni par les cuisiniers professionnels, seulement dans la fabrication de certaines spécialités. C’est pour ça qu'on n’a pas l’habitude d’utiliser le nom. Lmaltier (discussion) 2 juin 2018 à 15:41 (UTC)
J’ai voulu mettre des traductions, mais je me suis rendu compte que le mot japonais オブラート (oblaat en anglais) désignait une pellicule à l’amidon de riz, pas à la fécule de pomme de terre, et que son apparence semble toute différente. Ce n’est donc pas la même chose. Lmaltier (discussion) 3 juin 2018 à 09:41 (UTC)
Non, l’apparence est toute différente, en tout cas tel que je le connais : c’est comme du carton blanc, très fin, plat et rigide, pas transparent. Oui, oblaat est un mot néerlandais, mais c’est aussi le mot utilisé en anglais. Lmaltier (discussion) 9 juin 2018 à 18:18 (UTC)
On trouve sans arrêt de nouveaux mots en français, ce qui semble au moins prouver que l’usage est mal fixé… Ce que je vois, c’est que c’est plutôt de la fécule de pomme de terre qui est utilisée en Europe, sauf exception. En tout cas, l’épaisseur, c’est important, je pense que ça change tout du point de vue emploi du produit en pratique. Lmaltier (discussion) 10 juin 2018 à 05:23 (UTC)